Résumé : Gros texte foutraque plein de digressions et de considérations foireuses philosophico-littéraires, avec Schtroumpfs grillés sauce champignons, ouvertures de vortex, et outrage aux personnages, aux narrateurs, aux auteurs, et aux lecteurs, et aux ayant-droits.
[ Gros texte foutraque plein de digressions et de considérations foireuses philosophico-littéraires, avec Schtroumpfs grillés sauce champignons, ouvertures de vortex, et outrage aux personnages, aux narrateurs, aux auteurs, et aux lecteurs, et aux ayant-droits. ]
le 21/04/2013 à 17:48:50
gRRGRRrrrrGRGrrrGgrrr... Encore une mégatonne de données dans laquelle se planquent des tas d'informations à recouper avec ce qu'on croyais déjà savoir sur toi GRRGrrr Je finirai par decouvir ta véritable identité Grrggrr j'ai lu jusqu'au bout la bave aux lèvres pensant que c'était elle que t'allait cramer cette année ... Dourak Smerdiakov, à mort ! Si ce n'est pas moi, c'est Yasni et les Googles Glasses qui finiront par te confondre car sur un temps assez court et précisément à cette époque de cette civilisation les mécanismes d'autodelation Facebook et les logiciels d'apprentissage neuronnaux connectés aux serveurs reliés aux cameras de surveillance finiront par te mettre à jour. Ta stratégie est déjà un échec et bientôt il n'y aura plus que le vrai toi et un vortex immense à tête chercheuse dans ton histoire personnelle ihihiUHUHUohhhohh
le 21/04/2013 à 18:36:28
Rassure-toi, il n'y a pas grand chose à apprendre sur moi là-dedans. Ceci dit, j'ai effectivement vécu toute la scène dans le plancher, presque telle quelle.
le 22/04/2013 à 00:58:02
Dingue. Premier texte de Dourak que j'arrive pas à finir. J'y reviendrai mais là j'avoue, je m'ennuie un peu.
Carque
le 22/04/2013 à 09:54:57
Tout le contraire pour moi. J'ai toujours énormément aimé les prises de tête, donc la scène entre l'auteur, le narrateur, le génie, la femme de l'auteur et la femme du narrateur (et le chat) me ravit profondément
Et puis Gérard Depardieu en tutu qui a envie d'amour, fallait oser.
le 22/04/2013 à 11:35:26
Ca me fait énormément penser à ça : http://www.lazone.org/articles/1696.html
Dourak, à mort.
Sinon, c'est con et brut, mon vote ne s'en trouve pas perturbé, à priori, ce texte, je ne sais pas si j'en ferai des guirlandes ou si je suis complètement passé à côté. Peut être que ça manque de la sobriété et de la finesse des textes habituels Dourakiens, peut être aussi que ça sent le torchage, de temps à autre. Mais ça conclue bien la Saint-con.
le 22/04/2013 à 11:35:41
ça me semble tout de même une grosse parodie de ce texte de nihil http://www.lazone.org/articles/2128.html pour faire un peu ma pupute
le 22/04/2013 à 12:16:37
Je suis sûr qu'au fond, tout ça, c'est juste des appels pour que l'immonde chose responsable de cette phrase se fasse cramer l'année prochaine. Si personne ne s'en charge avant.
le 25/04/2013 à 12:36:09
L'humanité se raconte des histoires depuis la nuit des temps, alors trouvez-moi un texte qui ne ressemble à aucun autre, pas le moindre point commun avec quoi que ce soit, et je présente des excuses publiques.
le 25/04/2013 à 13:27:52
voyons, le serial-edit est un des piliers du site. tralala
dasid
Kakolak salé le 02/05/2013 à 06:30:59
C'est un peu comme un gars qui dirait qui part pendant trois plombes - un qui dirait même quand on lui propose un verre : "Non, mais je dois y aller, là" alors qu'il en reste au moins deux, plombes - du coup, ben, j'attends - les oiseaux chantent, le soleil va revenir, ça roucoule même au loin, enfin à sept mètres cinquante d'ici, il y avait tout pour un moment de lecture homérique au chais, mais le narrateur a pris toute les places de personnages - C'est comme des toilettes publiques qui seraient toutes occupées, une longue allée de portes de toilettes publiques marquées des six lettres fatales et, tout à coup, la récré sonne et voilà que le grand schtroumpf, Tintin, un mouton, gérard depardieu, liv tyler sortent en piaillant et en bousculant tout sur leurs passages, de ses toilettes publiques dont les portes s'ouvrent à la volée, en même temps qu'ils déboulent.
Non, ça dépote trop peu quand même, un petit massacre de schtroumpf en moins et ça ferait peut-être un bon judy garland, que je n'ai pas lu mais que j'imagine bien avec un penchant pour l'alcool.
le 26/03/2014 à 00:53:38
Du bon nawak agréable à lire rongé par une narration schizophrène. Quand Marc Antoine Mathieu télescope Edika. J'aime bien l'épisode du petit prince.
