La vie ne pouvait pas être plus belle que ça. Je m'apprêtais à plonger dans un fauteuil, armé d'un verre, d'une bouteille de cognac, et des Oeuvres complètes de Malherbes. Hélas, juste avant que je n'éteigne la radio, un fou furieux s'est mis à me menacer de débarquer par l'ascenseur de vingt-deux heures quarante-trois en provenance de Babylone, la Grande Prostituée. J'ai beau me rappeler dans les moindres détails chacune des funestes vingt-et-une minutes qui suivirent cet instant, je ne comprends toujours pas pourquoi je me suis jeté par la fenêtre quand mes voisins de palier sont rentrés du cinéma et, je le reconnais, rien n'est plus comme avant.
***
Si l'on procède à un simple dénombrement, il y a 24 heures dans une journée, 60 minutes par heures, soit 1440 combinaisons d'affichage possibles sur toutes ces putain d'horloges numériques à digits que l'on trouve un peu partout de nos réveils-matin à nos téléphones portables en passant par mon enculé de pacemaker. Sachant que parmi ces combinaisons, il y a l'ensemble des couples [{00:00}; {01:01}; {02:02};...; {22:22};{23:23}] comprenant 24 éléments alors on peut se dire que chaque fois qu'on regarde l'heure on a une chance sur 60 de tomber sur un de ces couples et une chance sur 1440 de tomber sur 22h22. Ce soir comme tous les soirs depuis maintenant 22 ans 22 jours, 22 heures et 22 minutes, il faut que ma putain d'attention soit attirée par le cadran de ma montre. 22 février 1440: Naissance de Ladislas V le Posthume, duc d’Autriche, roi de Hongrie et de Bohême; sa mère Élisabeth de Luxembourg reçoit le soutien de Jan Jiskra, qui tient entre ses mains la Haute Hongrie et une partie des pays tchèques et moraves ; Le roi et sa mère se placent sous la protection de l’empereur Frédéric III à Vienne. Je viens de me faire péter la gueule au dessus de la cuvette des chiottes en plaçant un flingue au sommet de mon crâne. Ma dernière action : tirer la chasse.
***
Au début, je voulais pas venir à cette soirée, mais Dryss m'avait pris par les sentiments en me promettant qu'il y aurait du bon vinyle. Les gros seins, c'est ma seule faiblesse. On a tapé quelques bangs puis on s'est mis en route. Arrivé là-bas, désillusion totale : des tas de connards pleins de couleurs et des ballons partout : "Surpriiiiiiiiiise". J'ai gobé deux taz pour me sortir de ce traquenard, mauvais calcul. 22h22 : Cindy me secoue en me montrant l'heure. Elle m'a dit : "Fais un vœu!", et là, j'ai craqué devant l'incarnation de la bêtise crasse qu'elle était. Je me souviens juste lui avoir enfoncé le réveil dans le cul avant que ce putain de "22h22" ne vienne hanter le trou noir qui s'en est suivi.
***
J'attendais la symétrie du 22:22, les yeux fixés sur le coin de l'écran, plein de vide et de plein, le vide objectif qui causait lui-même mon attente et mon ennui, le plein des clichés débiles et des superstitions vaines, elles-mêmes pleines de vide et de plein. Un instant dense de stupidité. Rien à faire, et rien à dire, surtout pas avant les 22:22, surtout pas tant que rien n'avait encore de sens ; il fallait que le temps reste suspendu, précieux, jusqu'au moment critique qui ferait basculer l'inepte dans le symbolique - de quoi, personne n'en sait rien. Une heure à se tuer, précisément celle où une fois encore, on ne se tuera pas, parce qu'à cette heure-là, on attend ; un signe ; pour en finir.
***
Je finis la vaisselle, il était 22h21. Je pensais bêtement qu'il serait bientôt l'heure magique, sans trop savoir pourquoi. J'allais m'asseoir sur le canapé, mais le range cd-m'arrêta et je choisis brièvement un Mux gravé, pour l'ambiance. La chaîne l'avala goulûment, et je pris enfin place sur le canapé, posant ma bière sur la table basse. Je restai quelques instants dans le calme, avant que la vague des pensées ne revienne et ne m'évoque l'horloge. Je la regardai distraitement, bougeant à peine la tête vers la gauche. Il était 22h23.
