J’hésite vraiment entre le fait que je sois complètement naze au point de n’être quasiment pas lu, et l’idée que de toute façon ces temps-ci, c’est un peu la chasse à l’homme.
Etre féministe ce n’est pas une vocation, c’est un métier. Et bizarrement, un pourcentage élevé est aussi vegan. Quel rapport me direz-vous ? Mais qu’est-ce que vous voulez que j’en sache moi ? Sans doute qu’au-delà d’avoir été « ségrégationnée » depuis des millénaires, le genre féminin non neutre (c’est-à-dire sous sa forme non inclusive) est devenu passablement négationniste de l’alimentation animalière.
J’ai conscience qu’avec une telle publication je ne vais pas me faire des ami.e.s (putain c’est complètement con cette écriture inclusive, à la fin le point est de trop pour finir une phrase. Du coup je me demande si c’est pas les féministes qui l’ont inventée pour nous empêcher d’avoir le dernier mot). Mais dans l’absolu je m’en branle un peu que cela convienne ou pas à la bienséance de la pensée canonisée par la complexité du langage pauvre. De toute façon c’est de la merde en carton pâte ce combat sans fin.
L’homme est un con depuis l’invention de l’humain qui marche debout. Dieu a fait l’homme à son image parait-il. Mais il a aussi créé la femme pour faire perdurer son héritage, sans lui demander son avis ? C’est probable, comme avec l’homme. Deux con.ne.s pour le prix d’un.e ça n’a pas de comparaison possible.
Alors c’est juste de la revanche. Sur le fond et la forme ça s’accorde. Un bail qu’on fait les mâles suprêmes, ça n’est que justice qu’on nous remette à notre place un tant soit peu. Briguer une meilleure position, demander l’égalité des chances, des salaires, des glyphosates et du pouvoir d’achat ça me parait justifié. Mais la femme est injustement exploitée, dénigrée et utilisée depuis tellement longtemps que ça ressemble à de l’esclavage moderne à toutes les saisons et toutes les époques. Et, vous savez ce que les esclaves font à leurs bourreaux quand ils en ont l’occasion ? Vous savez ce que les opprimés font quand ils prennent le pouvoir ?
Je suis de moins en moins lu. Je ne me demande pas pourquoi, je m’en fous en fait, mais c’est une réalité. Je n’arrive pas toujours à être drôle, sarcastique, ironique comme il faut, je me laisse entraîner par la réalité.
Moi ce que je vois c’est qu’on nous fait chier avec nos modes de vies. Le sexisme a de beaux jours devant lui parce que la femme s’apprête à l’attaquer de front, ou le féminisme a de beaux jours devant lui parce que l’homme n’est pas prêt à changer ?
Vous voyez, c’est inextricable. Comme nos conneries de tous les jours. On combat socialement nos semblables pour la liberté de pouvoir ne faire aucun effort à des niveaux plus importants. J’allais parler de l’écologie, vous alliez me reprendre sur l’idée du mode vegan. Dans les deux cas je ne fais pas de politique. Mais on sait tous que comme la religion, aucun combat n’est mené sans un fond de commerce, quelques syndicats qui brossent et rabattent, et des appuis de pouvoir. Résultat ?
Je disais donc que je n’intéressais plus grand monde. Peut-être que je me fais chier remarquez. Que je tourne en rond. Que j’épuise ma capacité à traiter des sujets pourtant nombreux de jour en jour. Pourtant l’égalité me tient à cœur. J’ai des tonnes de défauts, mais je ne refuse pas de les avouer. Je n’ai pas peur d’affronter mes paradoxes, un vécu qui gifle, et de dire qu’on est trop con pour progresser encore. Les femmes ont raison de se battre, si jamais elles veulent l’égalité. Si c’est pour renverser l’homme et prendre le pouvoir à sa place, autant qu’on abatte toutes les bestioles pour un barbecue géant décomplexé.
Je rêve de l’armée des 12 singes. De cet attentat contre la nature de l’homme à vouloir tout enfermer, diriger, éduquer, rendre obéissant. De cette folle volonté de libérer l’ingérable, le non négociable, la puissance à l’état pure.
Vouloir être libre dans une société qui enferme c’est naturel. Si c’est pour réformer la liberté et la formater à son image, demandez-vous pour quel intérêt ? La liberté n’a pas d’intérêt, à part celui de proposer à ses légataires d’en jouir en considérant qu’elle doit respecter celle des autres pour un usage différent du sien.
