« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du cœur, il effleura la bouche en cul de poule et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandis qu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs ils se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux lèvres rouges et frémissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.
*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.
Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarrasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manière à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade d'une façon dont même les plus géniaux médecins de l'âme n'en pouvaient rien sucer, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué. C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.
Jack eut juste le temps de s’engouffrer dans la rame alors que la douce mélopée du signal de départ arrivait à son terme. Lech tenta de le rejoindre alors que les portières se rabattaient. Par réflexe, il les repoussa des deux bras. Il y eut un grand craquement lorsque le caoutchouc entrechoqua ses radius. Jack en profita d’instinct pour plonger ses deux mains dans la braguette béante du polonais et lui alpagua le paquet en tirant un grand coup sec. En deux, trois sautillements, il réussit à mordre à pleines dents dans une de ces poignées de cuir suspendues au plafond, il y resta pendu quelques secondes pendant lesquelles il se mit à se balancer d’avant en arrière comme ses pieds ne touchaient plus le sol. Lech faisait des vas-et-viens maladroits à chaque secousse mais tentait de se concentrer sur ces foutues portières qu’il repoussait de toutes ses forces. Un second signal de départ plus insistant se fit entendre. Jack pédalait dans les airs, faisant de petits moulinets avec ses genoux. Il trouva dans un dernier élan en se tortillant du fion assez d’énergie cinétique pour rabattre ses deux jambes violemment contre le plexus solaire de Lech qui fut propulsé en arrière alors que les deux portières vinrent brutalement sectionner son appareil génital. Son long râle fut étouffé par les parois insonorisées du wagon. Lech, émasculé, batifolait sur le quai dans son sang et dans son foutre alors que le métro accélérait.Dans un sursaut sidérant, Lech s'accrocha au dernier wagon déjà en pleine vitesse, jusqu'au mur au bout du quai où il s'éclata la panse dans un cri strident de castra : "hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!", et dans un dernier souffle, son corps d'athlète polytraumatisé, partagé entre un rire sardonique et la décomposition avancée de son petit déjeuner de moules assaisonnées à la Gueuze Becasse, Lech proféra pour l'éternité un : "JE T4ENCULE JACK!" qui résonna dans le tunnel où la rame de métro s'enfonçait dans un vacarme de salopes en rut.
*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en avec de la Gueuze Bécasse.*
Complètement excité à cette image, Jack avisa un labrador anemique tenu par un aveugle à ray ban, sorti sa verge gonflée à bloc, crouteuse et sillonnée de veines variqueuses et l'encula sobrement, juste pour placer la vanne "Qu'est ce qu'un chien avec un Jack dans le cul? Une pedale ouah ouah" Il était heureux, il riait et aimait la terre entière. Pourtant Dieu sait que la terre entière ne l'aimait pas, lui et ses blagues de merde. Jack se disait en lui-même : "Je suis dans un endroit qui n'est pas chez moi. Entouré de gens qui m'emmerdent. Je ne peux même pas partir. Et puis partir où ?". La terre commença d'ailleurs à l'engloutir, probablement juste pour le faire chier, la rame de métro s'enfonçait sous terre en faisant une sort de "Glou glouk" amusant, ce que ne manquèrent pas de noter les quelques passager à proximité des fenêtre, en prenant soin de tempérer leurs affirmations en assurant que le mauvais état du réseau était probablement du fait des socialistes ou des atlantes nazis, que ça allait les mettre en retard et que c'était tout de même la troisième fois ce mois-ci, et je ne parle pas de la ligne 3 qui a plongée droit aux Enfers il y a deux semaines.
La rame gondolait sévèrement sur plusieurs niveaux de réalité, le gode même de Jack semblait soudain composé de fractales aux couleurs psychédéliques du plus bel effet.
"Putain de merde!", Jack se réveillait mal d'un mauvais trip, encore un merdique. Il était affalé presque nu dans le local à poubelle, la bite comme une bougie consumée, le cul atrocement douloureux. Jack s'arracha une vieille canette de bière, défoncée, de son large orifice anal qui dégagea comme un pétard une odeur de foutre et de merde de mort. Il dégueula sa bile sur son ventre et s'étouffait comme un crevard quand la porte grinçante s'ouvrit doucement sur un môme encapuchonné et blême.
"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?"
Merde, c'était lui, Ce-petit-gars-de-la-proche-banlieue-nord-ou-tout-du-moins-cherchant-à-le-prétendre-de-par-son-accoutrement-de-moine-franciscain-estampillé-Nike ! Grands Dieux ! Nietzsche avait donc raison avec son éternel retour, quoique tout ça sentait encore vachement le trip à l'acide. Jack se demanda s'il ne confondait pas l'éternel retour et les conseils de son dealer pour gérer les bad-trips. "J'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville Sevran. Huhuhu. Va te faire foutre par un nabab, tas de vermines agglutinées !"
Ca commençait sévèrement à être dur pour Jack.
"Putain, ta mère, hé bâtard! Comment tu me parles!?..."
