Le blanc �cru qui oppresse, rend malade, stimule des visions cauchemardesques ; des murs semblants se rapprocher d'eux m�me, aspirants le d�cors atomes par atomes. Un m�got dont le brasier s'�touffe � chaque bouff�e, du bout de ses doigts nerveux, tremble en laissant s'�chapper un doux filet de fum�e diaphane. Il pointe la mine de son stylo sur la feuille vierge, format A4, qui lui fait front, arrogante, moqueuse, envoutante, immacul�e de vide, d�sireuse d'en finir avec son n�ant, d�sireuse de prendre vie, d'�tre parcourue d'un regard attentif, chaleureux et sinc�re. Il n'en ressort, la moiti� du temps, que d�ceptions et d�couragements, au bout d'intenses r�flexions stupides sur le vide et la mani�re dont l'emplir avec science et harmonie, de g�n�rer des images et des sensations. Des griffonnages incontr�l�s, pouss�s par l'exasp�ration et la lassitude, ressemblent � un amas informe de pens�es sombres. Hermann exsangue et tourne en rond, tapotant sur le bout de sa clope agonisante. La cendre qui tombe d�licatement sur le sol ressemble aux id�es qui traversent son esprit.
- Inspiration .
- Hermann ?
- Je suis � bout, st�rile de toute illumination, j'ai vraiment besoin de ton aide ce soir. Donne moi des images, donne moi la vue que je puisse donner la vie.
- Qu'� tu fais de moi, la derni�re fois o�, de clairvoyance protectrice, j'ai suppos�, aid� et stimul�e l'�tincelle d'inhumanit�, de celle d'un p�re indigne, qui habite ton �me, et celles qui t'ont toujours...
- La derni�re fois, tu �tais � ton habitude, froide, �vasive, ne laissant mon esprit qu'aux martyrs d'une �poque r�volue. Tu aurais plus d'utilit�, subtile d�esse, si tu pouvais me faciliter les choses, et non me laisser entrevoir juste des images, et n'oublies pas ce qui fait de moi ton P�re...
- Que je n'approuve plus, ce statut de Cr�ateur, ces d�sirs qui d�passent ma volont� m�me, et si mon souffle f�d�rateur ne saurais que trop se retenir. Je ne suis qu'un pan assum� de ta personne qui te sugg�re, mais n'op�re � ta place qu'en tant que conseill�re. Prends moi comme telle et sois-en heureux, ou avilies toi comme la modeste merde, celle que tu sais, celle que tu es en train de devenir. Maintenant, passes moi une clope s'il te pla�t.
Ses petits mouvements de l�vres r�guliers, recrachant l'incandescence avec d�lectation, son aura, les vibrations de sa peau, elle nargue le regard. La fum�e grise glisse sur sa longue chevelure brune. Un air de d�dains se d�gage de ses yeux clair, voil�s de blancs, scrutateurs et interrogatifs. Elle ondule voluptueusement en laissant une train�e brouillardesque � chaque oscillation de son corps gracieusement gazeux.
Un enchev�trement de mots, un puzzle condens� dans lequel transparait la haine et la passion. Hermann vivait un dans cauchemar permanent, r�gis par des crit�res d�finis, afin d'attirer l'attention de l'oeil. Style, efficacit�, fluidit�, des tas de critères à la con. C'est dans un m�lange de vide relationnel et de rancoeur exacerb�e qu'il puisait ses mots. Depuis peu, Le vide de son existence se comblait petit � petit, alors qu'il s'�tait fait une raison sur la d�ch�ance de son sens social. Ce bonheur naissant commen�ait � lui faire perdre les sens acquis, � aspirer envie et inspiration ; d' eux ne saurais rester que virginit�.
- Inspiration.
- Je suis l�, et ne me laisse pas mourir.
- Que dois-je faire pour te donner la force de m'aider ?
- Que tu trouves mon nom. Ici je ne peux rien, je suis ext�nu�e, ma substance s'effondre. C'est ton �tre qui causera ma perte, ind�niablement.