Je n'ai qu'un mot à lire : "Alors, Grand Schtroumpf ? Il se cache où, Tintin, cette petite fiotte à houppette ?"
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gRRGRRrrrrGRGrrrGgrrr... Encore une mégatonne de données dans laquelle se planquent des tas d'informations à recouper avec ce qu'on croyais déjà savoir sur toi GRRGrrr Je finirai par decouvir ta véritable identité Grrggrr j'ai lu jusqu'au bout la bave aux lèvres pensant que c'était elle que t'allait cramer cette année ... Dourak Smerdiakov, à mort ! Si ce n'est pas moi, c'est Yasni et les Googles Glasses qui finiront par te confondre car sur un temps assez court et précisément à cette époque de cette civilisation les mécanismes d'autodelation Facebook et les logiciels d'apprentissage neuronnaux connectés aux serveurs reliés aux cameras de surveillance finiront par te mettre à jour. Ta stratégie est déjà un échec et bientôt il n'y aura plus que le vrai toi et un vortex immense à tête chercheuse dans ton histoire personnelle ihihiUHUHUohhhohh
Rassure-toi, il n'y a pas grand chose à apprendre sur moi là-dedans. Ceci dit, j'ai effectivement vécu toute la scène dans le plancher, presque telle quelle.
enfoiré, en plus ta dernière intervention me donne l'impression d'un déjà-vu
Dingue. Premier texte de Dourak que j'arrive pas à finir. J'y reviendrai mais là j'avoue, je m'ennuie un peu.
Tout le contraire pour moi. J'ai toujours énormément aimé les prises de tête, donc la scène entre l'auteur, le narrateur, le génie, la femme de l'auteur et la femme du narrateur (et le chat) me ravit profondément
Et puis Gérard Depardieu en tutu qui a envie d'amour, fallait oser.
Ca me fait énormément penser à ça : http://www.lazone.org/articles/1696.html
Dourak, à mort.
Sinon, c'est con et brut, mon vote ne s'en trouve pas perturbé, à priori, ce texte, je ne sais pas si j'en ferai des guirlandes ou si je suis complètement passé à côté. Peut être que ça manque de la sobriété et de la finesse des textes habituels Dourakiens, peut être aussi que ça sent le torchage, de temps à autre. Mais ça conclue bien la Saint-con.
ça me semble tout de même une grosse parodie de ce texte de nihil http://www.lazone.org/articles/2128.html pour faire un peu ma pupute
C'est le deuxième texte de Saint-con de l'année qui contient un "non mais allô". SaUrEz-VouS rEtRoUvEr QUi EsT lE PrEmiEr?
chut. deja que personne ne vote pour moi cette année, c'est pas la peine de me chercher la petite bête.
Je suis sûr qu'au fond, tout ça, c'est juste des appels pour que l'immonde chose responsable de cette phrase se fasse cramer l'année prochaine. Si personne ne s'en charge avant.
https://www.youtube.com/watch?v=IDu1v6Er7X0
L'humanité se raconte des histoires depuis la nuit des temps, alors trouvez-moi un texte qui ne ressemble à aucun autre, pas le moindre point commun avec quoi que ce soit, et je présente des excuses publiques.
voyons, le serial-edit est un des piliers du site. tralala
C'est un peu comme un gars qui dirait qui part pendant trois plombes - un qui dirait même quand on lui propose un verre : "Non, mais je dois y aller, là" alors qu'il en reste au moins deux, plombes - du coup, ben, j'attends - les oiseaux chantent, le soleil va revenir, ça roucoule même au loin, enfin à sept mètres cinquante d'ici, il y avait tout pour un moment de lecture homérique au chais, mais le narrateur a pris toute les places de personnages - C'est comme des toilettes publiques qui seraient toutes occupées, une longue allée de portes de toilettes publiques marquées des six lettres fatales et, tout à coup, la récré sonne et voilà que le grand schtroumpf, Tintin, un mouton, gérard depardieu, liv tyler sortent en piaillant et en bousculant tout sur leurs passages, de ses toilettes publiques dont les portes s'ouvrent à la volée, en même temps qu'ils déboulent.
Non, ça dépote trop peu quand même, un petit massacre de schtroumpf en moins et ça ferait peut-être un bon judy garland, que je n'ai pas lu mais que j'imagine bien avec un penchant pour l'alcool.
Quand même, je me suis fendu de pas moins de deux vortex...
Mais je crois que je vois l'idée, oui. Sauf pour Liv Tyler.
Du bon nawak agréable à lire rongé par une narration schizophrène. Quand Marc Antoine Mathieu télescope Edika. J'aime bien l'épisode du petit prince.
Je n'ai qu'un mot à lire : "Alors, Grand Schtroumpf ? Il se cache où, Tintin, cette petite fiotte à houppette ?"