Pas contre, le mot « ovation » subsiste fortement et je n'ai pas la nécessité de le cherché dans le susdit dictionaire puisque je sais pertinablement que cela concerte l'ovation de nos seconde moitiée de la junte féministe. Efectivement, la femme, quand elle effecture ses monstruation crééent des ovales par le travers de ses trompes interlopes, qu'il ne sagirait guerre de confuser avec la trompe que le pompier et la pompière manutentionent lors d'un cendrier. Il ne sagirait point davantage de confuser l'ovale avec l'ovule, qui comme chacune sait s'averre une drole de forme géométricale qui fait penser au carré de l'hypothèse qui à son tour calcule le cercle dans toute sa circonférenciation. Mais je diverge, et je vous pris de bien vouloir m'excuser ce parti prix.
Dé lors, suite à une très longue réflection mentale, qui par ailleurs fut opéré alors que je poursuivait ma réflection afin de vous mettre ce texte en sous-main, j'en viens à la concussion qu'il sagissait par contre d'un néologique qui fût inventorié par le créateur de la compétition que je participe ici.
Puisque le mot « inovation » n'existe pas, selon toute parabolité, je me dois de vous soumaitre une définition. Le mot « inovation » est bien entendu un mot féministe, donc il faut utilisé les articules « la » et « une », ceci avant de prononcer le mot lui-même, ceci par vous-même. Cependant, puisque le mot « inovation » débite par une voiëlle, il faut résolument que l'articule « la » se métamorfose en la lettre « l », celui-ci sera imédiatement suivi d'une petite boucle pendue en l'air de la même façon que la suite de mots que je vient de vous écrire précédament pour vous faire un échantion qui s'engage à vous montrer un exemplaire qui permettra le lecteur, unsi que la lecteuse, d'entendre la phonétisation de l'élipse de la lettre « a » qui aurait pu normalement suivre la lettre « l » mais qui ne le suit pas, ceci car le mot « inovation » débite par une voiëlle. La suite de mots « l'air » unsi que la suite de mots « s'engage » mais aussi la suite de mots « l'élipse » sont des exemplaires adéquoi pour ce que je tente de vous faire entendre. Oui, les mots « air » et « engage » et « élipse » débitent tout deux par une voiëlle, ce qui les rend comparable au néologique qui nous ocupe, à savoir le mot « inovation ». Vous-même, mais aussi moi-même, doivent dire « l'inovation » mais pas « la inovation », ce qui serait une grosse faute de gramaire.
Mintenant que nous avons explicité le problème, toujours complexe dans la langue française, de l'articule, je vous suggeste de nous concentrer sur la définition propre. C'est très simple, tellement simple que ce n'est pas évident si la réflection n'est pas au rendez-vous. Le mot qui n'existe pas mais qui depuis le débit de cette compétition désormais existe, à savoir le mot « inovation », ce mot « inovation » commente le contraire opposé du mot, qui existe déja depuis très longtemps, depuis les anciens, cet à dire le mot « ovation ». J'ai recherché l'étimologisme du mot « ovation », et je puis vous assuré que ce mot est très ancien car il reviens de nos ancètres les plus anciens, cet à dire les greco-romains. Je vous site, en empreintant d'internet, qui lui-même empreinte à « Sectus Pompeius Festus » (un gramairien latin du deuxième siècle né à Narbonne) : « Certains auteurs le font découler du mot grec "éuan", désignant un cri de joie ». Un cri de joie, parceque la femme, lorqu'elle est sujet à des monstruations, crie de joie car elle se rend tout à fait conte qu'elle peut toujours créer des nouvelles projenitures. La définition du mot « inovation » nous permet de déduire, puisque nous trouvons dans son sain même, et dans les primaires deux lettres qui le compose, le préfet « in- », ce qui nous fait à son tour comprendre, car le préfet « in- », comme dans les mot « ineficace », « inachevé », « inaxeptable » et beaucoup d'autres mots dont le préfet « in- » débite ces même mots, donc car le préfet « in- » nous fait comprendre que nous somes en train de nous mettre en face d'une opposition au mot dont moi-même avec l'aide de vous-même, lecteurs et lecteuses que nous venons de définir, à savoir le mot « ovation ». Ce mot nouveau propositionné par le créateur de la compétition que je participe ici, le mot « inovation », c'est l'opposition du mot ancien « ovation ». Bref, l'inovation est l'improbabilité pour la femme de se voir entré dans la phase temporalisé de la monstruation.
