Papa, maman,
Mon amour,
Mes chers enfants, (*)
A vos yeux que je devine humides de chagrin, je livre cette ultime missive, non pour expliquer mon geste, mais afin d’ôter de votre esprit toute trace éventuelle de culpabilité. Si j’ai souhaité en finir et que je ne suis plus, à l’heure qu’il est, qu’un souvenir, ce n’est pas parce que je ne veux plus partager mon existence avec vous, mais pour cesser d’empoisonner la vôtre. Je sais pertinemment que je suis devenu un poids et ne peux décemment pas vous blâmer de m’avoir délaissé ou enfoncé encore plus profondément dans la dépression. Bien au contraire. Vous avez toujours été là pour moi et je vous en remercie. Simplement, je n’ai plus la force de continuer. Ce monde m’apparaît trop froid, trop dur. Survivre est un combat de tous les instants et j’en ai assez de me battre.
Je le répète : ce n’est pas de votre faute.
S’il vous plaît, essayez de ne pas m’en vouloir. Certains êtres s’avèrent juste plus faibles que d’autres, comme si la nature avait omis de les doter de cet ingrédient censé les rendre aptes à la vie en société.
Je ne vous dis pas adieu mais au revoir, car il est peut-être d’autres temps et d’autres lieux.
Affectueusement, votre enfant, ton amour, votre père / mère. (*)
* rayez les mentions inutiles
Force nous est de constater, chers suicidophiles, à la lecture de la lettre sus-transcrite, que son rédacteur, pour le moins impersonnel - mais dont le style soporifique n’est pas pour autant exempt d’un pathos tout bonnement insupportable - n’a manifestement pas intégré à sa démarche, certes lettrée, certes suicidaire, le principe étalon des règles d’or d’Il faut se suicider malin. Est-il Dieu possible d’affirmer sans faire preuve de mauvaise foi que cette note est susceptible de provoquer un drame familial, gâcher plus d’une vie innocente, faire pivoter le premier rouage de tout un engrenage carnassier ? La réponse est non, bien évidemment. Qu’est-ce que c’est que ça ? « Ce n’est pas votre faute », « essayez de ne pas m’en vouloir », « pardonnez-moi » ! Non, mais on marche sur le cuir chevelu, là oh ! Faudrait peut-être réfléchir à tout ça avant d’écrire de telles conneries, bande de larves aux yeux poisseux, pauvre ramassis de geignards eunuques, jouets cassés pour premier âge. Grrrr… Vous puez la politesse viciée de ceux qui veulent mourir sans déranger leur monde. Si vous laissez un mot - grands dieux ! - si vous vous estimez assez important pour importuner les survivants avec un échantillon de vos pensées profondes et essentielles, faites en sorte que ce mot vous contienne entièrement. C’est la moindre des choses : il doit éclater à la gueule de celui ou celle qui le lira, le ou la marquer au vie, et, si possible, le ou la pousser à vous rejoindre. Après tout, votre décision d’en finir ne va pas sans entraîner certaines implications : vous haïssez, vous méprisez, vous détestez, vous vomissez tout le monde. Sans la moindre petite exception, dépressif belliciste à la manque.
Essayez plutôt le modèle suivant :
Toi qui me lis,
J’ignore qui tu es, mais l’audace dont tu as manifestement fait preuve en allant cueillir ce billet dans ma poche de poitrine, sous mon chandail, m’incite à présumer de ton appartenance au corps médical, à moins que toi et moi n’ayons été proches à l’époque, pas si lointaine, où j’étais encore en vie. Si, d’aventure, tu ne corresponds à aucune de ces catégories, je te remercie de replacer la lettre là où tu l’as prise, de continuer à ne pas t’offusquer de ce tutoiement post-mortem, de ne pas jouer avec mon sexe, mon anus, ni aucun autre orifice ou appendice.
Si la faim te tenaille, sache que j’ai cessé d’être comestible il y a fort longtemps, vu la nature des repas que me concoctait ma femme, avec tendresse mais sans talent, avant de me forcer à les ingurgiter, sans amour mais avec obstination et, éventuellement, un entonnoir et ce Lüger si persuasif qu’elle tenait de son grand-père dont j’ai oublié s’il était Teuton ou collabo.
