Ta mère, la pute au rabais,
Soufflait, entre ses dents pourries
Par de sordides avanies,
Sur ma bite un vent pas très frais.
Vrai, j'ai connu mieux depuis, mais,
Je rêve à ses radiographies
Très souvent, à chaque carie
Qu'à mes bons soins le sort remet.
Le destin farceur a des tours
Et des détours et des contours
Dont il me fallait témoigner.
Je suis un excellent dentiste,
On me traite parfois d'artiste.
J'aime les bouches bien soignées.
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