Elle oscillait mon amazone
D'1 coup de foutre elle a vomi
Oyez le stupre de la Zone
D'1 coup de foudre ennemi
Par des railleurs tout en zircone
Concentrés en ZUS - Endormis
Leur prépuce bien affermi
Pour mon humeur en silicone
Oyez le stupre de la Zone
LA ZONE -
Oyez le stupre de la Zone
Ô ma rondelle salami
Ecrouée par 1 tsunami
A crevé la couche d'ozone
Ô ma rondelle salami
Ecrouée par 1 tsunami
A crevé la couche d'ozone
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Quant tu dis "oyez !" j'ouïs ! pardonnez mon passé simple, je voulais dire j'ois ! oui, j'ois ! Une fois, deux fois, trois fois, j'ois, j'ois, j'ois !
bon, donc, vaut mieux lire ça que d'être brûlé vif... nan, j'déconne, j'aurais préféré être brûlé vif.
Il me semble que le sens vient à la fin, c'est clairement une requête masochiste à un soi-disant lectorat ironique et lapidaire, sinon, il y aurait une grosse cheville du vers 1 au vers 8 de ce poème de 13 lignes dans l'unique but de se conformer au genre.
Nan, j'y comprends rien au poème autant qu'au seul commentaire présent.
Peut-être parce que je suis bourré.
Le titre est meilleur que le texte, malgré quelques vers franchement sympathiques. Notamment quand ça parle de foutre. C'est bien, le foutre, c'est fédérateur.
oyez, oyez mes salutations distinguées pour Curare et les autres zonards