Bref on tourne rond. Je ne suis pas lu, les femmes entament une guerre perdue d’avance, les glyphosates gagneront leur place dans nos assiettes, l’homme attisera sa propre haine, le pouvoir et l’argent continueront à être la règle éternelle… tiens, si j’étais féministe je dirais qu’on me drague, mais je préfère être sifflé dans la rue par des grandes pancartes publicitaires.
Je rêve de l’armée des 12 singes… et de la fin du monde.
Ce serait top, plus de vegans, plus de barbecues, plus de légumes bios, plus de féminisme, plus de machisme, plus d’égalité, que de la sélection naturelle et du survivalisme primaire…
ON MÉRITE D’AVOIR DES PROBLÈMES ! Et on se démerde comme des chefs depuis assez longtemps.
Amen (un peu), Touti quanti (beaucoup) et Tralala (passionnément)…
©Le Docteur énerve l’origine du monde…
Peut-on être lu par des féministes vegans au pays des glyphosates grimpants ?
Le 22/12/2017par Le Docteur Burz
Comme je sais que les polémiques tuent dans l’œuf les derniers bastions de l'intelligence, j'avais envie de vous en faire part...
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le copyright gettyimage est une revendication féministe ?
C'est écrit par vieux prof le commentaire de présentation, non? bientôt la zone va mettre des notes.
Je n'avais même pas vu le copyright, puteborgne, ça doit être la vue du vieux prof qui baisse.
Dandois, au cas où tu ne serais pas ironique, je te signale que la Zone met des notes depuis la décennie précédente, hein. Et que le fait d'y recevoir des avis tranchés et pas des putasseries mielleuses, des silences gênés ou des formules creuses pour faire semblant d'avoir commenté tout en ne disant rien, c'est supposé être tout l'intérêt de la chose.
Je trouve ce texte naze, je préviens donc le lecteur potentiel, pour qu'il me fasse confiance le jour où je lui dirai le contraire à propos d'un autre texte, politique de publication dont j'ai toujours été partisan sur la Zone, y compris et voire surtout en tant que lecteur. Il me semble donc que la seule incohérence qu'on peut me reprocher, c'est de l'avoir publié et, en fait, d'autres que moi y étaient défavorables.
On a tous nos bons et nos mauvais moments. J'étais peut-être de mauvaise humeur. J'aurais peut-être pu rajouter une pointe d'humour pour adoucir. Et j'ai peut-être été trop sévère avec ce texte alors qu'on en a souvent publiés qui n'étaient pas meilleurs, et sans qu'ils soient descendus en commentaires ou en introduction. Peut-être.
Mais, en revanche, quand un texte est publié avec une introduction qui le flingue, injustement ou pas, si on décide de manifester son désaccord en commentaire, on en a parfaitement le droit, et même de le faire avec véhémence et discourtoisie, c'est dans les règles du jeu du site. Par contre, pour que ce soit intéressant, il est plus constructif de le faire avec des arguments. Je t'invite donc à essayer de me convaincre que ce texte est profond et bien écrit. Ce faisant, tu auras ainsi le bonheur de commenter le texte lui-même et pas son publicateur, et tu entreras peut-être même dans l'Histoire de la critique littéraire. Mais ça fait peut-être aussi beaucoup de peut-être en deux paragraphes.
Et merde, j'ai encore passé une demi-heure de ma vie à argumenter pour me justifier, en réponse à un commentaire qui n'a dû coûter que vingt seconde à son auteur. Je dois avoir un complexe de légitimité, faut que je me soigne.
Ce que je trouve surtout con dans ton commentaire c'est moins ce genre de formule qui me semble snob et qui implique que son auteur lui sait ce que c'est vraiment que la littérature, comme "faire littérature" que cette conclusion comme quoi "la prochaine fois, il faudra plus", Docteur Burz je sais pas, mais personnellement j'aime pas qu'on me dise ce que j'ai à faire (on est pas à l'école).Mais je suis triste pour toi qui te sens obligé de publier des textes que tu trouve nul, c'est peut-être du masochisme, moi,je ne critique que très rarement les œuvres, car je suis peut-être pas assez cultivé pour avoir l'impression de savoir et si je le faisait peut-être que j'essaierai un minimum même si je suis corrosif et critique de voir quelque chose de positif surtout si je décide de le publié sinon, si je trouve que ça ne vaut rien, je ne le publierai même pas et je n'en parlerai même pas, moi aussi je me demande pourquoi je perd mon temps à écrire ceci, sinon pour m'apercevoir que je me fourvoie
pardon pour les fautes, j'ai encore oublié de me relire
rappelons que sur la Zone, on met en avant avec fierté sur la page d'accueil tout autant le Best of que le Worst of et qu'on a des lecteurs pour les deux catégories.