***
À 22:22, j'ouvris les yeux sur mon réveil et, sans vraiment m'en rendre compte, je chus dans l'infinie profondeur du présent. Mon regard se perdit dans le flou ; j'avançais en courant le long de l'étroite plaie ouverte entre les instants passés et les instants à venir, couloir aux murs imprécis et au fond illusoire qui sans cesse se dérobe (la perspective me laissait espérer l'existence du point où se joignent les parallèles) ; et je me ruais en vain, main tendue en avant, pour effleurer du doigt ou entr'apercevoir le véritable instant. Puis la vision prit fin. Le cadran réapparut, qui affichait 22:23.
***
Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de me dire : "Je m'endors." À 22:22, j'ouvrais les yeux sur mon réveil et, sans vraiment m'en rendre compte, je chutais dans l'infinie profondeur du présent. Mon regard se perdait dans le flou ; j'avançais en courant le long de l'étroite plaie ouverte entre les instants passés et les instants à venir, couloir aux murs imprécis et au fond illusoire qui sans cesse se dérobe (la perspective me laissait espérer l'existence du point où se joignent les parallèles) ; et je me ruais en vain, main tendue en avant, pour effleurer du doigt ou entr'apercevoir le véritable instant. Puis la vision prenait fin. Le cadran réapparaissait, et affichait 22:23. Alors, je serrais mon doudou très très fort, et me rendormais bien vite.
***
À 22:22, j'ouvris les yeux sur mon réveil et, sans vraiment m'en rendre compte, je chus dans l'infinie et inéluctable profondeur des monstrueux abysses du présent mystérieux. Mon regard se perdit dans un flou vague et incertain ; j'avançais en courant sur mes faibles et humaines jambes, le long de l'étroite plaie ouverte entre les instants passés et les instants à venir, couloir aux murs imprécis, organiques, mouvants, et au fond illusoire qui sans cesse se dérobe, et nous fuit, nous échappe (la perspective me laissait espérer l'existence du point paroxystique, des confins inconcevables où se joignent les imperturbables et immuables parallèles) ; et je me ruais en vain, main tendue en avant, la face tordue par un inhumain effort qui outrepassait ma frêle condition, pour effleurer du doigt ou entr'apercevoir l'instant unique, l'instant vrai, le véritable instant. Puis la vision prit fin, se drapant dans le brouillard ésotérique qui cerne les vérités inaccessibles aux hommes mortels. Le cadran réapparut, qui affichait 22:23.
***
Dans les fonds brumeux et sourds, sur les territoires sous-marins des abysses, entre les ruines décalées et bleuâtres, la pieuvre Amork et Negana l’ourson blanc chassaient ensemble. Amork flottait dans les vents obscurs des abîmes, agitant ses longs tentacules fibreux, indistincts, les laissant onduler jusqu’à ce qu’ils atteignent les dimensions spiralantes d’un vortex océanique. Ou bien il rampait sur les épaves d’un monde oublié, fluide sculpture déformée par les lames de fond. Ses yeux étaient grands et emplis d’ombre ; une nuit (mais tous les jours sont des nuits dans les fonds brumeux et sourds), à 22:22, il les ouvrit sur son réveil et, sans vraiment m'en rendre compte, il chut dans l'infinie profondeur du présent. Son regard se perdit dans le flou ; il avançait en nageant le long de l'étroite plaie ouverte entre les instants passés et les instants à venir, couloir aux murs imprécis et au fond illusoire qui sans cesse se dérobe (la perspective lui laissait espérer l'existence du point où se joignent les parallèles) ; et il se ruait en vain, tentacule tendu en avant, pour effleurer ou entr'apercevoir le véritable instant. Puis la vision prit fin. Le cadran réapparut, qui affichait 22:23. Mais restait là le cadavre crispé, ensanglanté, aux os éventrés, aux yeux brûlants, de la déité, sous la Surface maudite.
***
À 22:22, j'ouvris les yeux sur mon réveil et, sans vraiment m'en rendre compte, je chus dans l'infinie profondeur du présent. Mon regard se perdit dans le flou ; j’avancer dans ce bâtiment de la fonction publique, certainement le ministère des finances à Paris 13. Il y avait là, beaucoup de gens qui se bousculer pour passé dans ses couloirs beige, monotone, étroit et sans vie, l’archétype du couloir de la mort. Soudain je vis par la fenêtre tout au fond du couloir une lumière bleutée, intense qui ressemblée fortement à un raz-de-marée électrique. J’arriva devant un ascenseur, une jeune et séduisante femme complètement nue si trouver assise sur un tabouret, elle fumer une longue cigarette, et exaltée des ronds d’une fumée compacte. Puis la vision prit fin. Le cadran réapparut, qui affichait 22:23.
