Oh putain, je suis mal barré là !
Quand elle me dit ça, je sais que je suis mal barré…
Je la regarde avec un sourire fendu (voire tendu) et tout va très vite dans ma tête, comme si mon dernier jour, que dis-je ? ma dernière minute était arrivée…
- « Je pense à tes seins, trop parfaits pour être vrais, je planterais bien un pieu dans chacun de tes copains pour voir s’ils explosent ! Ah ! bien sûr une pucelle c’était chouette mais les pucelles qui se font dépuceler, elles tombent amoureuses du premier qui les pénètre… Et toi, t’es pas mieux que les autres, tu crois qu’un coup de bite et hop, le mec accroché au bout, ce sera ton mari pour la vie et même qu’on va s’aimer pour toujours …»
- « Je pense à la femme derrière toi qui a au moins 20 ans de plus que nous et qui doit être un très bon coup, pas comme toi … Je m’imagine en train de l’attraper par les épaules, de lui embrasser le cou tout en soulevant son uniforme de chez Mac KFick, je lui baisserais la culotte et la baiserais, comme ça à sec, parce que cette salope, elle demanderait que ça »
- « Je pense aux gamins dans la salle de jeux auxquels j’ai envie de foutre une branlée parce qu’ils ont des casquettes à l’envers et des joggings blancs, parce qu’ils parlent « ça comme » et même que je te donnerais en pâture à ces minables »
- « Je pense aux enfants, qui sont là, qui ne font rien … sauf du bruit. Un bruit insupportable, qui entre dans ma tête et s’installe définitivement, comme le marteau-piqueur sur l’asphalte un matin de novembre. J’ai envie de sortir un cocktail Molotov et de le balancer dans cette usine à burgers de la banlieue. »
- « J’ai envie d’exploser le cul de ta mère parce qu’il est beau, parce qu’elle a 20 ans de plus que nous mais qu’elle porte pas l’uniforme dégueu et qui sent la friture de chez Mac KFick… Je lui ferais imploser la chatte et hurler de plaisir, si seulement… »
Si seulement je pouvais lui dire tout ça…
Mais non, je la regarde, avec mes yeux de cocker à moi, qu’elle appelle des « yeux d’amoureux » et je lui dis :
- « A rien et toi, à quoi tu penses ? »
Parce que je sais que c’est ce qu’elle veut que je lui réponde… Elle sont toutes pareilles, elles veulent savoir ce que tu as derrière la tête, toujours, tout le temps, quand tu baises, quand tu bouffes, quand tu regardes le rugby à la TV, toujours… pourquoi ? pour s’entendre parler…
Elle me regarde avec un sourire aux lèvres et elle me répond :
- « A rien. »
Je mate la vieille derrière elle, les jeunes avec leur casquette, les enfants avec leur bruit, puis elle…
Je me lève, je la regarde et lui dis :
- « normal, t’es blonde, tu peux pas penser ! »
LA ZONE -
Après avoir fait la queue pendant une demi heure, elle ouvre enfin la bouche sur son hamburger, me regarde avec amour…
Enfin… Amour, amour, le mot est un peu fort ! On dirait surtout un cocker qui réclame sa caresse…
Elle déglutit avec un gros « glourps » et là, elle le lâche… le mot ! enfin, LA phase qui tue :
- « A quoi tu penses ? »
Enfin… Amour, amour, le mot est un peu fort ! On dirait surtout un cocker qui réclame sa caresse…
Elle déglutit avec un gros « glourps » et là, elle le lâche… le mot ! enfin, LA phase qui tue :
- « A quoi tu penses ? »
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Je pense qu'on a le droit de penser ce genre de dialogues si on a rien d'autre à faire.
Après, pour ce qui est de l'écrire -sans parler du fait de le poster-, ça commence à devenir une démarche beaucoup plus contestable.
Heureusement, c'est très court. CMB, oui.
commentaire édité par Omega-17 le 2009-7-9 16:42:33
« Je pense aux gamins dans la salle de jeux auxquels j’ai envie de foutre une branlée parce qu’ils ont des casquettes à l’envers et des joggings blancs, parce qu’ils parlent « ça comme » et même que je te donnerais en pâture à ces minables »
"Je me lève, je la regarde et lui dis :
- « normal, t’es blonde, tu peux pas penser ! » "
mon dieu
†
ca releve meme pas du "c'est vraiment dla merde"
là t'as le droit à l'interrogation grave, consternée, choquée et craintive : pourquoi? =/
Quel machisme, je suis choqué !
