ROMUALD RODRIGUEZ
(Écrit en collaboration avec Niro Bolant)
(Écrit en collaboration avec Niro Bolant)
Romuald Rodriguez est un vieux de la vieille dans la profession et l’univers de la maçonnerie, mais Romuald est aussi quelqu’un de plutôt con. Il se fout de la gueule d’autrui, et il est sexiste ; il n’hésite pas à apostropher les femmes qui passent, d’un « Dis donc, t’as un beau cul ma salope ! » suivit ou précédé d’un sifflement strident. N’ayant pas vraiment d’amis, sa vie sociale se limite à son travail, et, ça peut passer pour une qualité : il travaille beaucoup. Il rentre chez lui et recommence le lendemain. Mais un jour, ne s’y attendant pas, peut-être la fatigue ou la force de l’habitude lui ayant fait négliger toute méfiance, mais d’aucuns prétendront qu’on l’aurait « aidé » (car Romuald est légèrement raciste et n’hésite pas à apostropher ses collègues magrébins d’un « Dis donc, tu vas te bouger un peu le cul bougnoule ! » suivit ou précédé d’un doigt d’honneur, ce qui peut déplaire), il glisse sur un … « truc » et tombe de l’échafaudage. Les conséquences sont terribles, entre autres, il se fracture la colonne vertébrale, et on dira même de lui, qu’il est « foutu ». Romuald se retrouve donc à l’hôpital et se fait opérer par un « grand toubib », d’aucuns prétendrons que ledit « docteur » est du genre « chirurgien autodidacte et empiriste », ce dernier parvient cependant à sauver Romuald, mais désormais, suite à l’opération, de son corps, il ne reste plus qu’un pied, trois orteils, une oreille, une bouche et trois dents, le tout assemblé de façon plus ou moins aléatoire, ce qu’il y a d’encore ressemblant avec l’ancien Romuald, c’est une touffe de cheveux pourrie. Au début, l’adaptation est très difficile, oui, c’est très dur, car sa vie a complètement changé, puis, il se bat face à l’adversité et compense ses lacunes physiques dues à ce corps un peu étrange, d’une façon ou d’une autre. Et il y arrive, ne faisons pas l’erreur de sous-estimer les capacités d’adaptation de l’homme. Par la suite, il fait beaucoup de belles choses, beaucoup de bien autour de lui, comme de remonter le cours du Cher sur 20 kilomètres avec la seule force d’un orteil, ceci, pour réunir des fonds et sauver de la banqueroute, une chorale de chanteurs Alzheimers et sourds. Fort de cette réussite, il tente de sauver de la faillite, cette fois en remontant la Garonne à contrecourant sur 40 kilomètres avec son unique doigt, une petite usine de production de capotes pour moignons d’amputés. Il devient célèbre, il rencontre même la femme de sa vie et l’épouse. Il lui donne de beaux enfants grâce à la greffe du nerf et d’un bout d’urètre de son pénis irrémédiablement paralysé, sur sa phalange. Maintenant, tout le monde le trouve génial, car Romuald Rodriguez est un exemple pour nous tous, et une source intarissable d’espoir. Merci Monsieur Rodriguez, on ne vous oubliera jamais.
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"prétendront qu'on l'aura aidé" non?
"d'aucuns prétendront avec un "t"" Non? faut vraiment que j'embauche une relectrice... mais que voulez vous, quand on est qu' une pauv' merde d'écrivaillon pourri tout seul et solitaire sans personne...
Fais du tourisme sexuel, prends-toi en main.
Pour quoi foutre? je sens pas ma bite, de toutes façons je suis trop timide pour me payer une pute. (Et qu'est ce qui j'irais bien foutre à me faire chier à "Pétaouchnok")
Le maquettisme ?
Incroyable. Tu te plains plus que ton personnage.
j'ai pigé! on veut m'égarer, m'estourbir avec du sexe et des loisirs futiles pour m'éloigner de la réalisation de mon œuvre!!
ta demie-oeuvre. D'ailleurs ce serait bien que ce Robert de Niro volant se crée un compte sur le site, il pourrait ainsi le cosigner et poster d'autres textes.
Ben putain qu'il nique sa mère Romuald, jamais il n'aura mon argent sur Kickstarter.
RIP bescherelle