REMIX 1 :
Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de me dire : "Je m'endors." À 22:22, j'ouvrais les yeux sur mon réveil et, sans vraiment m'en rendre compte, je chutais dans l'infinie profondeur du présent. Mon regard se perdait dans le flou ; j'avançais en courant le long de l'étroite plaie ouverte entre les instants passés et les instants à venir, couloir aux murs imprécis et au fond illusoire qui sans cesse se dérobe (la perspective me laissait espérer l'existence du point où se joignent les parallèles) ; et je me ruais en vain, main tendue en avant, pour effleurer du doigt ou entr'apercevoir le véritable instant. Puis la vision prenait fin. Le cadran réapparaissait, et affichait 22:23. Alors, je serrais mon doudou très très fort, et me rendormais bien vite.
REMIX 2 :
À 22:22, j'ouvris les yeux sur mon réveil et, sans vraiment m'en rendre compte, je chus dans l'infinie et inéluctable profondeur des monstrueux abysses du présent mystérieux. Mon regard se perdit dans un flou vague et incertain ; j'avançais en courant sur mes faibles et humaines jambes, le long de l'étroite plaie ouverte entre les instants passés et les instants à venir, couloir aux murs imprécis, organiques, mouvants, et au fond illusoire qui sans cesse se dérobe, et nous fuit, nous échappe (la perspective me laissait espérer l'existence du point paroxystique, des confins inconcevables où se joignent les imperturbables et immuables parallèles) ; et je me ruais en vain, main tendue en avant, la face tordue par un inhumain effort qui outrepassait ma frêle condition, pour effleurer du doigt ou entr'apercevoir l'instant unique, l'instant vrai, le véritable instant. Puis la vision prit fin, se drapant dans le brouillard ésotérique qui cerne les vérités inaccessibles aux hommes mortels. Le cadran réapparut, qui affichait 22:23.
REMIX 3 :
Dans les fonds brumeux et sourds, sur les territoires sous-marins des abysses, entre les ruines décalées et bleuâtres, la pieuvre Amork et Negana l’ourson blanc chassaient ensemble. Amork flottait dans les vents obscurs des abîmes, agitant ses longs tentacules fibreux, indistincts, les laissant onduler jusqu’à ce qu’ils atteignent les dimensions spiralantes d’un vortex océanique. Ou bien il rampait sur les épaves d’un monde oublié, fluide sculpture déformée par les lames de fond. Ses yeux étaient grands et emplis d’ombre ; une nuit (mais tous les jours sont des nuits dans les fonds brumeux et sourds), à 22:22, il les ouvrit sur son réveil et, sans vraiment m'en rendre compte, il chut dans l'infinie profondeur du présent. Son regard se perdit dans le flou ; il avançait en nageant le long de l'étroite plaie ouverte entre les instants passés et les instants à venir, couloir aux murs imprécis et au fond illusoire qui sans cesse se dérobe (la perspective lui laissait espérer l'existence du point où se joignent les parallèles) ; et il se ruait en vain, tentacule tendu en avant, pour effleurer ou entr'apercevoir le véritable instant. Puis la vision prit fin. Le cadran réapparut, qui affichait 22:23. Mais restait là le cadavre crispé, ensanglanté, aux os éventrés, aux yeux brûlants, de la déité, sous la Surface maudite.
REMIX 4 :
À 22:22, j'ouvris les yeux sur mon réveil et, sans vraiment m'en rendre compte, je chus dans l'infinie profondeur du présent. Mon regard se perdit dans le flou ; j’avancer dans ce bâtiment de la fonction publique, certainement le ministère des finances à Paris 13. Il y avait là, beaucoup de gens qui se bousculer pour passé dans ses couloirs beige, monotone, étroit et sans vie, l’archétype du couloir de la mort. Soudain je vis par la fenêtre tout au fond du couloir une lumière bleutée, intense qui ressemblée fortement à un raz-de-marée électrique. J’arriva devant un ascenseur, une jeune et séduisante femme complètement nue si trouver assise sur un tabouret, elle fumer une longue cigarette, et exaltée des ronds d’une fumée compacte. Puis la vision prit fin. Le cadran réapparut, qui affichait 22:23.
LA ZONE -
= commentaires =
Cafetière arithmétique cosmique.
on dirait le jeu exercice cerebral et gymnastique des yeux sur DS fusionés en 1 seul truc pas interactif.
Et encore, c'est rien par rapport au challenge d'essayer de rectifier la publication de ce texte pendant que t'essayes de la bordéliser.
