Les nouvelles aventures du professeur Corbiniou
En se promenant dans l’Île aux élenphants, des gros gosses qui se trompèrent de pachyderme, le professeur Corbiniou rencontra deux jeunes faunes qui étaient en train de s’enculer, et auxquels il dit de but en blanc, « Alors les satyres, ça tire ! », en l’entendant, les deux satyres se tirèrent en se poussant au cul.
Plus loin il vit la vache, la Noiraude, qui revenait de chez son docteur, elle venait de faire beaucoup de veaux qui ne valaient rien, des veaux très moches, beaucoup de laids, qui étaient sortis de ses pis, au nombre de 3,1415… ces veaux, elle se les était fait faire à tord, lors d’une corrida dans son corps ridé, par un taureau espagnol qui buvait trop de café ollé ! « C’est vos veaux ? » demanda Corbiniou. Comme ces veaux étaient quand même braves, le professeur Corbiniou leur dit « Bravo ! »
Mais voila que, de calembours, pour faire un bras de fer, a repassé, le fantôme de Raymond Devos, dans de beaux draps. Mais ce tournoi métallique fut vite interrompu, car Iron man était venu rechercher tout son matériel, dans son armure et son fauteuil roulant de flic cyborg, qui part à plégique, là, sans même que Corbiniou ai le temps de lui dire : « Alors ça roule beurré dans le beurre Raymond Burr !? » Ce diable de Satan Cule, Cette sale tante de Satan passa en lui disant tout en se la tenant «Ça t’tentes ? », le démon du jeu de mon Q, apprit au professeur Corbiniou que le fantôme de Raymond Devos était descendu dans l’Enfer, faire son bras en fer, (avant de repasser). Puis, Corbiniou alla à la « Halle A », ah ! Là ! Il vit Allah, qui en chantant « Allah… claire fontaine… » (Une sanchon, de véronique, sans son (car elle n’est qu’écrite)) voulait aller manger du porc d’Amsterdam, et y vendre son âme aux dames nées là bas, des dames nées avec des nez de damnés. Des putes y’en avait plein (et elles étaient pleines, (d’embryons de foutres, et d’alcools) oui, y’en avait beaucoup, y’avait des putes, 1, 2,3 4, 5, 6, sexe, 8, 9…etc., oui à Amsterdam, j’en connais une, c’est bien là qu’elle a bites.
Mais tout ceci fut interrompu par l’intervention d’un gars masqué vêtu tout en noir qui était saoul et sous, sous une cape noire et un chapeau noir, il avait aussi une épée de la pointe de laquelle, comme il était trop bourré pour écrire correctement, il dessina, en le déchirant, un genre de rond, un rond presque aussi rond que lui, sur le veston du professeur Corbiniou , « Dites, vous seriez pas Zérro, vous , par hasard ? » Demanda en regardant le signe de l’épée qui lui avait été fait sur son costard, le professeur Corbiniou, à ce drôle de zozzo, « Zi, z’est bien moi ! » zorrozota alors ce dernier pour répondre, avant de disjoncter et de faire des signes bizorrares avec ses mains et son épée, dans les airs n’importe comment, des signes comme du langage de muets conçu pour un faux aveugle imaginaire…
Puis, pour en finir enfin, le professeur Corbinou dit : « faut que j’y aille, faut que j’aille manger un reboot, j’ai fin. »
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ça m'a permis de découvrir le professeur Corbiniou de Desproges que je ne connaissais pas. Avec Devos, manque plus qu'une référence à Choron, et au professeur Rolin pour réaliser un grand écart de poulpe des trublions les plus populaires.
Satan s'affaire seul ici :
http://www.lazone.org/articles/2854.html
VOTEZ PHALANGES
C'est toujours un combat pour finir la lecture d'un texte de Pascal Dandois.
Mais le calembour est mon plat préféré, j'en ai bien bouffé et j'avoue à contrecoeur que j'ai bien riz.
tiens, ça me donnerait presque envie de faire d'autres épisodes...
Il y a un petit côté Raymond Queneau.