- Ton nom. En as tu seulement un, et comment le trouver ?
- ...Tu es le P�re, et moi vie et cr�ation, c'est de ton essence que vient ma mort, tout autant que tu m'as cr�e je puis d�truire ta cr�ativit�. Souviens toi de ma conception, puis rappelles toi comment, et pourquoi, tu m'as donn� une apparence.
Elle flottait impassible, les yeux cern�s et le visage amaigrit. Sa gr�ce divine qui me plaisait tant s'�vaporait dans chacun de ses mouvements, pour laisser place � une lourdeur sourde. Et celle qu'il adorait �tait en devenir, par �tapes successives, une informe mati�re gazeuse, aux traits tir�s, aux embruns malodorants, inexpressive et repoussante. Hermann d�sempar�, la t�te en qu�te d'�l�ments et de solutions tangibles, s'affale et se prosterne. Son nom qui ne pouvait �tre n� que d' inconscience, de r�veries et de sens abstrait, au gr� de sa volont�. Hermann avait oubli�, tout comme son pass� de palabres insens�es, de violences rageuses venus du lointain.
L' astre solaire qui frappe en plein visage et laisse une trace rosac�e, les pas vifs et effac�s des passants, les odeurs, les ar�mes, Hermann Ziegenb�k �vasif, se profile � l'angle d'une rue, d'un pas impr�cis. La mort de son inspiration le rendait curieux, observant chaque gestes et sc�nes de la vie. Son envie de chier lui tiraillait le bide, si bien qu'il se mettait � ramper-courir sous les yeux amus�s des badauds. Aux abords d'un coin de rue, � la lumi�re du jour masqu� de deux immeubles immenses, Hermann allait cahin-cahat dans le dos d'une innocente et fr�le �coli�re. Le petit corps se soul�ve haut, pointant le ciel du bout de sa t�te. Et l'on pu entendre :
- INSPIRATION. INSPIRATION. INSPIRES-MOI BORDEL !!!
Ce bon Hermann s'attendait, au fond du d�sormais pantin d�sarticul�, � voir surgir l' Id�e, Le coup de g�nie, l'�clatante v�rit�, la particule de vie naissant du vide, l'aisance de l'essence qui emplit et qui s'�tale. Et bourrait, sans cesse et sans cesse, fermement, cherchant Inspiration, priant-criant son d�sespoir � la face du globe...Rien ne vient germer dans son esprit tourment�, MAIS COMMENT SE CONCENTRER, �gar� dans les cris des gyrophares qui se font plus stridents de secondes en secondes.
- INSPIRATION. INSPIRATION. SALOPE TU PEUX PLUS SUCER ?? SALOPE MAIS QUELLE PETITE SALOPE !!!
Plaqu� au sol par des mains larges, lourdes et puissantes, Hermann se contorsionne tout en laissant exploser sa jouissance sur les chaussures noires des jeunes policiers. Visiblement �mus par ce geste amical, les deux agents le f�licit�rent comme il se devait, de coups secs sur ses muscles dorsaux, sur sa colonne, en passant par les crachats, sous un flot d'insultes, qui le firent se tordre d'amour contre la surface poreuse du bitume.
- INSPIRATION INSPIRATION. INSPIRATION BORDEL !!
Foudroyante clart�, de bienveillance et clairvoyance compos�es, de qui prend vie l'absolu dans l'infini, Inspiration apparue � Hermann Ziegenb�k, le sourire aux l�vres, ses l�vres redevenues pulpeuses et incitantes, son corps de p�ch�s retrouv�. D'une voix claire et sensuelle, Inspiration pronon�a ces mots :
- Il �tait temps, P�re, que vous d�bridiez votre penchant pour la vo�te infantile, clef de Cr�ation, et engeance de fertilit�. D�sormais des images, celles que tu expiais et qui faisait fluctuer ta passion. Car P�dophilia est mon nom.