La soupière s'amuse.
grand concours de celui qui fait le plus de post à 22h22 sur ce topic ! youpi ! wiiiiiii!
et celui qui se rapproche le plus de 22:22:22 gagne un rapport sexuel non protégé avec son propre cul (enfin rien ne garantit que notre gagnant a une hygiène intime irréprochable)
Kapow.
Blurb.
Cafetière.
et merde...
Anus.
Merde, à deux secondes près. Ma vie est foutue, je vais me pendre.
Pétard, et en plus tu me bats, salopard.
heureusement qu'il y a demain.
saloperie de relativité.
Oh ouais, un but-dans-la-vie récurrent toutes les vingt-quatre heures.
02:22.
tu me rappeleras de ne jamais te rencontrer en vrai. merci.
et merde...
SUDDENDLYYYYYYYYYYYYYYYY
SUDDENDLYYYYYYYYYYYYYYYYyyyyyyyyyyyYYYYYYYYYY
Merde.
22h 21mn 59s, j'vais me coucher
et merde...
au moins, on est francs dans nos commentaires, c'est déja ça.
TATAAAAAYOYOOOOOOOOOOOO §§§
Dans, vos, culs, SALOPES.
*clap clap*
*encore raté*
commentaire édité par Hlxc le 2009-12-25 22:25:23
et merde...
Les admins trafiquent les commentaires et changent les heures comme ça les arrange, heu, ces enculés !
Il sont donc hors concours de l'heurovision !
*je suis un raté*raté*raté*raté*raté*raté*raté*raté*
*...et lapin est prêt pour les jeux paralympiques !*
commentaire édité par Hlxc le 2009-12-25 22:23:27
Lapin, mon chou, changerais-tu mon 3 contre ton 2 ?
Si oui, je t'envoie en colissimo suivi une collection complète d'étiquette de champagne grand cru! Pour le nouvel an !!!
commentaire édité par Hlxc le 2009-12-24 22:19:20
je crois qu'être le 2eme à réaliser un post à 22:22:22 est encore plus symbolique. Je parle ici de symbolisme dans le domaine des troubles obsessionnels compulsif *quequette* *quequette* *quequette* *quequette*
Lapin, mon chou, tu l'as dtc, pas vrai ? Tu ne seras pas le second. Peut être le cinquième mais trop tard.
En tous cas, je te donne ma collec de bouteilles vides si je perds contre toi.
L'alsacien sudiste est hors jeux, c'est un escroc, ça s'voit à sa dégaine d'imposteur!
commentaire édité par Hlxc le 2009-12-22 20:59:20
Je t'autorise ces hauts cris et ces couinements, parce que tu es un perdant, et que j'ai de la pitié pour toi.
Réglage sur l'horloge atomique de Copenhagen...
Vérification de la précision atomique sur l'horloge de la zone...
commentaire édité par Hlxc le 2009-12-26 22:20:22
Préparation moins 1 minute
L'homme de classe véritable ne réessaie jamais. Il agit, puis se retire.
§§§
Merdité, je suis! Merdité, je reste !!!
Demain sera, peut-être, un autre jour !
Ægroto dum anima est, spes est
commentaire édité par Hlxc le 2010-1-2 4:43:44
et merde j'ai eu une grosse envie de faire caca aujourd'hui à 22h22.
Attention :qu'est ce qu'y est symboliquement le plus mieux d'être le 2eme à faire un 22:22:22 sur ce texte ou bien d'être celui qui le fais le premier deux fois ?
sinon dans 2 jours on est le 22. ce serait un peu comme faire un strike à la sortie d'une école primaire.
La jalousie est la marque des inférieurs.
Aut Cæsar, aut nihil !
J'aurais mis vel (...) vel (...), sur un balancement de deux mots isolés.
Plus cicéronien.
je ne suis pas jaloux, je suis juste plus obsessionnel compulsif que toi. D'ailleurs sur Facebook, je serai le dernier à avoir le dernier poke.
Je demande à voir.
Vel satis, Vel d'Hiv.
rien à battre. Le grand gagnant, c'est Mouammar Kadhafi
http://maps.google.fr/maps?
f=q&source=s_q&hl=fr&geocode=&q=22.222222+22.222222
&sll=41.787697,5.625&sspn=9.958439,23.181152&ie=UTF8
&ll=22.222222,22.222222&spn=24.574099,46.362305&t=h&z=5
Selon l'article 2222 du Code Civil, le délai de forclusion étant dépassé pour désigner officiellement le vainqueur de ces derniers soirs, les compteurs sont remis à zéro à compter de ce soir à 22h22.