Si tu es ma femme, je t’accorde volontiers le divorce, mais tu peux toujours courir pour la pension. Après tout, je te suis en partie redevable de mon état actuel de macchabée, même si, je dois l’admettre, tu n’es pas la seule femme à m’avoir causé des tracas ces vingt dernières années. Ainsi, démontrant par son attitude fourbe qu’elle appartenait à la même lignée de salopes, ta sœur elle-même n’a jamais hésité à me tromper avec son propre mari, aux enfants duquel je me vois par ailleurs génétiquement obligé de céder la partie de l’héritage que je réservais à l’origine aux deux blondinets que ton directeur de marketing t’a très serviablement aidé à concevoir. Une dernière chose : ton amie Ghislaine n’est nullement lesbienne, et je peux t’affirmer d’expérience que la femme-fontaine n’est pas une légende urbaine, qu’il existe en ce monde une quantité non-négligeable d’individus qui pratiquent le coït sans éteindre la lumière, et surtout, sans se flageller après coup pour demander pardon à Dieu. Je ne dis pas qu’il faut interdire le fouet. Loin de là. Il convient toutefois d’en user pendant l’acte. Pas après.
Si tu es l’un de mes enfants, je ne vois pas ce que je pourrais ajouter de plus. Sers-toi de ton imagination. Oui, c’est vrai, tu n’en as pas. Je sais pas, moi… Réfléchis. D’accord, tu n’es pas équipé pour. Laisse tomber. Retourne à ton écran.
Si tu es un ami, ce n’est pas possible. Je n’ai pas d’amis.
Bon vent et à jamais.
Comprenez bien que ceci ne constitue finalement qu’une lettre-type qu’il apparaît indispensable d’adapter à votre histoire personnelle, votre âge, votre sexe, les noms des personnes incriminées, etc. Conservez-en l’esprit belliqueux, placidement cynique, ouvertement frondeur, mais n’hésitez pas à la parsemer de détails personnels afin d’en accroître l’impact. Décrivez le clitoris de Ghislaine, incluez des annexes compromettantes, comme le test de paternité des enfants cités, des vidéos épicées, des extraits des correspondances secrètement entretenues avec vos différentes maîtresses (elles aussi secrètement entretenues), votre carte d’adhérent au PCF, votre abonnement à Télérama, votre carte gold, ce genre de trucs sales et honteux.
Si vous préférez toutefois la duplicité à la muflerie, rien ne vous interdit d’adopter le ton geignard de la première lettre pour mieux culpabiliser votre lecteur/trice et le/la torturer ainsi du fond de votre cercueil (c’est une image, bien sûr, ça marche aussi en cas d’incinération, je tenais à le préciser pour les cons et les analphabètes).
Chers tous,
Avant d’aller plus loin, je veux que vous sachiez que je regrette déjà mon geste. Il va me falloir bien du courage pour quitter ce monde et, plus concrètement, pour me tailler les veines avec ce coupe-papier émoussé - dans le sens de la longueur, sinon il faut creuser plus profond et le processus dure par conséquent beaucoup plus longtemps. Quand je pense que je m’appliquerai à m’arracher à cette vie avec une lame en cuivre mou sitôt mon stylo recapuchonné, c’est-à-dire dans probablement moins d’un quart d’heure en comptant large, j’en pleure. Les gouttes qui dévaluent mon encre et brouillent mes propos, ce sont des larmes de tristesse, de terreur et d’effroi.
Effroi, face à la mort, cette grande inconnue qui, toute notre vie, nous attend sans pour autant daigner nous adresser la parole à l’heure où les viscères nous lâchent, où le dernier souffle s’estompe, où le vaillant asticot s’apprête à entamer son repas. Effroi, parce que même si le grand rien présupposé succédant au néant de nos existences insipides me paraît préférable à la vie que vous m’avez vu subir à vos côtés, je ne puis m’empêcher de craindre ce que je ne puis définir.
