L'île des fantômes
Le soleil éclairait la piste de décollage du Closed County Jail District, une prison qui accueillait les plus dangereux des criminels existantes aux Etats-Unis et qui allait être détruit car elle était trop vieille et délabrée. Les prisonniers vêtus de orange étaient enchaînés des pieds à la tête car c'était trop dangereux de les laisser en liberté en effet car ils étaient tous condamnés à mort pour des crimes horrible. Ils avançaient en rang serré.
Le sergent McGill originaire du Milwaukee, grand, robuste qui portait des lunettes et un chapeau, hurlait dans un mégaphone à s'en briser la gorge.
_Allez ! Plus vite que ça ! On n'a pas toute la journée.
Des gardes armées et portant des masques à oxygène en cas d'empoisonnement encadraient le trajet du Bloc E de Closed County Jail District, une angoisse naissait dans le cœur du sergent McGill. Un des prisonniers, noir avec un bandana, assez mince et petit avec de grand yeux noisettes amusés s'adressa au représentant de l'ordre qui fumait une cigarette.
_Hé mec ?! C'est trop cool, ça ! On se paye un voyage en première classe ! Y'aura des clopes détaxées ?
_La ferme Tucker dit le sergent McGill. Retourne dans ce putain de rang si tu ne veux pas goûter à ma matraque.
_Hé mec ?! reprit le prisonnier en taquinant le sergent. J'espère que les hotêsses porteront des jupes et qu'on pourra voir leur petit cul blanc !
Mais soudain Tucker se fit pousser au sol par un homme gigantesque de type mexicain avec des cheveux longs et noir tenu par une queue de cheval. Il avait aussi une araignée tatouée sur le front ainsi que des flammes sur les avant-bras. Tucker perdit son sourire coquin et fut effrayé par la force de son adversaire. Tous les autres prisonniers s'arrêtèrent en même temps car ils était tous reliés par une même chaîne. Austin, un homme chauve et barbu, très musclé à force de faire des tractions dans sa cellule aida Tucker à se relever.
_ Hé mec ! dit Tucker en dépoussiérant son habit orange. Ce mec me fout les boules, mec ! J'ai cru qu'il allait me faire la peau !
_ Fais toi discret, Tucker. Dit Austin avec un air inquiet. Pablo est un vrai cinglé. Il a égorgé sa grand-mère sous les yeux de son grand-père. Il est dangereux.
_ Hé mec ! T'oublie que j'ai violé ma petite soeur !
_ Tu fais pas le poids, Tucker.
Tous les prisonniers rentrèrent dans l'avion et McGill ferma la marche. L'excitation avait gagné le coeur des prisonniers car c'était leur dernier voyage en avion avant leur exécution. Ils allaient rejoindre New Alkatrazz, une forteresse érigée en pleine mer...
Mcgill alla rejoindre le commandant Williamson, un homme d'une cinquantaine d'année avec des cheveux blancs. Il donnait des informations à la tour de contrôle avec un micro fixé à son casque de pilotage.
_Alors Williamson, comment se présente notre petit voyage ? demanda Mcgill en enlevant ses lunettes.
_ Je ne sais pas. La météo est bonne mais...
_ Mais quoi ? interrogea McGill si le temps est bon je ne vois pas ou est le problème ??
_ Je n'ai jamais fait ce trajet et ce qui m'inquiète c'est que nous allons devoir traverser le triangle des bermudes.
_Vous ne croyez donc pas à toutes ses légendes, quand même ? Et puis vous êtes sur
_Ce ne sont pas des légendes, des choses se sont vraiment passé.
_Alors pourquoi vous n'avez pas demander un changement de trajet
_On m'aurait prit pour un fou.
Mcgill lui tapota l'épaule avec gentillesse
_Ne vous inquiètez pas, tout va bien se passer
Les réacteurs hurlèrent et l'avion s'envola en tremblant. Tucker avait peur de l'avion et surtout parce qu'il ne l'avait jamais prit avant. Quand l'avion se mit en route il agrippa le genou d'Austin
_Hey mec c'est normal ce bruit ?
_ Ecrase Tucker. Où sinon j'appelle Pablo.
