substance critique
j'ai créé tout une série sur les parasites humains et les débris scientifiques humains. Eh oui, déontologiquement parlant c'est assez perturbant .. Mais après tout, cela peut être pris comme un avertissement car vous avez souvent entendu dire : mais jusqu'où va la science ?.
Cette phrase pose la question des limites des progrès scientifiques et les dépassements de celle-ci par certaines têtes de file qui pourrait avoir des conséquences fâcheuses sur l'ensemble de la population. lors de certains épisodes fâcheux tels que l'explosion d'une bombe atomique sur Hiroshima et Nagasaki. Les dégâts humains furent considérables et on assista à la naissance d 'humain déformés et démembrés qui garderont les séquelles des radiations. Ces pauvres monstres créés par l'humanité survivront pour la plupart à l'écart de la population et dans des conditions pitoyables. Ainsi, l'humanité ne retenant aucune leçon du passé, après des essais de clonage plutôt
aléatoires, trois scientifiques de l'institut Bactériologique du Maryland, décidèrent de modifier le système physiologique des individus..... C'est au sein de la convention scientifique sur les sciences moléculaires que ces trois titans de la science : Edward, Nickson et Jay vont modifier le système respiratoire de leur auditoire qui ne sera débloqué que par nécessité. Nous sommes en Juin 2045 soit un mois après la convention des sciences moléculaires et nos deux comparses Jeff et Lydie vont tenter d'éviter le pire......
chapitre 1 : sensation oppressante
Jeff n' aimais déjà pas ce monde mais alors celui qu'il allait découvrir serait bien pire, en effet, un matin qui aurait pu ressembler à tant d'autres, à cette suite monotone de jours sans intérêt identiques les uns aux autres , eut finalement des teintes plus inquiétantes .
Il s'en rendit compte au moment ou je me mit debout difficilement. il sentait sa tête lui brûler. Il était en apnée et il ne parvenait pas à reprendre son souffle. L'atmosphère manquait dans ce réduit situé proche de l'université du Maryland ses dernières forces furent utilisées pour aller vers la seule fenêtre existante de la pièce . Quand, il parvint à l'ouvrir , il s’aperçut qu'il n'y avait aucune différence entre l'intérieur de la pièce et l'extérieur. Il semblait évoluer dans un monde sans oxygène.
il ne tenait plus. Il avait besoin d'air. soudain une masse de gens semblables à des automates déambulaient devant sa fenêtre . Soudain , un être se distingua de la foule en remuant sa main pour l'interpeller.
Qui était-elle ?
À ce moment là, il sentait une bulle gélatineuse glisser le long de son œsophage sans que qu'il sache d'où elle venait, cela libéra sa cage thoracique et c'est dans cris qu'il revint à la vie. Il eut l'impression de renaître .IL essaya à son tours d'interpeller la jeune femme mais aucun son ne sortit. Il se contenta d'un signe de la main.
Elle s'éclipsa du groupe et se rapprocha de la fenêtre. Jeff se rendit bientôt compte qu'il n'évoluait plus dans le même monde. Les Moyens de communication étaient radicalement différent. Elle n'avait pas besoin de bouger ses lèvres pour être compris.
- Je ne t'ai jamais vu avant par ici.
- Je suis assez perturbé . J' ai l'impression d ' être chez moi sans l'être. L'air semble être compté et on se parle sans bouger les lèvres. Il faut peut- être que j'arrête de boire...
- Non tu as bien retranscris la situation, moi je m'appelle Lydie au passage et je ne suis pas surpris par tout ces changements. Je suis élève en troisième année de sciences moléculaire dans le Maryland. Lors de la dernière convention , trois chercheurs que je n'avais jamais vu auparavant
nous proposèrent une démonstration et nous fûmes tous impliqués en tant que cobaye. En général, après chaque expérience, ils redonnaient forme à tout les sujets utilisés lors de leur expérience. Néanmoins, ce soir là , ils en décidèrent autrement. Ainsi, les gens présents dans son auditoire restèrent emprisonnés dans leur corps génétiquement modifié afin d'assouvir la suprématie de ces trois titans de la recherche nommés : Edward, Nickson et Jay.
- ah cette convention... mais comment expliquer que je me souviens pas de cette étape ?
- ils vous ont endormi puis téléporter dans vos meublés
-mais, si tu travaillais pour eux, pourquoi t-on t-il fait subir le même sort ?
-À peu chose près , effectivement, ils m'ont transformé. En effet , je respire à l'aide de mon propre oxygène et pas à l'aide de leur quota de bulles gélatineux. Ils fournissent ces bulles d'oxygène pour que tu puisses te lever, parler un minimum à tes congénères pour le bien être de ta santé mentale et aller travailler. Moi, j'ai une marge énorme par rapport à vous tous. Il n'ont pas modifié mon système respiratoire. J'ai donc suffisamment de réserve. En revanche, regardes ton poignet.