La première fois que j'ai lu ce texte, je me suis posé des questions sur son auteur. Puis je me suis souvenu de Glo dont l'un des crédo zonards pouvait se résumer à ça : "On s'en fout de l'auteur. Parle du texte."
Du coup, je l'ai relu et je me suis posé des questions sur moi-même.
Et je n'ai rien appris.
Puis je l'ai relu. Et j'en suis là et je ne sais toujours pas quoi dire. C'est tellement mal foutu que ça passe à côté de la polémique (des polémiques?) qu'il aimerait alimenter.
C'est une parodie, non ?
Dandois, je constate d'emblée que tu n'essaies pas de défendre les qualités de ce textes comme je t'y ai invité, et j'en conclus que tu reconnais par là implicitement que j'ai tout simplement raison quand j'affirme qu'il est médiocre. Tout le reste découle de là : tu me reproches soit d'être franc et sincère et de prévenir que tout ne sera pas publié à l'avenir, soit d'avoir publié le texte en le trouvant mauvais. Bref, d'être un méchant. Je rappelle qu'être gentil n'a jamais été le but du site. D'être des fils de putes non plus, par ailleurs. On publie des textes, c'est tout, dans l'esprit et les limites affichés dans le guide. Et je ne dis à personne ce qu'il doit faire. Je publie et commente des textes, et a priori pas des personnes, sauf quand les personnes s'imposent elles-mêmes.
Alors, l'ai-je publié par méchanceté ou masochisme ? Tu l'auras peut-être remarqué, ça faisait plus d'un mois qu'il était en file d'attente. On a donc hésité. J'ai hésité, en fait : tous les autres étaient contre la publication, dès le début. Moi, initialement, j'étais pour la publication en forum dans la section "tri sélectif". Puis j'ai hésité, parce que je n'ai jamais vraiment aimé cette démarche, sauf dans les cas de foutage de gueule, ou quand il s'agit de faire passer un message utile sur ce qu'on accepte ou pas, et pourquoi. Au final, plus d'un mois après, j'ai relu le texte, prêté attention aux passages où l'auteur constate ne pas/plus être lu et s'interroge lui-même sur l'intérêt de ce qu'il écrit, puis je suis passé sur son blog et lu un passage où il me semblait renoncer à publier sur la Zone. J'ai dit aux autres admins : après avoir publié d'autres de ses textes qui n'étaient pas meilleurs, ce n'est pas élégant de se dire adieu en le balançant avec indifférence dans la déchetterie du forum. Je l'ai donc publié, mais sans complaisance. Voilà le cheminement qui a mené à la publication. Je ne sais pas si c'était plus élégant. Chacun jugera.
Rétrospectivement, j'aurais peut-être pu être plus neutre dans la présentation et émettre mes critiques en commentaire. Mais je ne suis pas sûr d'avoir à le regretter. Quand on poste sur la Zone, on ne s'attend pas à recevoir un bouquet de fleurs, une lettre type de refus éditorial, ou des remerciements pour avoir eu l'extrême amabilité de nous soumettre son chef d'œuvre. Et il n'est pas mauvais de le rappeler de temps en temps. De ce point de vue, on pourra dire que c'est tombé sur ce texte-ci alors que bien d'autres l'auraient mérité avant lui. Mais j'attends toujours les arguments pour défendre ce texte, et, en attendant, pour moi, c'est un billet de blog, pas un objet littéraire, et si ça te paraît snob ou condescendant de le penser et de le dire, je n'y peux rien.
De ce point de vue, il me semble que ce site ronronne un peu trop souvent. Je propose juste un retour aux fondamentaux. Quand tu lis et que tu trouves naze, tu le dis, au lieu d'encourager l'auteur à en poster plus du même acabit. Ma position a toujours été qu'un bon texte par semaine, voire même toutes les deux semaines dans les moments de disette, valait mieux qu'un article inintéressant tous les jours, et mes longues absences en tant que lecteur sur le site sont en relation avec ce sujet (pas parce que je faisais la tronche, mais parce que j'avais de moins en moins envie de cliquer sur les liens vers les articles, et que je ne lisais pas les longues introductions qui ne m'aidaient pas à savoir si ça en valait la peine).