Hermann ressemblait ainsi corrigé � une aquarelle de Dali en plein trip L.S.D. P�dophilia accomplie s'en vint, retrouver de la main d'un innocent, le r�ceptacle r�ceptif � ses suggestions turgescentes.
Hermann Ziegenb�k se penchait, affable, sur les diff�rents documents qui avaient pris le pas sur le bois contreplaqu� de son bureau rectangulaire, l� dans la grande pi�ce vide aux couleurs fades, son cerveau bouillonnait au rythme des cliquetis de la pendule au dessus de sa t�te.
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Ca fait très scientifique les �, d'ailleurs l'ensemble du texte fait très scientifique ... très chiant, très équation
Putain.
Putain de bordel.
La police Wingdings nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage.
Protoz, poste le machin en commentaire après correction au lieu de tourner en rond...
Hermann Ziegenbôk se penchait, affable, sur les différents documents qui avaient pris le pas sur le bois contreplaqué de son bureau rectangulaire, là dans la grande pièce vide aux couleurs fades, son cerveau bouillonnait au rythme des cliquetis de la pendule au dessus de sa tête.
Le blanc écru qui oppresse, rend malade, stimule des visions cauchemardesques ; des murs semblants se rapprocher d'eux même, aspirants le décors atomes par atomes. Un mégot dont le brasier s'étouffe à chaque bouffée, du bout de ses doigts nerveux, tremble en laissant s'échapper un doux filet de fumée diaphane. Il pointe la mine de son stylo sur la feuille vierge, format A4, qui lui fait front, arrogante, moqueuse, envoutante, immaculée de vide, désireuse d'en finir avec son néant, désireuse de prendre vie, d'être parcourue d'un regard attentif, chaleureux et sincère. Il n'en ressort, la moitié du temps, que déceptions et découragements, au bout d'intenses réflexions stupides sur le vide et la manière dont l'emplir avec science et harmonie, de générer des images et des sensations. Des griffonnages incontrôlés, poussés par l'exaspération et la lassitude, ressemblent à un amas informe de pensées sombres. Hermann exsangue et tourne en rond, tapotant sur le bout de sa clope agonisante. La cendre qui tombe délicatement sur le sol ressemble aux idées qui traversent son esprit.
- Inspiration .
- Hermann ?
- Je suis à bout, stérile de toute illumination, j'ai vraiment besoin de ton aide ce soir. Donne moi des images, donne moi la vue que je puisse donner la vie.
- Qu'à tu fais de moi, la dernière fois où, de clairvoyance protectrice, j'ai supposé, aidé et stimulée l'étincelle d'inhumanité, de celle d'un père indigne, qui habite ton âme, et celles qui t'ont toujours...
- La dernière fois, tu étais à ton habitude, froide, évasive, ne laissant mon esprit qu'aux martyrs d'une époque révolue. Tu aurais plus d'utilité, subtile déesse, si tu pouvais me faciliter les choses, et non me laisser entrevoir juste des images, et n'oublies pas ce qui fait de moi ton Père...
- Que je n'approuve plus, ce statut de Créateur, ces désirs qui dépassent ma volonté même, et si mon souffle fédérateur ne saurais que trop se retenir. Je ne suis qu'un pan assumé de ta personne qui te suggère, mais n'opère à ta place qu'en tant que conseillère. Prends moi comme telle et sois-en heureux, ou avilies toi comme la modeste merde, celle que tu sais, celle que tu es en train de devenir. Maintenant, passes moi une clope s'il te plaît.
Ses petits mouvements de lèvres réguliers, recrachant l'incandescence avec délectation, son aura, les vibrations de sa peau, elle nargue le regard. La fumée grise glisse sur sa longue chevelure brune. Un air de dédains se dégage de ses yeux clair, voilés de blancs, scrutateurs et interrogatifs. Elle ondule voluptueusement en laissant une trainée brouillardesque à chaque oscillation de son corps gracieusement gazeux.