L'inovation se pourrait bien de devenir ce qui arrivera dans le futur. Je panse au très bon livre de l'écrivaine Agata Christie, dans une de ces seuls livres d'anticipension, « Les fils de l'homme », un livre qui se lit dans la tereur d'imaginer l'humanité qui deviendrait dans l'incapacité de crééer des nouvaux enfants. Les anciens enfants seront devenu adultèrins, et les pleines de jeu seront avec de la poussière partout. Nous en arriverons bien là, car nous y somes déjà surtout depuis la contrasceptisation par l'usage de la pilule mais aussi de la couche de caoutchouc dont l'on endimanche le pédancule masculiniste. Mais aussi les produits caustiques qui sont renversé dans les rivière et même les fleuves, sans parler de la mer, et qui rend les oiseaux malheureux avant de rendre les hommes, cet à dire les femmes, eux-mêmes, donc elles-même, malheureux puis malheureuses. Il sagit ni plus ni moins d'une crastationisation de la junte féministe, un intentat à sa pudeur, une conspirationisation perpétrer par des gens mal attentionisées. Je voudrais faire un apelle pour l'arrêté imédiat de se genre de perpétraction sectaire. C'est certain, je suis au courant de certaines maladies vénérées ou biologiques qui produisent des problématiques dont les conséquences désastreuses ne sont pas sans remémorisé le concept nouveau introniser par le mot « inovation ». Nous devons y voire l'interventionisme de Dieu le père, dont les voix sont impénétrables pour le communs des mortaises. Nous somes tous mortaises, ce pourquoi nous mourissont quand Dieu le père nous remémorise de sa présence dans un silence opaque mais divisible entre lui, son fils et son seing privé, qui est lui indivisible puisque tout seul. Nous savons mintenant que le fils était très divisé, surtout dans les églises. Mais je diverge, et je vous pris de bien vouloir m'excuser ce parti prix. L'inovation est une bien triste afaire lorsque cela arrive à une femme, mais aussi lorsque cela se passe chez n'importe quel animal a fortissimo lorsque cela arrive à une femme.
A la relecture de ce petit texte, je suis fort aise de le voir très complait, car nous avons poursuivit les pourtours de la gramaire, unsi que de la définition du néologique « inovation », pour terminé par une réflection 'philologique'. (Oui, moi aussi j'inventorise des néologiques avec le mot « philologique » parceque je ne vois rien de logique dans la philosophie, la preuve en est-il que le mot « logique » n'est pas dans le mot « philosophique » mais le mot « -sophique » qui n'a rien avoir avec la logique, alors que la 'philologie', l'autre néologique qui vient du mot nouveau « philologique », contient la forme apauvrie de « -logique », dont l'ortographe fut détruite par l'histoire de France pour devenir « -logie ».)
Je voudrais conclurisé ce petit texte très technologique, je vous prie de bien vouloir m'excusé la chose qui n'était guerre intentionalisée, car je comprends le difficile que ce texte peut ocasionné chez le lecteur et la lecteuse, que je suis un grand armateur des néologiques, et les derniers décénnies nous ont offert beaucoup de néologiques, surtout grâce à nos amis anglo-sexons, et que cela porte notre belle langue française dans le monde des dernières nouvelles, mais aussi la langue française continue d'évaluer dans la direction de la nouveauté, ce qui la rend très innovante.
Tout d'abord, très chers lecteurs et lecteuses, j'aimerais vous informuler que le mot « inovation » n'existe pas dans le dictionaire que je préconise. Mais puisque j'ai fais la promesse à moi-même et à vous-même d'écrire un petit texte à l'intention des lecteurs et lecteuses, je m'adonne à l'exercise ci-avant et après cette courte introductionisation.
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Eric et Ramzy n'ont plus à présent qu'une main pour deux : je ne vois pas d'autre explication.
L'auteur m'avait déjà convaincu avec son texte sur les inuits et les eximos, y'a pas à traire, c'est d'la boule.
Mon passage préféré reste celui sur Agatha Christie et les fils de l'homme, les pleines de jeu sous la poussière et le christ très divisé, surtout dans les églises.