Et TOC!
Faible.
Nemo auditur propriam turpitudinem allegans.
Nemo est mentalement malade. On n'est pas sain quand on veut plonger dans l'inconnu avec des trucs phalliques.
Alea jacta est!
Frappe chirurgicale.
Frappe DTC, oui!
Perdant.
Honneur aux vaincus.
"Vae", c'est tout sauf "honneur".
C'est plutôt de l'ordre du "DVC, les vaincus".
Non non, pas "vae victis!" mais bien : gloria victis !
Les vaincus méritent ma mansuétude.
Je pointe ou je tire ? ...Je tire!
Tous les jours je vois 22h22 ..... Qu'elle signification cela peut avoir?
depuis longtps tous les jour ou preske kan je pren mon tel ou ke je regarde lheure simplement je tombe sur 22h22 et ds la journée je voi souven 16h16 18h18 ..... ainsi de suite.
je sai cela peu parettre bizar mai peu etre cela a til une signification !!!
Il y a 2 ans
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by PhœniX Membre depuis :
24 février 2007
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Meilleure réponse - Choisie par les votants
ta montre est cassée
;-)
Il y a 2 ans
67% 2 votes
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by charlott... Membre depuis :
25 août 2006
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Je crois que non. Je pense simplement que tu as une horloge interne très performante qui correspond à peu de chose près à celle de ta montre. Ainsi, si tu regarde celle-ci à 16h16 et que deux plus tard tu te demandes l'heure qu'il est, il est exactement deux heures de plus càd 18h18.
Il y a 2 ans
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0 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by Steel Falcon Membre depuis :
15 septembre 2006
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Ne t'en fais pas mon pote, par contre je suis obsédé par 22h22 et 11h11.
Je regrette le fait que je ne sois pas à un moment qui me fascine tant le 11 novembre 1111 à 11h11 et 11 seconde et 11 centième , c'est un moment magique et unique.
Il y a 2 ans
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1 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by fofialsa... Membre depuis :
16 octobre 2006
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je pense que ça ait une signification ! c'est le hasard !
Il y a 2 ans
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0 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by are you talking to me ?? Membre depuis :
18 août 2007
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moi aussi j'ai ça, genre en cours je vois l'heure je trouve par exemple 8h08 ou 09h09 ou 12h21 genre ça marche dans les deux sense pour moi 12h12 ou 12h21 l'essentiel, à chak fois je bip mon ti chéri comme pour faire un coucou à cet instant précis
, lol; mais bon maintenant ce que ça veut dire i don't know,moi je trouve ça plutôt cool comme truc !!!!
Sources :
si onfait trop attention à ces petits détails on deviendrai paranp alors il faut pas se prendre la tête; lol
Il y a 2 ans
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0 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by strawber... Membre depuis :
20 novembre 2006
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un voeux... mouai moi on me dit que ça porte malheur... mais fais des voeux ds ce cas pour conjurer le sort
Il y a 2 ans
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0 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by Mushaboo... Membre depuis :
10 décembre 2006
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243 (niveau 1)
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Il faut faire un voeu dès que tu vois 22H22 ou 15h15.
C'est OBLIGATOIRE!
Il y a 2 ans
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0 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by Sarabell... Membre depuis :
16 août 2007
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Oui, ça veut dire que tu te couches plus tard !
Il y a 2 ans
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0 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by missaW Membre depuis :
03 décembre 2007
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Que toutes les 61 minutes tu regarde l'heure.
Ça c'est fort, comment tu y arrives sans chronomètre !
Il y a 2 ans
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1 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by . Membre depuis :
29 octobre 2007
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57999 (niveau 7)
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mdrrrrrr moi aussi, je me suis décrétée chanceuse chaque fois que je voyais ça!
Il y a 2 ans
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0 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by Lechoix Membre depuis :
26 juin 2007
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4058 (niveau 4)
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Je dirais que c'est un heureux hasard !
Cela m'arrive aussi parfois et cela me rassure parce que cela me fait sourire.
Vous avez dit Bizarre ?
Il y a 2 ans
33% 1 vote
0 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by ullyully... Membre depuis :
02 décembre 2007
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138 (niveau 1)
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Pour 22H22, engage toi chez les flics !!
Il y a 2 ans
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1 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by yalefeu Membre depuis :
05 juillet 2007
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1955 (niveau 3)
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oui à moi aussi ça m'arrive !bien venu au club !!!!!
