Lieu commun 0000000000: pas de bras, pas de chocolat

Malencontreusement, car, pour une raison, sans doute X, je ne m’étendrai pas ici, sur les fantasmes dont sont parcourus les méandres mentaux de Jacquie, car cela pourrait faire au moins un livre entier, pour une raison bizarre, disais-je, la vision d’une courbe ascendante de statistiques dans cette revue sans intérêt, il attrapa une érection faramineuse et soudaine, qui avait surgit de ses vêtements, une érection dont il s’ignorait capable jusque ici. Comble de l’horreur son absence de membres préhensiles le rendait incapable de camoufler aux yeux des autres patients de la salle d’attente, une majorité de retraités, cette expression éhontée de sa virilité inassouvie. Par pure et absurde pudeur pour tenter cependant quelque chose de désespéré, il se tortilla sur son reste de corps, pour essayer de façon stupide de faire disparaître sa bite honteuse. Et ces mouvements corporaux aléatoires le firent choir de son fauteuil. Et le voila par terre. Ou presque. Car il était désormais juché, incroyablement, en équilibre parfait sur son extrémité, comme hors du temps sur la pointe de sa bite sublimement raidie.

Bonus :
Pendant sa marche, la canne du béquillard cassa, et il se retrouva par terre, un peu comme un con dans la merde. Pour continuer sa route, à que cela ne tienne, il se tapa vite fait une bonne petite branlette, qu’il ne mena pas à terme, histoire de parvenir à une bonne gaule bien raide. Il retira l’embout de caoutchouc de sa canne, et se l’emboîta sur le gland. Puis, il se hissa sur sa bite, et cahin-caha continua ainsi sa route en s’appuyant dessus…