Terreur, face à la souffrance que j’imagine infinie, sans doute par erreur ou par manque de discernement. D’aucuns diraient « par superstition », « habitude » ou « atavisme ». Je l’ignore et n’en ai cure. La terreur est là, bien réelle, me dévorant le ventre avec ses dents de crève-la-dalle, son appétit de pays sous-développé et une incroyable désinvolture à l’égard de son taux de cholestérol.
Tristesse, à l’idée de vous quitter, mes chers et tendres, car s’il est pour moi une certitude en ce jour, c’est bien que la mort, quelles que soient sa nature et sa signification, aura pour effet immédiat et définitif de séparer nos âmes brûlantes de cet amour qui m’aura tout de même amené jusqu’ici. Ne plus jamais revoir ceux qui, bien souvent par leur seule présence, ont su nourrir les plus belles journées de ma vie ; ne plus ouïr leurs voix, leurs rires de flamme et de cristal, le chant aigu de leurs piaillements enfantins, le râle monocorde de leur respiration cancéreuse ou leurs tics de langage… L’idée même de ne plus humer leur odeur estampillée Sephora, McDo ou Canard WC me donne envie de me tuer, à regret, c’est sûr, mais la peine est trop forte.
Ah, Brigitte… J’emporterai dans la tombe cette joie ineffable que tu m’as fait ressentir le jour de la naissance de notre petit Eric au moment où, dans un souffle, tu m’as avoué : « Il n’est pas de toi. » Merci pour ce moment unique où tu as su réduire à néant, en quelques mots à peine, l’intégralité des doutes dont j’étais assailli depuis que le médecin avait confirmé la trisomie 21 du mignon fœtus. Grâce à cette courageuse confession, j’ai pu me détacher sans effort de cette larve vouée à ne jamais dépasser le QI d’un labrador pour me concentrer sur des tâches plus gratifiantes, comme ma collection de timbres-postes des anciennes colonies françaises, ou le dépucelage anal de ta petite cousine Hortense, qui aime bien imiter le cri facétieux de la vespa romaine lorsqu’on lui tire sur les couettes.
Eric, je n’ai, bien entendu, rien d’intelligent à te dire, rien que tu ne puisses comprendre, du moins. J’espère sincèrement que tu dépasseras un jour cette fâcheuse habitude que tu as de tirer sur ton gland dès qu’une jeune fille traverse ton champ de vision. Crois-moi, elle se fiche comme d’une guigne de savoir que tu peux t’en servir de fronde. N’oublie jamais, par ailleurs, que toute élasticité à ses limites.
Les amis, penser à vous me lamine. Plus jamais, hélas, je ne vous entendrai trinquer, boire et roter, péter en gueulant que le foot c’est trop d’la balle, vous fendre la gueule de vos rires caves parce que voilà une blague qu’elle est bonne, chanter la vie à tue-tête en proclamant avec la distinction classieuse qui vous caractérise cet amour insolent des belles choses et de la bonne chère. Plus jamais - et je le déplore sincèrement - je n’attendrai vos coups de fil, dont je chérissais la chaleur tout autant que la rareté, parce que ce qui est rare est cher. Vous étiez ma seconde famille, et, à ce titre, vous m’avez tant apporté que je préfère demeurer votre éternel obligé.
Je quitte à jamais ce monde glacé, infâme et veule. Ne m’en veuillez pas, je vous prie, y compris pour les dettes.
Affectueusement…
Ici encore, vous devez adapter la lettre au moindre détail de votre biographie. N’hésitez pas à ressentir chacun des mots que vous employez. N’ergotez pas sur le pathos. Allez-y à fond. Chaque larme arrachée aux vivants vaut un coup de poignard et vous sera décomptée sur l’achat de ce manuel.
Passons maintenant à un autre type de mot d’adieu. Imaginez que vous ayez appliqué à la lettre chacune des règles d’or d’Il faut se suicider malin : vous vous êtes préparé à laisser une bonne impression, vous avez su choisir l’endroit et le moment adéquats pour anéantir d’un seul coup toute velléité de résistance psychologique ; avec ce dernier mot, vous les achevez.
