Résumé : 4eme épisode de "La Ruche" de Vlad, la série zonarde à l'univers et l'intrigue les plus aboutis et fascinants depuis "En plein cœur. PAN ! Pas ailleurs." de Valstar Karamzin. Mandeville en Louisiane à l'intersection de plusieurs univers oniriques où mutants hybrides et humains se côtoient dans une ambiance cronenberguienne malsaine. Ville où les théories du philosophe homonyme sont mises en pratique : le vice individuel améliore la société et la vertu collective devient un chantage et un abus de pouvoir de la masse. Vous êtes cordialement invités à reprendre les 3 premiers épisodes depuis le début pour mieux savourer ce 4eme opus et entrevoir les différentes trames et enjeux qui se mettent en place. à chaque fois on cherche de nouvelles influences à cette série, et cette fois encore, un nouvel axe de lecture émerge selon moi, celui du Carnaval des Animaux de Camille Saint-Saëns, probablement forcément du fait de l'ambiance de Mardi-Gras permanent qui transpire de cette ville de Louisiane. Les hybrides in fine ne seraient-ils pas tout simplement les masques derrière lesquels on se cache pour camper d'autres personnages que celui de l'enfant qui sommeille en nous, pour survivre dans ce monde de brutes ?
= commentaires =
Série à suivre, au lieu de glouglouter sur les trolls.
et ce que je raconte dans le descriptif est d'ailleurs valable aussi pour ton Agarttha dont on attend impatiemment la suite.
Quant aux Sept de Cuddle : même topo.
Oui oui j'essaie deja de me sortir du cul une histoire pour la saga texts appeal donc douuuuucement
ce sera donc autobiographique ! Yeah !
https://www.youtube.com/watch?v=AeLB0HLPtSY
Vraiment très bien comme d'hab, une écriture fluide, un univers complètement à part et une histoire bien ficelée. J'attends impatiemment la suite. Et d'ailleurs je pense me relire le tout depuis le début car je n'avais pas fait le lien entre tous les textes (passage avec Cassandre notamment).
Je suis sorti du film, j'arrive plus à suivre et à coller à l'intrigue. Manque de concentration. Je recommencerai demain.
C'est pas une série à attaquer en fin de journée.
Excellente, cette intervention d'Alain Minc, je l'ai tout de suite reconnu.
Le héros de Trainspotting également, la cantina de Star Wars Episode IV, et The Wire. Le casting, putain.
Au fait, je suis encore du même avis que Lunatik qui avait soulevé le problème de la communication télépathique clitoridienne sur les autres volets. Et ici, les commutateurs vaginaux c'est la même chose : immersive-breaking. Un détail qu'il faudrait changer.
Surreprésentation mammaire aussi, à débroussailler un peu.
Sinon la cohérence est là, on tient effectivement notre Frank Miller.
Allez, checkpoint.