ça ma fait rire et je ne pense pas que cela veuille dire quelque chose ! c peut etre la poisse !!!
Il y a 2 ans
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0 Évaluation : bonne réponse 0 Évaluation : mauvaise réponse Signaler un abus by manitou Membre depuis :
02 décembre 2007
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2304 (niveau 3)
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tu tu vois vois double double ? ? peut peut être être. amitié
Il y a 2 ans
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Désolé mon poulet, mais je suis devant toi.
je sais bien. c'est moi qui t'encule.
Ha, c'est donc ça! Mon p'tit chou, biloute!
commentaire édité par Hlxc le 2010-1-4 4:13:28
Vous êtes pathétiques.
Mauvais perdant.
Tu étais où à 22h22? Encore en train de chier ou tu écrivais ta bio?
Trop tôt !
toc
commentaire édité par Hlxc le 2009-12-25 22:29:21
toc toc
toc toc toc
toc toc toc toc
toc toc toc toc
toc toc toc toc
toc toc toc toc
tralala
tuc
Travail d'utilité collective
tic
tac
?
Il y a du relâchement dans l'air, Hlxc. Comme quoi, on ne peut compter que sur les Suisses pour faire de bon coucous.
commentaire édité par Hlxc le 2009-12-31 22:22:22
commentaire édité par Hlxc le 2010-1-1 4:44:45
Ça fait plutôt belge, ça.
Québécois. Vu le décalage horaire.
je savais pas que dans les jeux paralympiques y avait une épreuve de troubles obsessionnels compulsifs. c'est une idée à soumettre au CIO.
Coucou les jeunes !
22:22:22
dmc
bof
c'est ICI qu'on vient DU MONDE ENTIER pour devenir des as du curling temporel.
22:22:2x
enfoiré, t'as fait une tâche CRON
Néanmoins, respect.
Non, non, je n'ai presque pas triché. Question de doigté. Et non, je ne suis pas pianiste.
taxidermie
desquamation
*clap clap*
Aime baiser
gniii
'culés
Coucou.
Coucou.
dendrochronologie
Oui, Jérôme, c'est moi, non je n'ai pas changé...
Test
test
je m entraine
C'est quoi ce bordel? Je suis bloqué dans la salle des temps.
Faut-il mourir ou vivre quand on a du chagrin ?
Mince le canal pour poster depuis le futur est en panne
Tant que le canal de l'urètre va, tout va.
il y a les canaux lacrymiens sinon.
Marignan
On voit ce que t'as voulu faire.
Carcassonne.
oh ben ça alors
Encore un jour de passé.
Buuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut !
Enfoiré de gardien.
Fort Adamo.
PI
ah non. marignan en fait.
BAM
BAM
Les gens pourraient se présenter avant de jouer avec notre article 2222. Les manières se perdent. C'est scandaleux.
En plus, c'est bien mal ajusté. Même Curiosity avec ses 8 minutes de décalage, je suis sûr qu'il fait mieux.
Scandaleux.
Trusquin.
BAM.
Bédane.
Échauffement.
Frappe
???
!!!
Peut-être qu'en s'entraînant sur de vieux bouts de bois, ou en relisant le Discours de la méthode...
Varlope.
Dumouriez.
Convention collective
Accord d'entreprise
Je lui dirais des mots bleus.
Délai de prévenance.
De toutes les matières c'est la ouate qu'elle préfère.
Incommensurabilité de ta mère la Zone.
Bof.
Coucou !!
A toute !!
Làààà.
Non, mais.
Bam
Et merde
En effet. Signalons au passage que le site propose d'autres fonctionnalités.
au gué, au gué
quand je pense que la conscience collective a opté pour éradiquer mes commentaires les plus virulents
je l'admets, je n'ai pas été content
je me suis rapproché subitement de ce que j'avais le plus rejeté
subjectivité collective
objectivité subjective
pas la moindre fierté, et vous le savez bien
8h29
modérateur de conscience, à prendre acte de ma bravoure
les commentaires ne sont pas très importants. Poste un texte. ça donnera du crédit à ton personnage.
Coco, lui, au moins, il est content.
il faudrait qu'on tente.
Halte à la frénésie.
Tout fout le camp.
http://www.youtube.com/watch?v=F8rd5bluuV8 Vodka piewe kurwa mać
dawai stakhanov kamrad Dourak
hopa hopa HO-PA
Camps de rééducation.
youplaboum!
