Bonjour,
Merci pour cette publication. Je m’attendais pas à une réponse aussi rapide. Comme j’ai envoyé aussi ce texte à un comité de sélection pour un concours littéraire, je viens de voir dans leur règlement qu’ils n’acceptent pas de textes déjà publiés «Les nouvelles présentées (une seule par candidat) ne devront jamais avoir été publiées (recueil, revue, journal, auto-édition, publication en ligne...) » . Ça m’embête de demander ça, mais est-ce que c’est possible de le retirer du site? Je compte revenir avec d’autres contributions.
En vous remerciant de votre compréhension,
A bientôt,
SG
LA ZONE -
à la demande de l'auteur (cf. ci dessous) le texte est supprimé. Comme je n'ai pas trouvé le moyen de le faire autrement j'ai aussi viré le compte. merci de ne pas faire perdre du temps aux gens et bonne journée bien sûr.
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Faire référence au premier degré dans le descriptif du texte à la psychanalyse qui est un foutage total de gueule d'un point de vue scientifique est proprement scandaleux ! Pour ce qui est du texte lui même, à ma première lecture, je peux dire que ça ressemble beaucoup à tous ces textes qu'on trouve ailleurs que sur la Zone, de bon ton et à la mode. Je me trompe peut être alors je vais le relire.
J'ai beaucoup apprécié l'entrevue de l'auteur dans le lien filé dans mon dernier post, ainsi que sa réponse à un spectateur. Je me demande si ce texte est un extrait d'un de ses romans ou bien une nouvelle précédemment publiée dans une revue littéraire. ça semble s'inscrire dans quelque chose de plus grand. Décontextualisé, je n'arrive toujours pas à dire si ça me touche ou pas. Le coté introspectif est intéressant surtout que le narrateur n'est pas le personnage dont les angoisses existentielles sont explorées. Le regard extérieur est cependant très neutre et probablement la rage intérieure du personnage aurait-elle mieux transpirée à la première personne. D'après ce qu'explique l'auteur, ce texte n'est probablement pas le plus "zonard" de ses écrits. Sa manière de penser et construire ses histoires est intrigante et donne envie de s'intéresser d'avantage aux romans. Vivement une prochaine contribution plus dans la ligne éditoriale du site. Cela dit poster un texte introspectif très premier degré sur la Zone est probablement la plus extrême des transgressions imaginables.
En même temps il faut faire un résumé de texte. Je te trouve dur. Je boude. La.
Y a pas 1 semaine je faisais un descriptif en insistant sur le stade anal de Pascal Dandois. Soit je fais des réflexions dont je suis le seul à cerner toute l'ironie et l'humour, soit je suis schizophrène. Ne boude pas, ils est très bien ton descriptif et ton illustration d'Oedipe les yeux en sang après avoir lu le texte aussi.
N'empêche Freud est vraiment un charlatan.
Oui, d'ailleurs j'ai lu un truc sur la conception qu'en avaient Freud et nietzsche et c'était fort intéressant. En ce qui concerne les résumés c'est clair qu'au bout d'un moment certains thèmes de certains textes semblent se ressembler. Je m'en étais déjà rendu compte pour les illustrations, j'ai constaté quelques doublons.
Pis j'encourage les nouveaux auteurs à s'améliorer. J'aime bien blablater aujourd'hui, un petit café ne serait pas de refus.
Au tiens, je n'avais pas vu le lien, je vais y jeter un oeil.
n'y jette pas les deux comme Oedipe (huhu)
Au-delà du thème, puisque à peu près tout peut être traité efficacement, ce qui est le plus gênant pour moi, c'est cette écriture qui se prend au sérieux. Ce lyrisme universaliste, cette symphonie violoniste du pathos qui prétend au poétique et à l'évocation avec des moyens grossiers, pour ensuite nous parler à l'aide de lieux communs, sur la soumission, la condition féminine, la difficulté d'être l'enfant de.
