C'est à la Saint-Michel, ma mère,
Qu'expire mon foutu tacot
D'un bruit de trop sous le capot.
Ces machins-là sont éphémères.
Sous le ciel bleu qui s'indiffère,
Plus fumigène que Nicot,
C'est à la Saint-Michel, ma mère,
Qu'expire mon foutu tacot.
Désormais, c'est à pied que j'erre,
Avec mes trous dans les chicots.
Bientôt la fin des haricots.
Quand remets-je le pied à terre ?
C'est à la Saint-Michel, ma mère.
LA ZONE -
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Comme je le disais à Lapinchien, ceci est sans doute le texte le plus autobiographique de toute mon existence.
on dirait mon horoscope écrit par Alain Bashung. ç'eut été plus cocasse, une panne, à la Noël.