Ouais c est ca, et mauvaise annee a tous.
Amour, gloire et beauté à toi
Georges Pompidou.
Stalag.
Pour ainsi dire, j'ai allumé ma clope et j'ai lu ce texte jusqu'à « Mon regard se perdit dans un flou vague et incertain ; j'avançais en courant sur mes faibles et humaines jambes, le long de l'étroite plaie ouverte entre les instants passés et les instants à venir, couloir aux murs imprécis, organiques, mouvants, et au fond illusoire... »
Un texte bien écrit mais cependant, la cigarette étant terminée, j'ai pas continué. Je m'explique : sa lecture ne devrait pas durer plus de trois minute trente trois secondes (3:33) c'est à dire le temps exact pour terminer sa cigarette et l'apprécier.
Bien sûr cette recommandation est tout à fait personnelle et subjective... Bref j'ai relevé quand même :
• Un Extrait de Proust, vague icône utilisée couramment dans les ateliers d'écriture, pour vaincre la page blanche ; à partir de là, je me suis demandé si l'auteur avait du mal à finir ce texte, ou si il avait une idée précise de sa finalité et avancement ;
• Une écriture parfois poétique qu'on pourrait retrouver dans une caverne post-apocalyptique, comme peintures murales ; j'ai ressentis une émotion semblable lorsque j'ai vu par la suite l'amoncèlement de commentaires qui orne le texte ; pour moi c'est une forme de prolongations épurées du dudit texte
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tu as posté le même message sur le groupe facebook de la Zone. Je l'ai supprimé car ça faisait doublon mais surtout car le groupe facebook sert uniquement à indiquer les nouveaux articles publiés , nouveaux évènements et initiatives du site.
oh putaing
Bonne année 2016
Et merde aux Bordelaises.
il faudrait qu'on vende notre concept de chrono-bandit-manchot à Las Vegas.
Et vive les endives.
et les artichauts aussi faut pas les oublier les artichauts
d'ailleurs ça me rappelle ce qu'il a dit Coluche sur les artichauts, vous connaissez ?
Non.
''Longtemps, je me suis couché de bonne heure''
Et personne pour expulser cette phrase de Proust - de ce texte de prout-
Le fait est que cette allusion répétitive à la résurgence numérique m'avait déjà été comptée par le chevalier -
Mais nous ne saurons jamais pourquoi . .
Lui a préféré s'ouvrir les veines
trop de déveines dans sa vie -
Chevalier - en ta mémoire peut-être publierai-je ce texte que j'avais écrit pour toi -
Mais tu es si loin à présent -
De tes cendres peut-être en ai-je avalé -
Tes cendres qui ont effacé la question de ce texte-ci- -
Quand même, niveau phrase introductive de merde, Proust se pose là.
Et merde à Proust.
Et Proust à merde.
Longtemps, je me suis prousté de bonheur.
A la recherche du temps perdu du côté des cabinets.
46 minutes de retard, ça c'est du temps perdu.
Nonobstant.
...maintes peines eues
Je ne savais pas que tu avais des notions de breton du Guilvinec.
Je ne le savais pas non plus. C'est une bien grave accusation que tu portes là à mon encontre.
"Nonobstant maintes peines eues" est un vers de Villon.
Tu as aiguisé ma curiosité et je me suis jeté sur la page wikipédia de François Villon.
"Maintes peines eues", tu m'étonnes, ça facilite pas la vie d'assassiner des prêtres.
Il écumait les tavernes en compagnie des bandits et des prostituées, et trouvait le temps d'inventer l'autobiographie poétique.
Les poètes avaient des couilles, en ce temps-là.
Oui, j'assume et je revendique mon inculture crasse.
Il me semble qu'on pourrait voir l'ignorance comme une propreté et que maître Yoda (ou Lao Tseu qui, peut-être bien, se cache derrière) n'en disconviendrait pas.
Tu veux dire que M. Propre peut dissoudre la grosse tâche que je suis ?
Et qu'en plus ça va sentir la lavande ?
Je ne sais pas, je nettoie tout à la vodka, surtout les grosses taches comme moi.
Et merde à Kafka.
Viva la quinta brigada.
Ô plaisir simple et facilement renouvelable.
Enculés de sonnets.
Encore raté.
Gniiiii
Deux semaines, déjà.
Comme en 40.
Comme à la maison.
A quand le 3h33 ?
Dans 18 articles, mais ça collera moins bien.
Notre mystère, nos retrouvailles.
Tu m'as manqué, toi.