Pablo était assit tout seul au fond de l'avion dans le dernier rang car il était un peu trop dangereux. Riana Michaels, policière experte en art martiaux à l'air hispanique avait pour mission de ne pas quitter Pablo le mexicain égorgeur des yeux car il pouvait se réveler instable et devenir fou.
_Putana dit Pablo sur un ton machique, va me chercher une tequila !
Tout de suite comme réponse l'experte en art martiaux lui donna une gifle car elle n'était pas du genre à se laisser faire car son père l'avait éduqué durement dans les favelas du Brésil ou elle avait cotoyer toutes sorte d'énergumène. Les autres gardes vérifièrent si les autres prisonniers étaient bien attaché et Phinéas, un psychopathe cannibale tentait de parler de philosophie avec Jimbo, un gros redneck originaire de la Caroline du Sud qui s'était spécialisé dans l'écrasement de tête avec un parpaing et qu'on avait surnommé "The Brain Breaker from South Carolina"
_Tu sais ce qu'est l'idiosyncrasie ? demande Phinéas
_Je m'en fous de l'idiot saint crasil, j'sais même pas qui que c'est.rétorqua Jimbo
_ Ecoute, c'est une notion complexe qui couvre la dimension collective de l'art, c'est à dire le langage commun et aussi la dimension singulière, comprend la manière particulière d'utiliser ce langage pour chaque personne. C'est très complexe tu sais. Tu devrais lire Kant.
_Parle normalement connard ou dès qu'on arrive dans cette taule je te bourre le fion dans les douches.
Un garde jeune et a l'air dépassé par les évenements vint pour calmer les deux alcolytes en leur disant de la fermer.
Au bout de une heure de vol, alors que l'avion survolait l'océan il y eut une grosse secousse qui se fit sentir et fit perdre au moins mille mètre d'altitude à l'avion. Tucker hurla
_Hey mec ! C'est quoi ce délire ?
Austin ne répondit pas mais il trahissait son inquiètude.
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Dans le cockpit McGill non plus n'étais pas rassuré alors il demanda des précisions car il avait un mauvais pressentiment
_Que se passe-t-il, Williamson ??
_ Je ne sais pas, nous traversons une zone de turbulence
_ Mais le temps est clair, tout à l'air de bien se passer !
_ Il y autre chose : Nous venons d'entrer dans le triangle des bermudes
_ Si c'est pour m'effrayer, c'est réussi ! Allons Williamson nous ne sommes pas là pour plaisanter
_ Je ne plaisante pas, McGill
Soudain il y eut une autre secousse et les gardes furent projetés dans l'allée entre les deux rangées de l'avions. A cause de ça Riana Michael tomba sur les gros genoux de Pablo qui la mordit violement au cour pour lui fair un suçon alors l'experte en art martiaux lui donna une autre gifle. Tucker criait beaucoup et appelait à l'aide, il était terrorifié. L'alarme de l'avion s'activa et McGill sorta du cockpit pour calmer l'énervement avec son mégaphone mais il chuta à son tour à cause de la troisième secousse qui lui fit écraser ses lunettes noires mises dans la poche de sa chemisette.
Puis soudain l'avion prit une grand vitesse avec un gros bruit.
_AU SECOURS MAMAN A L'AIDE !!!! J'VEUX PAS MOURIR, J'SUIS TROP JEUNE
_ DU CALME !! TOUT VA S'ARRANGER !! disait McGill effrayé
_ LIBEREZ NOUS !! Criait Mason Storm, un ancien Marine originaire des ghetto chaud de L.A accusé à tort de triple meutre.
_ LOS MIOS ! Dit Pablo. Enlève moi ces foutues chaînes, puta !
_ TA GUEULE PABLO ! cria Riana en braquant son arme sur le mexicain tatoué
_ SAVAIS-TU QUE LA MORT N'EST QUE LE DEBUT DE LA VIE ETERNELLE ? demanda Phinéas
_ DES QUE J'AI LES MAINS LIBRE, J'EXPLOSE TON CERVEAU ! hurla le brainbreaker avec sa tête collée à son siège
Tucker vomit et Austin pesta contre le jeune noir humoristique, il avait très peur aussi. L'avion alla de plus en plus vite et tout devenait noir et des parties de l'avion commencèrent à s'arracher se qui fit que des gardes furent happés par le vide mais pas les prisonniers qui étaient solidement attachés.
