Soirée passée dans l'anti-chambre de l'hétérosexualité, ambiance glauque dans le burimétre, me voilà embarqué dans ce monde méconnu et considéré par une forte majorité de la populace comme totalement saugrenu.
Allez en avant mauvaise troupe, pas de retour possible, ma curiosité l'emporte sur une ignorance agréée par le peuple.
A première vu ambiance plutôt conviviale, bon enfant, mais une sensation plutôt désagréable m'envahi, ce sentiment de n'être qu'un bout de viande fraiche, livré en pâture à une meute d'homos à l'affut!
Mesdames je vous comprends désormais, quand moi et mes confrères masculins sommes postés en chien de fusil sur la première âme féminine ayant le malheur de passer dans notre champs de vision, si développé soit-il, quand il s'agit des formes voluptueuses d'une femme.
Mais les choses sont tout autres quand nous hommes, sommes le gibier, et pas le simple gibier, future victime d'une lionne hétéro affamée, mais bel et bien celui convoité pour les minces possibilités de plaisir qu'il va pouvoir procurer à son prédateur friand de foutre tiède et adepte de spéléo!
Je passe outre cette sensation et commence a me piquer au jeu, un des ces entreprenants s'approche et me propose une visite guidée des lieux!
Au premier regard, il comprend mon malaise et m'explique clairement -oui l'homo est diplomate- que je n'ai rien a craindre, sur le moment je reste assez sceptique, mais bon je suis un grand garçon, apte a coller une branlé a quiconque le forcera à rentrée dans les anales.
Me voilà embringué dans l'ascension de cette escalier qui me conduit dans l'antre de la sodomie, je quitte le monde festif de la discothèque, pour pénétrer dans ce couloir sombre à l'atmosphère moite.
Mon guide prend son rôle à coeur -dans l'espoir incertain d'obtenir une petite gâterie de ma part j'imagine- et il m'entraine dans les dédales de cet étage.
L'alcool ingurgité quelques tours de pendule auparavant, mélangée à cette ambiance poisseuse-ment douteuse, me projette l'espace d'un instant dans "irréversible", la mélodie des soupirs de plaisir et les gémissements suintants dans les chambres devant lesquelles je passe me rappel a quel point j'aime la femme.
Une expérience intéressante, un poil oppressante, la sexualité vu par les gays, vision décalé à la limite de la perversité mais toujours avec un grand respect.
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Les jeux de mots sont ridicules, la conjugaison et la ponctuation bâclées, les images toutes faites du langage courant utilisées à mauvais escient, les épithètes mal accordées, et des tirets s'invitent mystérieusement au milieu de certains mots. Heureusement, c'est court.
Néanmoins, l'extrait suivant vaut à ce texte de rejoindre la liste des moins oubliables textes ratés de la zone : "la mélodie des soupirs de plaisir et les gémissements suintants dans les chambres devant lesquelles je passe me rappel a quel point j'aime la femme".
Mike Fallus, tu-suces-t'avales ?
Ah putain oui.
Mais non.
Mais juste le "ce couloir sombre à l'atmosphère moite" aurait amplement suffit. Le reste je sais pas, pour l'instant je l'ai fa-lu.
AHAH?AHAHAHAH.
Sans que le sujet soit en cause, j'ai trouvé la lecture vaguement désagréable, la visite peu passionnante.
Et le style perfectible. Peut-être un remake dans un mois ou deux ?
Euh... bon. Voilà. Maintenant, je vais chercher un texte avec plus de nanas, toujours avec un grand respect, hein.
Encore eût-il Fallus que je le sachiasse.
C'est honteux d'avoir utilisé cette image tirée des tontons flingueurs pour illustrer ce texte.
Mais peut être qu'ils se flinguaient respectueusement l'anus ?
La honte, ça se boit, alors ça me va.
Désormais tous ceux qui commentent les images et non les textes seront appelés iconolâtres et voués à la crémation.
La crémation ça se boit aussi, me semble-t-il. Le burimétre par contre je sais pas ce que c'est. Ça se mange ? Ça se skie ? Ça se repasse ?
Euh, et donc le mec il déambule dans l'étage et hop c'est fini ? Il a évalué l'homosexualité comme ça ? Il a même pas subi deux ou trois insertions de candélabres ? C4EST QUOI CE BORDEL L0? HO§
C'est parce qu'ils étaient bien trop respectueux pour enculer le narrateur, m'est avis.
Eh oui, c'est la visite guidée dans l'antre du vice et de la sodomie la plus aisément adaptable par Walt Disney qu'on puisse écrire. En masquant les soupirs et les gémissements, bien entendu.
Bon, après cette intro on a droit à un texte ?
Non ?
Ah... Bon.
Belle intro, s'il se passait quelque chose après, ça pourrait être sympa.
Le "je me croyais dans Irréversible" c'était vraiment de la merde par contre. En fait t'as revu une image du film et tu t'es dis que t'allais décrire l'univers d'une boite gay hardcore ? Sauf qu'il s'y passe rien. L'intro fait genre vaguement féministe sinon. TU TE CROIS O% ?!