-Qu'est- ce que C'est ?
-Un bracelet électronique qui t'avertit sur ta consommation d'oxygène et comment tu dois l'employer. Là, il te reste tout juste de quoi aller travailler au centre d'étude bactériologique.
-Quoi ! d'une j'y connais rien , je ne suis qu'un simple journaliste qui recueillait des informations pour mon journal... Puis, je ne veux pas …
-Tu n'as pas le choix , si tu n’obtempères pas, ils vont t'enlever ta réserve d'oxygène.
Jeff et Lydie se dirigèrent alors vers le centre d'étude bactériologique.
Chapitre 2 : l'expérience peut continuer
ils étaient tous devenus des ersatz d'humain,des résidus sociétaires et des pantins prolétaires … Le trio scientifique fournissait à la population juste de quoi se déplacer comme des pauvres automates au service d'une société contrôlée par des chercheurs fous. Lisant l'incompréhension sur le visage de son comparse à l'approche du centre d'étude bactériologique, Lydie reprit son discours :
- ils veulent justes rétablir un système d'esclavages hyper moderne qui profitera aux castes plus riches
- castes ?
- Oui , à la fin de cette convention ; c'est une dictature qui s'est imposée...
- OH, mon dieu !!!!! mais comment pouvons nous sortir de ce système.
- Fais moi confiance. Je connais bien l'institut. Je trouverai un moyen d'interrompre le processus.
Les portent de l'institut étaient immense. La forteresse bactériologique ressemblait à un monstre prêt à nous avaler au moindre faux pas. Ils n'étaient plus qu'un amas de molécules qui se dirigeait vers l'organe principale. Une sonnerie industrielle se mit à retentir puis une voix rauque et grésillante leur parvint :
- scannez vos badges avant d'entrer !
chacun sortit son badge afin de le scanner au niveau de l'interphone. Les grandes portes s'ouvrirent tels des mâchoires béantes prêtes à dévorer les salariés.
Après avoir traversé cette longue allée qui ressemblait à un couloir de la mort jonché d'herbes défraîchies, ils arrivèrent tous au ateliers de manipulation bactériologiques. De nouveau le son de voix nauséabonde de l'entrée se fit entendre :
-Reportez- vous au numéro de série notés sur vos bracelets
-Frustré Jeff fixa Lydie mais avant que ce dernier n'eut le temps d'exprimer ses remontrances, elle l'avertit :
- Ne pense pas ! Ne communique pas ! Ils ont accès à toutes tes pensées et ils n'hésiteront pas à t'éliminer. Regarde ton numéro de série et dirige toi vers le service approprié. On va essayer de gagner du temps sans éveiller leur attention. Je te tiendrai au courant. Je ne te laissera pas. Pendant ce temps, je vais tenter de m'approcher des consoles électroniques gérant le fonctionnement des bracelets. Pendant ce temps, fais ce que je te dis !
Jeff se dirigea vers son service d'affectation. Il était au service de la maintenance des outils de recherches. Pendant ce temps, Lydie qui avait modifié son numéro de série arrivait à se rapprocher du bureau de la direction sans attirer l'attention.
Chapitre 3 : interruption du processus
Une fois arrivée devant les entrailles de la direction, Elle se mit un peu à l'écart en attendant qu'un de ses pingouin viennent faire son tour de garde afin de substituer son Badge et cela ne se fit pas attendre. Arnold, un des gardes du corps de la direction, fit sa ronde. Lorsqu'il arriva au niveau de la porte, elle se glissa derrière et lui tira une balle dans le dos à l'aide du silencieux qu'elle avait planquer sur elle. Elle subtilisa son badge t et parvint à atteindre les consoles électronique. Cependant , même si elle avait sa propre réserve d'énergie et d'oxygène. Elle n'avait pas réussi à modifier tout ses paramètres. Malheureusement, elle était munie d'une puce de géolocalisation implantée dans sa nuque . Les dirigeants du pôle de recherche scientifique pour qui elle travaillait avant de se désolidariser du projet, avait pris leur disposition. Soudain, son bracelet se mis à clignoter en indiquant : « désintégration immédiate ».
En effet, en plus de contrôler le fonctionnement de l'appareil respiratoires en diffusant des ondes qui bloquait ou réactivait de manière alternatif le système pulmonaire, les bracelets électroniques pouvait carrément désintégrer les cellules de l'organisme en propageant des ondes assez forte pour faire imploser les sujets exposés de l'intérieur. Elle se mit alors à chercher un moyen de communiquer par le biais de la pensée avec Jeff mais en vain. Aucun signaux , ne lui parvenait puis soudain .. ..plus rien......
à L'étage du bas, Jeff avait un pressentiment. Lydie mettait du temps à revenir. Il regarda machinalement son poignée lorsqu'il vit une inscription clignoter : « désintégration immédiate » puis plus rien......