Bon c'est court et andecdotique. J'ai lu pire quand même.
La fin est ultra bidon, j'aurai bien vu qu'on entre dans la tête de la fille et qu'elle pense des trucs plus hardcore que le gars.
Merci de ta participation.
Ah ouais j'avais pas vu le pseudo....: dark angel
olala
En résumé, c'est creux, un mélange de provocation injustifiée, qui tombe à plat, et de médiocrité banale formée à l'école des jugements de comptoir (ça, c'est pour la fin).
Je regrette de ne pas avoir lu de la vraie merde à la place, au moins il y aurait eu un soupçon d'intensité.
Ca finit sur une blague de blonde, et c'est assez symptomatique de tout le reste ; même si en mélangeant bien toutes les lettres, on peut obtenir le mot "califourchon", ce qui est une belle qualité.
il est d'ailleurs fort probable que l'auteur ai écrit son texte en mélangeant des lettres au hasard. je lis, mais je ne comprend pas le message.
ce texte est peut etre une grosse faute de frappe, genre glissement du coude sur le clavier, là ca serais pardonnable.
commentaire édité par Josh le 2009-7-9 18:25:2
Texte zonard classique de haine intériorisée, bien.
Un peu dans la lignée "domino" mais l'action en moins.
Un bandana, une mitrailleuse, un hors bord, des marsouins agents secrets... de l'action, quoi.
Et la fin est vraiment nulle.
Remarque :
"Je lui ferais imploser la chatte"
C'est maladroit. A moins que ta bite soit une seringue de vide ou un petit trou noir. Ce qui est développable.
C'est de la merde. J'arrête donc céans mon commentaire, et change de sujet.
Saviez vous que lorsque les premiers mandchou s'approchèrent des steppes kazakhes, il y a de cela un millénaire, ils furent stupéfait de découvrir d'étranges animaux, hauts sur pattes, d'autre aux poils si long qu'on ne pouvaient distinguer la tête de la queue. Des cris étranges les réveillaient la nuit ; mais en atteignant le centre d'un immense désert, la vue d'une cité noire, torturée, toute de métal et dressant vers le ciel d'incompréhensibles icônes lisses et élancées leur fit perdre courage et ils firent jusqu'à leur foyer une retraite prompte.
Revenus chez eux, ils racontèrent :
- Là-bas, les chiens sont énormes, et ont deux bosses sur le dos. Là-bas, les montagnes sont rouges, et jaunes, et le sol couvert de poussière.
Là-bas, seuls vivent des nomades farouches, que l'on aperçoit juchés sur la ligne d'horizon, avant qu'ils ne disparaissent. Il y a là-bas un temple de métal loin de toute rivière, et la nuit des lueurs terribles, des feux monstrueux en surgissent. Là-bas vivent des démons.
Leur peuple fut stupéfait, et les portèrent haut.
Plus tard, on retrouva cette histoire dans un rouleau abandonné dans un temple. Ceux qui le lurent pensèrent tous la même chose.
Quelle bande de cons.
Et à l'heure de midi, le Mandchou croûte.
Tu gagnes un point Lapinchien.
Je suis stupéfait.
Sont vraiment stupides, ces Mandchous.
j'aime bien l'idée qu'on me considère comme un mec...macho qui plus est
car angel et dark angel ne font qu'une seule et unique personne.
Et il est vrai que je n'avais rien à d'autre à penser qu'à ce texte que j'étais en train d'essyer de pondre.
Malheureusement, je me lasse vite et finalement, la conclusion est à chier, mea culpa.
encore une chose : je suis blonde...
l'auto-dérision, vous connaissez ??
Ta gueule pute.
Ca rajoute 1/2 point le fait de savoir que c'est une gonzesse qui est l'auteur de ce texte. Et un autre demi point pour le fait qu'elle soit blonde..
Ce qui apporte la note à 5/20.
Ouuuais je me sens l'âme d'un prof aujourd'hui bande de putes !
L'idée n'était pas mauvaise. Ça aurait pu être bien avec un peu d'effort dans l'écriture. J'imagine ça écrit par Updike, par exemple, et je me dis : c'eût été fort beau.
je m'm é alor ?
dourak m'a évaluée sui tro contente
dourak je t'm