Il existe pourtant tellement de façons d'exprimer les choses avec esprit et vigueur, qu'un tel ton de dramaturge en herbe en devient inexcusable, d'autant plus quand on affiche Bukowski dans ses références.
Je préfère effectivement l'intervention devant le public, en vidéo, même s'il y a peu de contenu, et que je trouve l'exercice en général ostentatoire.
Le père est un handicapé relationnel, très bien, comme il n'y a que ça -il était peut-être auteur, allez savoir-. Le personnage fait le bilan et part, vipère au poing, sauf qu'on en est loin.
Mademoiselle, je vous ai lue et je vous ai comprise, mais vous confondez à mon sens en littérature, la sensibilité et la sensiblerie.
Au plaisir.
Bien dit, bravo. Je te rejoins totalement mais j'avais du mal à m'exprimer plus haut, surement à cause du repas difficile de ce midi.
J'ajouterai que Freud place historiquement la barre en matière de confiance en soi, on s'en rend compte dès les premières pages de développement de sa théorie psychanalytique.
Moi, mon oeuvre, mes preuves indiscutables, ma conférence de presse à Londres, le milieu scientifique s'accordera à me donner raison, tout ce que j'ai fait jusque-là et plus encore, le succès rencontré par mes analyses, le livre précédent dans lequel j'ai fait la démonstration incontestable de la pulsion sexuelle d'agrippement chez le nouveau-né, mon sacerdoce, ne parlons pas de Breuer : le génie c'est moi, mon édition de l'interprétation des rêves que je décale en 1900 pour marquer le XXème siècle et pas en 1899, mon parcours, mon oeuvre, les applaudissements de la salle, les preuves sautent aux yeux, je suis obligé de reconnaître que je suis dans le vrai, car c'est un fait, et vous l'admettrez également, moi, mes patients, mon divan, et surtout mon oeuvre.
C'est d'ailleurs étonnant que Freud n'existe pas sous forme de suppositoires homéopathiques. Succès commercial garanti.
Vraiment dommage sinon que l'auteur ne dialogue pas un peu avec nous, nous mettant face à nos contradictions face à l'interprétation de son texte.
Oui j'avoue, c'est d'ailleurs récent non ? Avant les auteurs venaient chier sur la Zone et maintenant c'est silence radio. Comment on fait pour se foutre sur la gueule ? Une génération du vide intersidéral.
à la demande de l'auteur le texte est supprimé et comme il n'y a pas de fonction pour le faire autrement dans le backoffice, j'ai dû effacer son compte. Le texte restait présent dans la base des textes et présent en page d'accuel alors j'ai un peu changé le contenu.
j'ai aussi viré le lien vers la vidéo permettant d'identifier l'auteur. Versatiles, merci de vous abstenir à l'avenir.
et merci pour le temps que Cuddle et d'autres ont perdu à lire, trouver une illustration et décrire ce texte. merci pour le temps que les lecteurs ont perdu à lire et commenter ce texte.
en fait les commentaires fonctionnent très bien aussi avec le texte de substitution in fine. Un grand merci à l'aléa sans qui la Zone aurait un peu de mal à exister.
J'ai ressenti un optimisme sincère dans la démarche de l'auteur. Un élan de fraîcheur champêtre, primesautier et sautillant.
https://www.youtube.com/watch?v=-KWtJUzNDfA
Littérature collaboratrice.
L'auteuresse a dit qu'elle reviendrait avec de nouvelles contributions. Soit elle a pris peur et a fui, soit elle dit vrai. Laissons lui le bénéfice du doute.
et bien on te laissera le soin de lire et publier ces textes hypothétiques. Personnellement je n'oserai même pas les lire et les commenter en tant que lecteur, de peur de perdre mon temps à rédiger des commentaires pour rien comme ici.
Tu dis ça parce que tu es fâché.
je prends trop de médocs pour être fâché, camisole mentale, tout ça.