Prévisible... Un goy, connard de bobo avec sa carte d'antiraciste agréé par l'OMS, mal déguisé en zonard errant, qui cherchait à faire des vidéoclichés de la putain de pute de vie des cités, pour les montrer à sa vieille tante suceuse, s'était fait alpaguer, dans la cave à côté, par trois petits blacks gris et gonflés par le crack, et qui lui proposaient en échange de son videocam Jap, de lui allonger sa queue blanche à la senteur Chanel, au chalumeau, pendant qu'une énorme diamantaire voilée lui faisait bouffer ses hémorroïdes par son bulldog anémié, il criait de douleur et suppliait en chialant : "JE SUIS VOTRE PUTE!" (lapsus dangereux, il voulait dire : "je suis votre pote"), avant qu'il ne tombe dans un coma extatique profond, trois bites noires se battant dans sa gorge.
Fatigué des redondances et des explosions décapitantes, Jack se gratta les couilles avec conviction et sa main droite et décida de ne pas réagir à cette nouvelle hallucination, ce qui aurait été, dans le fond, une preuve qu'il accordait une importance au genre humain plus qu'à l'expression de ses sensations ce qui était totalement faux. " Après tout, le monde n'existe que dans ma tête. ", se dit il pour se rassurer. Par contre, au vu des immondes bulles qu'il sentait crever dans ses intestins, ce n'était pas exactement le bon moment pour se concentrer sur ses sensations : Il fallait chier, et vite. Il trouva juste à la hauteur de son cul, une gueule grande ouverte de bobo interloqué, lâcha ses bombes et tira la chasse en passant bien partout le balai à chiottes. Le sang giclait, avec de la merde, sur ses pieds! Jack ressentait dans ce geste hygiénique une jouissance dévastatrice et ses pulsions maniaques le reprenaient de plus belle.
LA ZONE -
Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!
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le mieux c'est de tout de suite lancer une polémique dans ce genre de situation. Sinon on reste là comme des cons à contempler l'otni.
Alors ? Pour ou contre les gastro-entérologues qui font du happy slapping dans ton cul quand t'es sous anesthésie générale et qui postent leurs videos sur Youtube ?
Je suis d'accord si ma tête est floutée.
Ça manque de dentistes qui fraisent les dents avec leur micropénis sur Youtube, ce texte.
Il n'y avait pas une histoire au départ de cette initiative?
oui, elle est DTC,s. (hihi je suis subversif hihi)
Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdue
Mais puisque je vous dis que j'ai déjà commenté ce texte.
Je profite de cet espace de liberté, exceptionnel par ces temps sombres et obscures, ombrageux, orageux, venteux, pour exclamer ma profonde jouissance en lisant des commentaires vacillants à la limite du bord du trou.
Ta gueule.
MANGEONS DES PALOURDES §
Je tiens à manifester mon approbation débordante d'admiratif respect pour le résumé de ce texte. Sobriété, majuscules, bovidés. Le résumé de la maturité.
Maintenant que chacun pond un pavé, c'est moins marrant.
Si chacun pouvait réfréner son ego et se contenter d'une phrase à la fois, à commencer par LC itself...
Je rappelle que c'est l'initiative de Lc, et que ta gueule, d'un point de vue global. Les règles et la Zone ça fait deux.
C'est son initiative, grand Moghol, j'ai pas dit le contraire. Maintenant, vous la plombez, lui en tête.
Commente le texte, plutôt que de commenter mes commentaires.
Tapette moldovaque.
si on écrit pas au minimum 3, 4 phrases. On risque de partir dans tous les sens et que ça ne veuille plus rien dire alors qu'en écrivant au minimum 3, 4 phrases au moins on en est sûr.
Glop glop, ce qu'il faut que tu comprennes, c'est qu'on n'en a rien à foutre, en fait, de ta façon de penser et de ce que tu crois bon pour le monde et pour la Zone, pour les textes, pour le comportement des auteurs, pour mes commentaires et pour la forme du noeud des lacets du père de chaque auteur. Faudra t'y faire.
Ce texte est une cafetière et c'est parfait ainsi.
=COMMENTAIRES=
Voilà ce qui a dû échapper à ta vigilance, camarade.
Herbal tea or Coke, that is the question.
mince, on a oublié l'espace entre =COMMENT et TAIRE=
Moules bouchot à la crème
Plat principal
Très facile Moyen Moyen
L'avis des Internautes Note : 5 sur 5 Note : 5 sur 5 Note : 5 sur 5 Note : 5 sur 5 Note : 5 sur 5 (12 votes)
Moules bouchot à la crème
Préparation : 10 min
Cuisson : 10 min
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 1 kilo de moules bouchot
- 2 cuillère soupe huile d' olive
- 25 cl de crème fleurette
- 1 feuille de laurier
- sel et poivre
Préparation :
Laver les moules. Dans une poêle, mettre l'huile, les moules, la crème fleurette, le laurier, sel et poivre.
Cuire feu doux 10 min en remuant régulièrement.
(Très facile Moyen Moyen . Note : 5/5. Laver les moules)