Mill mentionne Glaüx. Justement, je me souviens d'avoir en effet penser à lui en publiant ce texte, en me disant que son jusqu'au-boutisme littéraire et son agressivité manquaient sans doute à ce site (le ronronnement...) et qu'il fallait peut-être que je me dévoue pour assumer ce rôle, alors qu'il ne m'est pas naturel et que Glaüx s'est une ou deux fois moqué de moi dans le passé sur ce sujet (parce que je recourais souvent à l'euphémisme et à l'ironie pour critiquer, là où lui tirait à vue avec du gros calibre).
Au bout d'un moment, il y a un constat très simple : dès qu'on place une barre à franchir, c'est ressenti comme violent, snob, élitiste par certains. Mais si on ne le fait pas, on tombe dans la facilité et la médiocrité. Et la réalité, s'il faut être lucide, c'est que la barre n'a jamais été si haute que cela sur la Zone. Mais quand on publie un texte sans valeur littéraire, il faudrait qu'il présente au moins un autre intérêt, ne serait-ce que celui d'être drôle. Ici, rien.
Par ailleurs, on n'est pas une plate-forme de blog qui vend de la pub et cherche à publier le plus possible de tout et n'importe quoi, on est un site communautaire participatif. Et, de ce point de vue, je constate au passage que le dernier commentaire de Burz date de janvier, presque un an, et qu'il n'a jamais commenté que ses propres articles. Je viens seulement d'en faire le constat, et ça n'a donc rien à voir avec le texte ci-dessus et mon jugement sur sa valeur intrinsèque, mais ça ne m'encourage sûrement pas à prendre des gants.
Bref, le seul fait de se retrouver, au lieu de commenter le texte, à débattre de la politique de publication ou de la condescendance qu'il y aurait à affirmer qu'un texte est médiocre et sans intérêt, constitue il me semble un commentaire du texte.
je pense que l'argumentaire dans ce texte est le fruit d'une arborescence axonale et dendritique aléatoire, une sorte d'antialzheimer généré par la prise régulière de drogues depuis le biberon. J'entends presque un ricanement d'autosatisfaction de l'auteur à la beavis and butthead à chaque point concluant un paragraphe alors que j'ai l'impression que la moitié de ce qui fait rire le docteur Burz semble être resté dans sa tête refoulé par quelque molécule douanière neuronale du bout de ses doigts.
Ce texte est l'espèce d'expression, à un temps T, du cerveau bouillonnant d'un homme, un cerveau baignant dans ses méandres ineptes et un peu désespéré, du moins c'est le sentiment qu'il m'inspire, quant à dire si c'est bon ou mauvais, je pense que je l'ignore car je n'ai pas envie de faire de choix, ou bien ça n'est ni l'un ni l'autre ou l'intérêt du texte ne se situe pas (seulement) là, je me demande même si un texte a à être "bon" ou "mauvais", je crois que je m'en tape, le fait est que je suis parvenu à lire ce texte et ça me suffira pour l'instant (car plus ça va plus ça me fait chier de lire, quoi que ce soit sans doute qu'à un moment je disparaitrait de ne plus lire, et de ne plus écrire aussi d'ailleurs), je n'ai pas d'exigence envers Le Docteur Burz ou ses autres avatars qu'il m'arrive d'ailleurs quand même de lire encore, et peut-être avec plaisir. Je pense que ton idée de la littérature n'existe pas, ou n'est qu'un fantasme, que les ambitions (toutes) sont des grosses conneries, le "moins pire" c'est le mieux qu'on puisse faire. Ce que j'écris là est certainement à coté de la plaque, mais au moins ça fait un petit quelque chose en plus qui s'écrit sur le site.
À vrai dire, je n'ai aucune grande idée sur la littérature, et la théorie littéraire m'emmerde plutôt. Je n'ai d'ailleurs aucune définition de la chose à proposer. Mon Larousse me dit : "ensemble des œuvres écrites ou orales auxquelles on reconnaît une finalité esthétiques", et j'ai immédiatement des objections qui me viennent mais, en même temps, comme j'ai dit que le sujet m'emmerdait... Simplement, la chose existe, et tout discours n'en relève pas, et tous les œuvres ne se valent pas. Raoul Ponchon n'est pas Baudelaire, et ce n'est pas un simple constat de différence humaine, c'est un jugement de valeur littéraire. Avec tout le respect pour Ponchon.
Et si j'étais un ambitieux, tu crois vraiment que je passerais une partie de mon temps sous pseudonyme et sur ce site ? Merci pour ce sourire.
La Zone n'ambitionne rien mais existe depuis plus de temps que la plupart des sites qui ambitionnaient quelque chose.