Le ciel était sombre alors qu'il faisait beau et le pilote transpirait en essayant de relever l'avion mais il ne pouvait rien faire car il était déjà en perdition et il était sur qu'il allait laisser sa peau.
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Tucker se réveilla et ne reconnu par l'endroit qui l'entourait avec plein d'arbres et de feuillages et d'herbes verte très fraîche ou il était allongé. Il avait très mal au crâne et était dans cette sorte de jungle, ses jambes et ses bras avaient été détaché, il ne se souvenait de rien, ou il avait du mal en tout cas.
_ Hey les mecs ! vous êtes ou les mecs ? Austin ?
A ce moment un buisson avec des fleurs roses et bleues trembla dans tous les sens des fleurs en tombèrent et une gigantesque ombre en sorta que Tucker reconnu car il était musclé mexicain et tatoué donc il recula et tomba sur une branche marginale, trébucha.
_ Hé, yo, dit-il en cachant sa peur, Pablo, comment ça va mon pote
_Grmbll... grogna Pablo en faisant craquer ses doigts
Puis il s'approcha de Tucker et le releva par le col de son pyjama de prisonnier et l'envoya avec une force surhumaine dans un arbre. Tucker fut secoué dans tous les sens et croyait que la branche allait resister à son poid de plume mais elle craqua et il tomba par terre, heureusement le sol humide était mou.
_ J'attendais ce moment longtemps, fils de chien de ta puta madre
_Attend mec, on pourrait discuter
_ Yo vais te saigner comme una cabra* (une chèvre)
Alors Pablo montra une pière qu'il avait tailler pour qu'elle soit pointue et au moment ou il allait égorger Tucker il fut interrompu par un rire énorme qui raisonna dans cette clairière et qui semblais se promener d'arbre en arbre. Il chercha l'origine de ce rire mystérieux mais ne trouva rien et fut inquiète ce qui laissa du sursis au pauvre Tucker. Le rire s'intensifia et cela énerva beaucoup Pablo
_ C'est quoi ce bordel de cabron ?
_ J'sais pas, mec ! C'est grave pan-fli !
_ Peu importe, yo vais quand même te saigner comme une cabra
Determiné et malgré le rire inquiètant et malfaisant et aussi terrifiant, Pablo le mexicain sanguinaire releva la tête de Tucker pour mettre sa gorge en évidence mais soudain, au moment ou il allait planter sa pierre taillée...
_Jette ton arme, Pablo
Cette voix roque était celle de Mason Storm, l'ancien Marine injustement accusé qui tenait une arme. Pablo obéit s'il ne voulait pas se faire remplir de balle. Tucker put respirer et vit à son tour le visage de Mason. Effrayé Pablo posa son arme et leva les mains en l'air. Sauvé Tucker alla se cacher derrière son sauveur.
_ Ou as-tu eus ton arme, cabron ? demande Pablo
_ Je me suis reveillé à côté de McGill, il était tombé dans les pommes alors j'en ai profité pour lui voler ça.
_ Tu entends ce rire ?
Le rire se calmait un peu, disparaîssait ou s'éloignait, ils ne savaient pas trop d'ou ça pouvait venir. Alors il regarda partout en pointant son arme partout et tira dans les feuilles des arbres. Mais il ne réussissa qu'à tuer un perroquet de toutes les couleurs et tous les oiseaux s'envolèrent dans le ciel.
_ Les mecs, on s'arrache, faut retrouver les autres.
_ Tucker a raison. Moi je viens de la plage, notre avion s'est échoué sur cette île inconnue et il n'y a aucun signe de vie. McGill ne pourra plus nous faire la loi avec son arme, on pourra avoir le contrôle.