Je résume le contexte : vous avez toujours été le roc sur lequel s’appuyer. Votre épouse ne connaît de l’autonomie que la définition du dictionnaire et un vague concept géopolitique très probablement mal assimilé. Vos enfants n’osent pas respirer sans votre permission et l’un d’eux, à titre d’exemple, n’a échappé que par miracle à une congestion intestinale provoquée par l’interdiction d’aller à la selle que vous lui aviez imposé par jeu plus que par méchanceté. Bref, vous disparu, tout s’effondre. Il s’agit maintenant de réduire en lambeaux votre image d’homme honnête, sérieux et droit.
Mes chers enfants,
Surtout n’allez pas cafeter auprès de votre maman : je n’en sortirais pas vivant. Le corps étendu sur le carrelage n’est plus votre père, mais une simple enveloppe charnelle. Mon esprit enfin libéré va pouvoir entamer sa migration vers Sirius, où m’attendent Winston Churchill, John Lennon et Marilyn Monroe pour une partie de strip-rami (qui se joue comme le rami, mais en trois cases).
N’ayez nul chagrin : je ne serai jamais loin. Dans la carte à puce de votre téléphone portable, dans les circuits imprimés de votre PC, dans la poche arrière droite de vos pantalons, dans le compartiment à beurre du frigidaire et, chaque jeudi matin de 10h30 à 11h, notamment les années bissextiles, à l’UFR Sciences Sociales de la faculté de lettres de Montpellier.
A chacune de vos sorties au restau, songez à vérifier sous le cendrier et entre les feuilles de la salade décorative. De même, au cinéma, je me cacherai derrière l’écran. Cherchez-moi à l’occasion sous l’étiquette antivol des DVD de la Fnac ou Virgin, sous les jupes des bonnes sœurs, bonniches et bombasses, imams, rabbins et curés, dans la télécommande de la télé des voisins, sous les pare-chocs des voitures en marche, dans la gueule de Rex, le Rottweiler neurasthénique du réfugié politique argentin qui tient l’épicerie. N’hésitez pas à m’appeler, de temps en temps, surtout les nuits de pleine lune.
Bisou.
A +.
Enfin, il est important, d’un point de vue purement éducatif, de rappeler à vos enfants qui commande ici, foutredieu, en leur adressant une liste écrasante de tâches à accomplir pendant votre absence.
1. Décrocher papa du lustre.
2. Enterrer papa.
3. Nettoyer la moquette sous papa ; risque de déjections diverses.
4. Ramoner la cheminée. Suggestion : vu sa taille réduite et sa dense chevelure, poussez votre petite sœur dans le conduit.
5. Changer les rideaux du salon.
6. Réparer la gouttière.
7. Réparer le magnétoscope et enregistrer la fin de la saison 3 de Friends (voir horaires sur le programme-télé ci-joint).
8. Accomplir le devoir conjugal à la place de papa. Faites-vous éventuellement aider de M. Lefèvre, que maman connaît bien. S’il rechigne ou s’il n’est tout simplement pas là, Kévin, tu trouveras une documentation exhaustive et convenablement illustrée dans le compartiment secret du troisième tiroir gauche de mon bureau. Lave-toi bien les mains après. Surtout mets un préservatif, on ne sait jamais avec maman. Si c’est elle qui renâcle, apprend la phrase suivante par cœur et hurle-la lui avant de la prendre sauvagement en levrette : « L’âge ne t’a jamais posé problème quand il s’agissait de tringler le baby-sitter ! »
9. Passer la tondeuse chaque semaine en été, tous les quinze jours en hiver. Nourrir le compost avec la pelouse coupée. Ne pas manger le compost.
10. Eviter maman tous les 28 jours. Risque d’engueulade sévère.
11. Nourrir pépé. Le retourner deux fois par jour.
12. Nourrir la tortue deux fois par jour. Ne pas la retourner.
13. Ne pas confondre 11 et 12.
14. Trouver un boulot bien payé. Eviter toutefois la prostitution, métier à risques malgré les avantages. Préférer star du x ou fonctionnaire.