Un enchevêtrement de mots, un puzzle condensé dans lequel transparait la haine et la passion. Hermann vivait un dans cauchemar permanent, régis par des critères définis, afin d'attirer l'attention de l'oeil. Style, efficacité, fluidité, des tas de critères à la con. C'est dans un mélange de vide relationnel et de rancoeur exacerbée qu'il puisait ses mots. Depuis peu, Le vide de son existence se comblait petit à petit, alors qu'il s'était fait une raison sur la déchéance de son sens social. Ce bonheur naissant commençait à lui faire perdre les sens acquis, à aspirer envie et inspiration ; d' eux ne saurais rester que virginité.
- Inspiration.
- Je suis là, et ne me laisse pas mourir.
- Que dois-je faire pour te donner la force de m'aider ?
- Que tu trouves mon nom. Ici je ne peux rien, je suis exténuée, ma substance s'effondre. C'est ton être qui causera ma perte, indéniablement.
- Ton nom. En as tu seulement un, et comment le trouver ?
- ...Tu es le Père, et moi vie et création, c'est de ton essence que vient ma mort, tout autant que tu m'as crée je puis détruire ta créativité. Souviens toi de ma conception, puis rappelles toi comment, et pourquoi, tu m'as donné une apparence.
Elle flottait impassible, les yeux cernés de gris et le visage amaigrit. Sa grâce divine qui me plaisait tant s'évaporait dans chacun de ses mouvements, pour laisser place à une lourdeur sourde. Et celle qu'il adorait était en devenir, par étapes successives, une informe matière gazeuse, aux traits tirés, aux embruns malodorants, inexpressive et repoussante. Hermann désemparé, la tête en quête d'éléments et de solutions tangibles, s'affale et se prosterne. Son nom qui ne pouvait être né que d' inconscience, de rêveries et de sens abstrait, au gré de sa volonté. Hermann avait oublié, tout comme son passé de palabres insensées, de violences rageuses venus du lointain.
L' astre solaire qui frappe en plein visage et laisse une trace rosacée, les pas vifs et effacés des passants, les odeurs, les arômes, Hermann Ziegenbôk évasif, se profile à l'angle d'une rue, d'un pas imprécis. La mort de son inspiration le rendait curieux, observant chaque gestes et scènes de la vie. Son envie de chier lui tiraillait le bide, si bien qu'il se mettait à ramper-courir sous les yeux amusés des badauds. Aux abords d'un coin de rue, à la lumière du jour masqué de deux immeubles immenses, Hermann allait cahin-cahat dans le dos d'une innocente et frêle écolière. Le petit corps se soulève haut, pointant le ciel du bout de sa tête. Et l'on pu entendre :
- INSPIRATION. INSPIRATION. INSPIRES-MOI BORDEL !!!
Ce bon Hermann s'attendait, au fond du désormais pantin désarticulé, à voir surgir l' Idée, Le coup de génie, l'éclatante vérité, la particule de vie naissant du vide, l'aisance de l'essence qui emplit et qui s'étale. Et bourrait, sans cesse et sans cesse, fermement, cherchant Inspiration, priant-criant son désespoir à la face du globe...Rien ne vient germer dans son esprit tourmenté, MAIS COMMENT SE CONCENTRER, égaré dans les cris des gyrophares qui se font plus stridents de secondes en secondes.
- INSPIRATION. INSPIRATION. SALOPE TU PEUX PLUS SUCER ?? SALOPE MAIS QUELLE PETITE SALOPE !!!
Plaqué au sol par des mains larges, lourdes et puissantes, Hermann se contorsionne tout en laissant exploser sa jouissance sur les chaussures noires des jeunes policiers. Visiblement émus par ce geste amical, les deux agents le félicitèrent comme il se devait, de coups secs sur ses muscles dorsaux, sur sa colonne, en passant par les crachats, sous un flot d'insultes, qui le firent se tordre d'amour contre la surface poreuse du bitume.