_ Je suis fatigué, c'est l'heure de la sieste mais j'accepte de faire une alliance avec vous. Mais dès qu'on sera sortie de cette cabron je te jure que je t'etripe, okay ? dit-il a Tucker
_ Tope la, mon frère
Pablo topa mais très fort et Tucker avait mal à la main. Ils commencèrent a traverser la jungle et le rire n'était plus là mais il y avait quand même une drôle d'ambiance dans cette jungle et des serpents énormes dans les fourrés. Tucker se cachait derrière Storm car il était aussi effrayé par ça et surtout Pablo menacer de le charcuter à tous moment. Enfin ils arrivèrent sur la plage et l'avion cassé de partout donnait un grand jet de fumet dans le ciel qui n'était plus bleu mais gris à cause de ça.
_Bon, on va réveiller ce maton çà va lui faire tout drôle.
Pablo traîna McGill assommé jusqu'à la mer et lui plongea le visage dedans puis le ressorta au bout de trentre secondes et McGill toussa et avait le visage trempé. Il comprit ce qui lui arrivait et chercha son arme mais c'est là que l'ancien Marine injustement condamné lui montra son flingue qui lui appartenait avant le crash quand on le considérait encore comme un gardien de la paix et le secoua devant sa tête pour se moquer de lui
Dans un autre côté de la jungle , Phinéas s'était réveillé avant l'écraseur de tête et l'avait attaché par des lianes solides de bamboo et à une tige bien solide. L'énorme originaire de la Caroline du Sud
Il voulait se libérer mais il ne pouvait pas car c'était le seul prisonnier encore sur cette île malgré cet ignoble crahs qui avait sans doute fait se désintgrer le pilote dont Phinéas avait retrouvé un bout de bras en lambeaux proche de lui.
_Si tu me libères pas je te jure que je vais transformer ton cul en un terrain de stock-car !!! hurla Jimbo en voulant se libérer
_ Sais-tu ce qu'est le déterminisme, Jimbo ? demanda Phinéas
_ FERME LA VIEILLARD ! TU VAS DEVENIR LE GARAGE A CHIBRE LE PLUS VASTE DES HORIZONS !
Et avant que Phinéas n'eut pu continuer son explication, le même rire terrible raisonna dans la jungle humide et même Phinéas ne put pas ne pas faire semblant de ne pas avoir peur mais en fait il l'avait. Jimbo ne se débattit plus quand tous les grands arbres se mirent à s'agiter et le rire à se rapprocher.
_ As-tu peur de la mort, Jimbo ? J'espère que non parce que sinon je pense que ça va mal aller pour toi, moi je m'en vais. Tiens je te laisse cette petite cuillère et une boite de haricot blanc trouvé à côté. Je reviens, j'ai une révélation à vous faire. Je vais me préparer dans la jungle pour lui donner plus d'impact sur le groupe.
Quand Phinéas disparu a travers la jungle un affreux monstre à la peau blanche et recouvert par des chaînes rouillées et des piques sur le crâne apparu dans un mouvement poussiéreux et il fit soudain très froid. C'était ce fantôme qui riait et quand Jimbo se rendit compte qu'il ne pouvait rien faire il cria très fort.
Ce cri alerta Riana qui elle avait réussit à prendre les choses en main et à menacer Austin et d'autres prisonniers avec son arme car elle s'était réveillé en premier. Ils étaient sur la route de la grande fumée noir qui allait dans le ciel quand le cri les attira alors ils se précipitèrent et découvrirent que Jimbo était affreusement mutilé, que son ventre avait été ouvert de haut en bas pour en extraire ses tripes puis avait enroulé son intestin grêle comme des menottes autour de ses mains aux doigts arrachés par une force et le sang coulait encore. Riana eut une nausée et Austin n'y croyait pas, il aurait préféré se faire exécuter plutôt que de voir une mutilation aussi infâme. Le rire n'était plus mais il retentissait quand même.
_ Il a du se faire manger par un lion ou quelques. Dit Louis, un prisonnier banal.
_ Je pense que vu la dimension diamétrale des entailles, ce n'est pas un animal... dit Wayce qu'on appelait aussi "Calculatrice" car il était fort en maths.
Et soudain Phinéas revint tout paniqué, suant, avec des branches collés dans son uniforme de condamné. Il avait aussi de la terre boueuse sur ses chaussures. Il était si pâle qu'il en devenait transparent. Non en fait, il était transparent.
Ils étaient tous transparent.
_ Nous sommes décédés... proféra-t-il placidement. à présent, nous sommes les fantômes de l'île. Regardez, quand je mange ça tombe directement dans mon pantalon ! Je n'ai plus de réalité physique !