Salut,
C'est un texte sans récit, qui s'anime de quelques mots-clés, tous balancés en titre pour être sûr d'être indexé quelque part, et à part ce jeu de vocabulaire, c'est un néant bruyant, encombré.
Heureusement, il y a la poésie... mais non plus : c'est trop syntaxiquement proche d'une musique militaire, y'a sans doute eu des pogroms avec plus de fantaisie que ce texte.
J'aime pas trop donc, pour le dire explicitement, et définitivement briser la dichotomie orgasme-ou-incompréhension chère à ta mémé.
Je m'aperçois avec une certaine singularité (qu'outre ne répondre que sur mes publications), que fort d'avoir tenté d'expliquer à de nombreuses reprises que je m'amusais comme un philosophe de comptoir de PMU, qu'il est évident que je ne travaille pas mes textes écrits en 1h ou 2. Et pourquoi je vous prie? Ben parce que ça n'est pas de la littérature, vous l'aurez compris.
Je vois aussi, à travers une multitudes de remarques présentes et passés, que je suis épié au-delà de mon pseudo sur les réseaux concernant mes avis et/ou positions sur mes intentions concernant La Zone.
Je peux également noter que ma publication sert un peu de défouloir aux récents déboires du site, dont je n'ai pas cherché à connaitre véritablement le fond (ça doit être parce que je m'en fous).
Je dois admettre que plus on dit que j'écris de la merde et des trucs inintéressants, j'ai plaisir à n'offrir que ça par pure volonté d’apparaître dans le Worst Of... je suis joueur.
Et j'imagine encore que, concédant vos théories farfelues sur ma personne à travers mes textes, vous avez des raisons de croire que je n'ai pas essayer de croire pour déraisonner...
Sincèrement, je suis au courant de tout ça, vous ne m'apprenez rien, et c'est une volonté personnelle de mon pseudo, de faire du fond de commerce tape à l’œil pour me défouler arbitrairement. C'est l'idée du personnage, car oui, il faut le dire, ça n'est rien d'autre.
Je crois que je n'ai jamais fait un commentaire aussi long, c'est parce que j'avais du temps à gagner.
Ah bon ? Donc tout est calculé (ou non calculé) dans tes textes pour donner cette impression caractéristique de vide intersidéral ?
C'est une sorte de performance d'art contemporain en somme. Bravo.
Ah mais si ce n'est pas de la littérature, je retire tout ce que j'ai écrit et j'affirme le contraire !
deux fois.
Si j'ai bien compris (pas sûr), il revendique plutôt le fait de ne pas travailler ses textes et dénie toute tentative littéraire. Précisons que je n'ai rien contre le je-m'en-foutisme assumé (et le contraire serait plutôt hypocrite de ma part...), mais l'assumer jusqu'au bout implique d'accepter que le résultat soit jugé médiocre et sans intérêt.
Sur le fait d'être épié... Euh... Comment dire ? Quand on met soi-même un lien vers son site perso, on peut s'attendre à ce qu'une personne suive le lien et y jette un coup d'œil, un jour ou l'autre, ce sont des choses qui arrivent. On côtoie le débile, là.
Et absolument aucun rapport avec la mise au point sur le site d'il y a trois mois. Je n'ai aucun besoin de me défouler. Je trouve le texte mauvais sans être drôle ou intéressant en quelque manière que ce soit pour compenser, donc je le dis. C'est la Zone, c'est comme ça que c'est supposé se passer. On est peut-être un élevage de mongoliens, mais on essaye de ne pas être des mongoliens chiants.
"Au bout d'un moment, il y a un constat très simple : dès qu'on place une barre à franchir, c'est ressenti comme violent, snob, élitiste par certains. Mais si on ne le fait pas, on tombe dans la facilité et la médiocrité. Et la réalité, s'il faut être lucide, c'est que la barre n'a jamais été si haute que cela sur la Zone. Mais quand on publie un texte sans valeur littéraire, il faudrait qu'il présente au moins un autre intérêt, ne serait-ce que celui d'être drôle. Ici, rien."
Pas mieux.
J'aime bien citer Dourak.
S'il y avait plus de braves cavaliers mongols sur Lazone, où même quelques autistes, avec les joues un peu rondes, le front un peu rond, les lèvres pas du tout comme à l'armée, perdus sur le chemin d'un bar à chippendales, et bien...
Et bien rien.
Espèce de sale besogneux qui " travaille ses textes" au lieu de les écrire doudou !