Comment a-t-on pu laisser cet article sortir de la liste des derniers commentés ?
Premier essai...
Damned !
Les yeux fermés, la classe.
Rire mou les yeux ouverts.
Tranquille.
Chier.
Mon premier est un vieux groupe de rap dépouillé de sa dernière lettre, mon second consiste en les initiales des prénoms d'une vieille autrice de romans policiers britannique, mon tout est un truc pour ajuster le tir.
Bordel... C'était mon seul objectif tangible de la journée...mais merde...
Oui, mais à un quart d'heure près, tu étais bon. Si je faisais pareil au 400 mètres, je me sentirais le roi du monde.
Quant à toi, Dourak, je propose soit NTMH, soit IAMH.
Mais dans les deux cas je raconte n'importe quoi puisque Marie Higgins Clark est américaine et qu'en plus, je vois pas en quoi fixer un ntmh (et encore moins un iamh) sur mon 22 long rifle me permettrait de faire davantage de headshots.
Bref, elle est loin ma jeunesse.
Raté. Mauvaise Britannique.
Si je te disais ce que je fais de ma soirée, c'est moi que tu voudrais achever. En plus, si je te le disais, je serais traçable en quelques mots-clés.
J'aimerais que quelqu'un m'attende quelque part
pute
allez !
PUTE !
J'ai l'impression que les commentaires suivent un fil conducteur mais je ne sais pas quoi...
MAIS NON §§§§§§§
MAIS TA GUEULE TOI
TU NE COMPRENDS PAS CE QUE CA SIGNIFIE ? TU NE COMPRENDS VRAIMENT PAS ???
COMMENT PEUX TU AVOIR L INDÉCENCE D INTERVENIR DANS UN MOMENT AUSSI... PUTE §§§
Putain je m'étais calé sur l'horloge atomique ! https://www.heure.com/
Mes réflexes de vieux reptile en manque de Soleil m'ont fait échouer lamentablement. Ça me gâche mon effet du coup. Je vais me pendre.
NOUS SOMMES PERDUS TOUT EST FINI C EST FINI MERDE IL N Y A PLUS AUCUN ESPOIR TU LE COMPRENDS CA ????
https://www.youtube.com/watch?v=6TuE4nYFP6g
Penis Captivus !
Heu... Non...
Penis Captivus !
Heu... Non...
Gniiiii...
Vous êtes des malades
ah
Shot à l'aveugle.
Getting closer
c 'est ce soir !
MAIS NOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNN
Ce soir tu seras la plus belle pour aller clamser.
Mais mec !! POurquoi ? Comment ?
Bordel.
Je sais bien qu'on est tous doués pour un truc mais quand même.
Parce que c'était lui, parce que c'était moi. En chantant. P.D. James.
Défonce Alphonse.
Paix et prospérité.
Eh merde, je savais bien que j'allais mettre au moins trente secondes à écrire ce commentaire.
Deux minutes. Lent du bulbe.
Coucou.
Hélas.
Il a un programme, il a un programme. Impossible de réussir comme ça à chaque fois.
Encore raté !
La rediffusion du chat a été désactivée pour cette Première.
MAIS PUTAIN ENCORE RAT2 BORDEL §§§
On se rapproche.
Ah merde.
Eh ! J'y suis ! Presque et...
Merde.
Plaisir tant simple et par trop négligé.
Ma jalousie est totale et dévorante.
J'ai une inflammation de l'urètre.
Vous êtes sur le cul, là ?
Ah, non.
Là c'est la bonne
Putain mais comment il fait ?
Bouh !
Boooh !
On y est.
lol
Allez.
Finalement. Georges Pompidou à toi.
Merci. René Coty aussi.
Pour ceux qui se demandent, c'est très simple. J'ai juste atteint un niveau de conscience supérieur.
Je crois me souvenir avoir ressenti un semblable sentiment de plénitude et d'accomplissement quand j'ai appris à lire l'heure. Je crois. c'était il y a quelques années.
Oui, c'est assez grisant.
Allez, je tente aussi.
Saloperie.
18 occurrences de "merde" d'indignation et de désespoir dans les commentaires pour 48 messages postés à 22:22:22 au total.
Et seulement trois de "saloperie" (en comptant celle-ci).
L'ex-employé du mois se recycle en archiviste. Quel opportunisme.
Je m'aperçois que je n'ai même jamais lu le texte, avec vos sotiseries.
Bonsoir. Ou bonjour je sais plus.
Dmc
Tellement rouillé.
Encore plus.
Essaie le Frameto