Peu à peu, il revint à lui en se laissant porter par la voix douce d'une femme qui ne cessait de l'interpeller :
- Jeff réveillez vous. Aller dites nous quelque-chose.
lorsque ses yeux finirent enfin par s'ouvrir. Il se trouvait dans une chambre d’hôpital :
- vous m'avez sauvé
- en quelques sorte oui...
-Merci d'avoir interrompu le processus de ce trio diabolique sans quoi j'aurais fini désintégré.
Nous n'étions que des pions vous savez ?
- Ouh... vous vous souvenez de rien . Je sais pas de quoi vous parlez Jeff mais vous avez dû rêvé. Vous avez eu un gros accident de voiture et Lorsque les secours sont arrivés, il ont dû soulever les carcasses de voiture afin de vous libérer. Cependant, vos voix respiratoires étant obstruée, On a dû vous intuber. On a dû vous opérer pour reconstruire vos voix respiratoires.
En effet, Jeff respirait douloureusement mais il respirait de nouveau. Il appréciait cette sensation de
liberté retrouvée.
Mais avez-t-il vraiment rêvé ? Tout semblait si réaliste...
j'ai crée une série de récits de fiction reposant sur les limites de la science dans un monde alternatif où les humains deviennent des erzats d'eux même et des débris sociétaires.
Le lecteur restera néanmoins dans le doute: réalité ou pure affabulation.
Je dédis le premier volet à l'appel à texte CTHULHU;
Le lecteur restera néanmoins dans le doute: réalité ou pure affabulation.
Je dédis le premier volet à l'appel à texte CTHULHU;
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"débris sociétaires"... Ça commence bien, on imagine des Immortels scandaleusement tentaculés. Mais j'ai l'impression que la suite est plus décevante.
j'aime le grand saut à la ligne de la foi, cet espace blanc après le 1er chapitre. Du coup on a l'impression d'accéder avec toute la fin du texte à une sorte de bonus post générique, une sorte de Kinder Surprise de film Marvel/Disney pour les yeux. Et d'ailleurs c'est peut être un hommage à William Salice cet illustre inconnu apparu en fin d'année dans la rubrique nécrologique et chiens écrasés qui a définitivement remplacé le journalisme mainstream en 2016.
Une introduction explicative au propos doublée d'une mise en garde au lecteur ? Calmons-nous.
D'ailleurs alors que je pénétrais dans la zone blanche entre le 1er et second chapitre à ma première lecture du texte, alors que l'ascenseur défilait interminablement et que j'avais décroché de tous les repères traditionnels auxquels je suis inconsciemment habitué et qui me rassurent dans le continuum espace temps de ma vie minable, je me suis senti paniqué tel Sandra Bullock au début du film Gravity de Alfonso Cuarón, puis glacé d’effroi dans le vide sidéral j'ai attendu que George Clooney vienne à ma rescousse mais il n'était pas au rendez vous(probablement à faire la fête à Aspen ou en Ethiopie ou dans un de ces bureaux du vétuste bâtiment de l'ONU à New York à se faire des lignes de C et par C j'entends NesC en dosette persée WTF else) puis j'ai atterri tel General Lee dans un des innombrables épisodes des aventures des Dukes of BioHazzard de l'autre coté de la rivière et tout est rentré dans l'ordre.
comme je doutais, je pensais à un bug du site et inconsciemment le mot "dirigèrent" à la fin du premier chapitre s'était transformé en "digérèrent" et tout prenait sens et je pensais vraiment que c'était une fin tout à fait dans les clous de ma raison.
clous rouillés, vous l'aurez déduit de vous même
"D'ailleurs alors que je pénétrais dans la zone blanche entre le 1er et second chapitre à ma première lecture du texte, alors que l'ascenseur défilait interminablement et que j'avais décroché de tous les repères traditionnels auxquels je suis inconsciemment habitué et qui me rassurent dans le continuum espace temps de ma vie minable, je me suis senti paniqué tel Sandra Bullock au début du film Gravity de Alfonso Cuarón, puis glacé d’effroi dans le vide sidéral j'ai attendu que George Clooney vienne à ma rescousse..."
Tu m'as donné envie de lire le texte. Par contre, je t'imagine mal en Sandra Bullock, surtout qu'elle est grave hasbeen maintenant. Comment peut-on faire un film avec Sandra BULLOCK ?§§ LE MONDE S4ECROULE §
moi je m'imagine bien dans Sandra Bullock. Sans problème. Je ferme les yeux et Hop. Je m'imagine très bien.
Ça me fait pareil avec Nadine Morano, surtout quand je suis au volant, mais pour ne pas se faire prendre il vaut mieux utiliser une autre méthode.
"À ce moment là, il sentait une bulle gélatineuse glisser le long de son œsophage sans que qu'il sache d'où elle venait, cela libéra sa cage thoracique et c'est dans cris qu'il revint à la vie."
Pareil pour moi. Surtout après le fromage.