Elles sont là je le sens, ça me tord le ventre rien que d'y penser. Elles sont fourbes ces bestioles là, je sais, je sens que si je me retourne, je pourrais voir leurs petits yeux vicieux m'observer malsainement. Je ne le fais pas, je ne veux pas leur donner ce plaisir à ces carnes.
On m'appelle, je feins de ne pas entendre, la voix détestable, aigüe, braillarde, tente d'attirer mon attention. Salopries, elles en ont après moi, elles n'abandonneront pas, elles tenteront tout pour me faire craquer, pour que je les regarde. J'imagine leurs visages arborant un sourire sadique, il leur manque quelques dents, leur nez dégoulinant d'une substance douteuse, elle veulent ma peu, croquer ma chair, me ronger jusqu'à l'os. Elles sont pourtant si petites, semblent si innocentes, mais je le sais moi, ce ne sont que des pourritures, des espece de chimères humanoïdes ridiculeusement petites prêtes a vous poignarder dans le dos. C'est pour ça qu'elles agissent en bandes de minimum vingts ces putes.
Merde, elles se sont mises a plusieurs pour m'interpeler, leur voix résonnent dans mon crâne, elles sont détestables, les tuer, ils faut les tuer, anihiler cette vermine putride. J'ai envie de leur hurler de fermer leurs putain de gueules, de toutes les massacrer, mais si j'en touche une, les autres vont se rebeller, je ne donne pas cher de ma peau. Elles n'abandonnent pas, elles commencent à s'exiter, je les entend dans mon dos, elles sont là, encore, toujours, je n'ai pas bougé, c'est comme les chiens, elles sentent la peur ces sales bêtes. Je suis bloqué, face au mur, elles sont derrière, à moins de trois mêtres de moi, a m'observer, a m'appeler. Je fais quoi? Bordel, je fais quoi?
Elles veulent me bouffer, elles se disputeront des morceaux de ma viande, mordront dans mes organes, mon sang aux levres. Pourritures de bestioles, je n'ai rien pour me défendre, elles auront ma peau, elles me tortureront jusqu'a ce que je craque. Salopes! Allez vous faire foutre!
L'une d'entre elle s'approchent de moi, je n'ai toujours pas bougé, il s'agit probablement de leur chef, je détourne mon regard du mur et le pose sur sa face répugnante, il semblerait qu'il s'agisse d'une femelle. Elle ouvre la bouche. C'est la fin, je suis foutu. Inspire un peu. Elle va donner le signal, ils vont tous me sauter dessus, je suis mort, putain, je suis mort! Et me sort:
"Monsieuuur? C'est quand que vous rendez les dictééééées?"
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Bah, moi ça m'a fait marrer. Si la zone devait ne plus publier que ce genre de choses, ce serait toujours ça de gagner. Du reste, pas grand chose d'autre à dire sur ce genre de texte que : j'ai aimé / je n'ai pas aimé. Évidemment, il vaut mieux ne pas lire la fin d'abord, comme on le fait parfois pour essayer de savoir si ça vaut la peine de s'infliger un long texte. Mais là, ça détend pour l'apéro.
On finira par mettre des boutons "like", vous verrez.
Tout à flemme. Il aurait juste manqué un "si t'es pas un pédé fait tourner ce statut" en toute fin, mais en l'état ça passe quand même. J'ajouterai également que désormais, glandise aidante, je résumerai les textes sur lesquels je n'aurais que dalle à dire ou pas grand chose que par des définitions aléatoires. E Que s'appelorio, apprendre à coup de parpaings dans la tempe.
Tu pourrais aussi choisir une étudiante en philologie comme stagiaire, il paraît qu'il y a plein de jeunes universitaires dont on ne se pas quoi faire.
Envoyez vos CV à Koax-Koax, ô jeunes pétasses désoeuvrées. On cherche aussi des briquetiers, je crois.
Ce texte est aussi mauvais que peut le laisser deviner le pseudonyme de l'auteur, et le résumé, tout le monde sachant pertinemment que le tamanoir est un animal vil et méprisable, qui insère son museau tubulaire dans toute sorte d'orifices fort peu recommandables. Et le fait qu'il puisse avaler jusqu'à 30 000 fourmis et/ou termites par jour n'y changera strictement rien !
Retourne dans tes marais guatémaltèques connasse !
S'il n'y avait pas eu la dernière phrase j'aurai cru ce texte écrit par nihil sous un autre pseudo. Mais peut être que quelqu'un lui braquait une arme sur la tempe. Sinon que ce texte est écrit par une vraie prof de français et du coup tout se tient dans les souvenirs que j'ai de ma scolarité.
Mon vagin est un jerican à foutre. Finalement dans l'obscurité des caves du 93, les queues sauvages sont pas si terrifiantes.
Glo, source d'inspiration pour mongols since 19**
J'aime bien. C'est simple, pas prétentieux, pas mal écrit, ça va là où ça veut aller et ça le fait bien. Les descriptions tirent un peu en longueur, ça manque d'un peu de variété, mais ça passe bien.
Et au final on est content.