_ Mais on est décédé... grommela Jimbo en ramassant ses tripes. ça veut dire qu'on a crevé !
_Non, mon pauvre, dit Phinéas. Cela veut dire que nous sommes libres !
Grattée en quarante quatre minutes sous bloc-note et pas que, voilà une merde bien tassée bien lourde, bien clicheteuse et absolument américaine. C'est un plagiat remixé de Lost et des Ailes de l'enfer. Notez en prime le titre qui spoile déjà la chute et donc tout l'intérêt de ce ridicule torchon. Nous voici donc transporté dans une carlingue transportant des dangereux détenus tous très complexe et attachant (on y retrouve l'intello, le mexicain, le bouseux, le noir de service) vers une prison très haute sécurité mais voilà il se passe ce qu'il doit se passer... En vous souhaitant une bonne lecture de merde :)
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L'exotisme de certains personnages sauve un peu mais c'est toujours le même problème avec les gens qui pratiquent la parodie : malgré toute la bonne volonté que tu mets pour paraître cynique/ricaneur, ça reste un hommage. Et on voit trop les ficelles, on sent vraiment que tu "imites" la médiocrité au lieu de la servir, de la faire vivre.
Je ne peux que te conseiller d'écrire un récit d'aventure au premier degré pour ensuite incruster une inquiétante étrangeté, un infime détail, qui vrillera toute la structure (forme comme fond) de ton texte. L'effet sera décuplé.
Lorsque Hugo Drillski m'explique que sa volonté était de recenser les grosses ficelles scénaristiques des films des années 80, je le crois. D'autant plus que son script est pour ma part bien meilleur que celui d'un Expendable par exemple. Et recenser cela dans un texte ce n'est pas vraiment parodier un genre et cela montre d'une forme de savoir faire subtil sans que ça ne devienne une liste de commissions, distiller, diluer cette liste (probablement difficile de la faire exhaustive cependant) dans une histoire qui tienne la route. Ici je trouve qu'il s'en sort brillamment tout en restant comique.
Après donner des conseils d'écriture, c'est un truc qui me mine en ce moment un peu partout. On voit des tas de marchands de néant qui ne produisent rien et qui conduisent des atelier d'écriture (je ne critique pas LP, j'espère qu'il ne propose pas d'atelier d'écriture cependant pour inculquer des méthodes dans les cerveaux des gens) Personnellement je pense qu'il n'y a pas de méthode à enseigner en écriture, chacun à la sienne. Les professeurs d'ailleurs ne le font pas, ils enseignent les règles fondamentales en orthographe et grammaire, puis les grands mouvements dans l'histoire de la littérature, en rien il ne donnent justement les ficelles du style car de l'écrivain à l'écrivaillon, chacun à le sien et dans le domaine, il vaut mieux chercher à surprendre que d'essayer de suivre une méthodologie. Autant on alphabétise certaines personnes qui en ont besoin, autant dans ces atelier on inculque du bullshit méthodologique dans le cerveau des intervenant car in fine, l'inspiration, l'originalité, ça ne s'enseigne pas au risque de former des clones littéraires de soi-même et c'est ce que ces pseudo-experts font en réalité.
C'est un truc que je lance en l'air mon "conseil" : je commente, je ne dirige pas. Un peu comme quand toi tu me dis d'arrêter les calembours ou les sujets sur l'infotainment.
oui, c'est pour ça que j'ai ajouté que je ne te critiquais pas. Je rebondissais sur tes propos #ZBOING #ZBOING #ZBOING
je vais supprimer mon favori pour un moment
C'est à dire lazone, de mes onglets. Et rien à voir avec le fait que j'envisagerais d'assassiner mon amant.
Entendons-nous bien.
il faut lancer une alerte enlèvement ?
Salut,
ô pti'in, la fin est délire, et y'a une progression stylistique aussi, le niveau de pertinence des conjugaisons semble chuter avec l'avion et continuer de tomber même quand il ne tombe plus, mais j'ai adoré ça.
Ce serait marrant de refaire le même texte dans le cadre hypothétique (expérience mentale) d'un reboot de licence.