La résultante dépassa en absconses la plus incalculable des hypnoses dégradées, la raison flageolait, le sang s'émancipait, les bouches gagnaient les gorges, le passé ressurgissait des cliquetis apprivoisés, tout était enfin à défaire, mais rien ne se laisse jamais faire. Les brûle-gorges troquent escarpins contre godillots, les chantres des rois fous cassent leurs armatures de terre et s'autopsient l'égout, à coups de cannes folles, les yeux foulés n'ont qu'à bien se tenir, la noirceur du tableau badigeonnera ses doigts sur leurs faces brûlées, c'est au bout d'une pique qu'on reconnaît l'insulance, cette flamme pour consciences effroissées. Il n'est pas de bon ton de cajoler l'étrier en sortant de ses sources vives, l'aspic pointe droit, tête hors de l'eau, le rictus au rabais, dégoulinant de sa bave mousseuse, le regard fou en pointe de gouffre, le corps tendu, ses crochets de fer hors d'haleine.
La brûlure entoise ta peau franche, ton esprit crie panique, t'as la peur au ventre et l'espoir en tertre, ils sont forts, ils ont frappé, les deniers chauffés à blanc du trésor bien en chair, aux formes polies par la ronde repoussante et aux forces raides, paravents-accordéons d'une toilette intime aux gargouillis écoeurants, qui crachent sur l'immaculée en regardant son étal sanglant dans leurs faces de glace.
Ils sont fiers, aujourd'hui encore ils seront les plus forts, aujourd'hui encore ils sont les plus morts, mais leur encéphalogramme aveuglant miroite de tous ses feux, suit son rythme en lames, et leurs lits-piscines éclaboussent de mille lumières leur plongeon dans la boue de beauté.
Ils n'ont pas frappé, ils l'ont fait faire, ils ont la conscience tranquille des bourreaux hiérarchiques, des salauds hiératiques, ils ont la conscience des barreaux à limer, pour que cesse l'appétit-vomitoire des forts en plaies, de ces forts en traces, de ces rois aux chaises percées qui nous chient dans la bouche et nous disent que ça nourrit, car ce qui compte, c'est qu'ils comptent, ce qui compte, c'est qu'on ne compte pas.
Le sens magique éclaire ces parjures, vivons bandés, l'oeil préfère broyer.
Stricto sangsue, le sang sue stricte à l’ouvrage l’ouvre large pour du lard à l’âge cannes au pique-nique le rosé frais enivre le canonique ouvrage si bien étayé qu’il faudrait être fou pour que ça se voit plus, et pourtant, portants portés par porteurs de chaises percées, aux hémorroïdes gercées, bien endigués, étagés, en quel étage j’erre.
Demande à « Brazil », à l’équerre, l’équestre sauteur d’obstacles, steaple chaises au vidéodrome mate « On achève bien les chevaux » dansant jusqu’à l’épuisement sur la danse des maux formolés en mots émollients répétés calculés dirigés bien digérés et que vers de terre oxygènent bien une terre meuble sans devenir termites car d’or dort le fond de veau à vau-l’eau l’eau occis gênée chargée de métaux lourds mais tôt lourds lendemains si prise de cons science infusent diffusent de vrais fausses valeurs encore et en cors au dormeur du Val leurre toujours le dernier bidule.
S’il fait un bide c’est pas la fête à Dudule son emploi hypothéqué hypo hypo t’es qui en kéké baladé mets ton baladeur (ou MP rois) écoute logorrhée manufacturée manucure fracturée en gaze de schisme pour plaies ouvertes.
Contrat sauce sial faciale lames larmes de crocos fausses idylles, chaises élec triques. Stricto censure. Sang sur.
Parce que...
= ajouter un commentaire =
Les commentaires sont réservés aux utilisateurs connectés.
= commentaires =
jeux de maux, koi
il y a comme une surenchère, soudainement.
Petits animaux mo(r)ts n'oxygènent plus terre nourricière, empoisonnée, fin de texte en étouffoir, c'est la débâcle.
http://www.lazone.org/articles/2854.html
http://www.lazone.org/articles/2854.html
http://www.lazone.org/articles/2854.html
VOTEZ PHALANGES