- INSPIRATION INSPIRATION. INSPIRATION BORDEL !!
Foudroyante clarté, de bienveillance et clairvoyance composées, de qui prend vie l'absolu dans l'infini, Inspiration apparue à Hermann Ziegenbôk, le sourire aux lèvres, ses lèvres redevenues pulpeuses et incitantes, son corps de pêchés retrouvé. D'une voix claire et sensuelle, Inspiration prononça ces mots :
- Il était temps, Père, que vous débridiez votre penchant pour la voûte infantile, clef de Création, et engeance de fertilité. Désormais des images, celles que tu expiais et qui faisait fluctuer ta passion. Car Pédophilia est mon nom.
Hermann ressemblait ainsi corrigé à une aquarelle de Dali en plein trip L.S.D. Pédophilia accomplie s'en vint, retrouver de la main d'un innocent, le réceptacle réceptif à ses suggestions turgescentes.
Bienbienbien.
C'est un feu d'artifice de phrases foireuses, sans queue ni tête, et qui n'évoquent rien ; un déluge de tournures bancales ("Hermann exsangue et tourne en rond", "Ce bonheur naissant commençait à lui faire perdre les sens acquis, à aspirer envie et inspiration ; d' eux ne saurais rester que virginité.").
J'ai jamais vu autant de fausses bonnes idées de formulation dans un texte si court. Du coup, j'ai accroché sur chaque phrase, et tiqué sur chaque faute d'orthographe. Impossible de se laisser emporter, de se représenter quoi que ce soit avec ce style haché et totalement incohérent. Si c'est de la poésie en prose, c'est raté - mais c'est à ça que ça ressemble le plus.
Sur le fond, on navigue entre le cliché (la muse sous forme d'une pétasse éthérée) et quelques bribes d'originalité (la chute). L'arrestation (le seul paragraphe bien gaulé et qui sorte un peu du lot) et la fin valent le coup.
Bref, le style est plutôt prétentieux par rapport au fond ; certainement parce que l'auteur ne maîtrise pas encore un style assez fluide et limpide ("critères à la con", hein). Sinon, à part qu'il pourrait être moitié moins long, c'est un machin acceptable, vite lu et vite oublié.
Moi j'aime bien ce style emprunté, même si y'a plein de fautes et d'incohérences tout partout.
C'est juste que la fin manque de crunch, quoi. La petite fille a à peine le temps d'apparaître au détour d'une ruelle que déjà elle se fait violer et paf les flics, ouais, bon, c'est un peu frustrant.
Mais y'a de bons morceaux.
Un détail qui m'a sauté aux yeux :
"Visiblement émus par ce geste amical, les deux agents le félicitèrent comme il se devait, de coups secs etc" : ça pue du cul ce genre de tournure, enfin j'aime pas du tout, je vois pas ce que le champ lexical contradictoire vient foutre là, ça me débecte. Ca fait "tuning" comme dit Guraukusu sama.
commentaire édité par Aesahaettr le 2009-6-20 18:44:5
Ces deux commentaires sont à peu près proches du ressenti que j'ai de mon propre texte, bien que j'en sois très content et que j'ai aimé l'écrire. La fin à été rédigée dans la nervosité, sans prendre en compte le style à contre-sens du début, simplement parce que je n'y voyais pas de chute plausible ni de continuité sans que le tout devienne chiant, ce qui est peut être le cas.
Le début, je l'ai écrit en regroupant des phrases notées aléatoirement mais qui me plaisaient, c'est du presque-péteux, ça se veut mais ça n'est pas, d'où ma phrase sur les critères, en fait.
C'est clair que j'aurais dû bosser plus sur la fin et sans doute sur l'intro, mais c'est un peu voulu d'avoir abrégé ce texte de cette manière, de faire partir le truc en couille et de couper avec le style emprunté (complètement) du début, histoire de tenter de dérouter un brin. Voilà pour les précisions.
commentaire édité par Protozwere le 2009-6-21 3:24:57