15. Faire des enfants et se suicider au plus vite. Dans l’ordre que vous voulez.
[message de l'administrateur : cette page fait partie de la Zone (http://www.lazone.org), site à vocation humoristique. Le texte qui suit ainsi que les commentaires sont à interprêter comme de l'humour (ça parait évident au vu des méthodes de suicide fantaisistes décrites par l'auteur). Vous ne trouverez aucun conseil sérieux pour se suicider sur cette page. Si c'est ce que vous cherchiez, faites demi-tour. Si l'humour vous intéresse, vous êtes le bienvenu. Le texte comme le site est toutefois fortement déconseillé aux âmes sensibles, notre humour étant volontiers agressif et cynique.]
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In before grosse vague de crétins.
Ce texte est nul parce que le message de l'administrateur.
Ce texte est bien parce que maintenant, s'il me venait l'idée saugrenu de me suicider, je copierais mots pour mots une de ces lettres.
Mais quand même le message plus le petit logo là, ça fait pas un peu trop ?
La semaine dernière, très fatigué alors, je me suis surpris à écrire "suicide" au lieu de "suscite", et c'est à peu près tout ce que m'évoque ce texte ennuyeux.
Il n'y a que la liste de recommandations qui soit (un peu) marrante, vers la fin.
De toute façon, tout le monde sait que les "il faut se suicider malin" sont simplement une excuse pour que les trolls se condensent ici. Sinon pareil, ennuyeux et vite oublié.
J'ai commencé à lire, mais mes couilles se sont soudain mises à me gratter. C'était un mauvais présage, j'ai du interrompre la lecture de cet formidable texte qui commençait si bien.
Non je déconne, j'ai trouve le début lourd et chiant, et je m'en vais donc changer d'activité et aller noyer mes souvenirs et angoisses existentielles dans les pâtes.
Malheureux, ne fais pas ça ! On en revient jamais vraiment.
Evite les pâtes enragées, ça irrite violemment le fondement.
Surtout quand il est pourvu d'hémorroïdes.
J4ARRËTE LES PÄTES QUAND JE VEUX. ET PUIS C4EST MA VIE? J4EN FAIS CE QUE J4EN AI ENVIE.
Et un filet mignon? C'est bien ça, un filet mignon?
Ou un tablier de sapeur?
je me permet de renvoyer mes proches ici car mon mot d'adieu à brûlé dans ma poche
Vous croyez en Dieu? Moi pas. Je préfère le sport en cachette.
"Les écrits restent. Moi, pas"
Trop long, pas lu
Rien à dire.
Pas intéressé.
Déjà-vu, déjà-fait-chier.
Mais ou trouves-tu une telle inspiration ? j'applaudis de vive voix !
Applaudir ça, c'est du nihilisme.
Pourtant applaudir de la voix c'était déjà assez con.
A moins de se filer de grandes baffes dans la trachée, ce que je conseillerais joyeusement à barn.
c'était assez a chier autant j'ai bien aimé "se suicider malin: la méthode violente" mais la j'ai trouver sa nullisime, lourds, chiant et j'avais les couilles qui me grattaient sur ce, bon suicide à tous.
Inintéressant... C'est con, j'ai du m'enfiler une quinzaine de bière pour me donner le courage de tout lire quitte a crever de soif cette nuit mais arrivé à la deuxième lettre j'préfère me tir...
Salut les pédés !!!!!
Vraiment nul comme site !!!
je croyais qu'il fallait être connecté pour accéder à ce type de nouvelle ?
Mais on est tous connectés. C'est l'ère de la connexion générale avec le néant.
https://www.youtube.com/watch?v=dBqhuL-rmVI
Sa ma fait chier des le début mais je me suis dit bon aller je continue sa peut être bien et finalement g continuer et je me suis rendue conte que c'était toujours aussi nul qu'au début
Mrd
Merci de ton avis éclairé, lecteur anonyme. Tu as gagné une sodomie gratuite. A tout à l'heure, Louis.