Elle baragouinait sans cesse cette salope son discours insipide tandis que je me malaxais les couilles subrepticement. -(J'aime bien écrire "subrepticement" : ça ne veut rien dire et je ne connais pas le sens de ce mot barbare.)-
Bref je me triturais les bourses en toisant sa poitrine, son énoooorme poitrine. De temps à autre, j'opinai du chef tout en prenant un air inspiré. Ma gaule devenait difficile à cacher, voire à maîtriser. Lorsque Jeannette orienta son monologue sur les flux internes psychiques inhérents à la plénitude des organes, je n'y tins plus ! je me levai d'un bond et arrachai son corsage tout en déboutonnant mon futal. Son visage s'offusqua et se voila d'une moue rébarbative. Qu'importe son courroux de pucelle, je la retournai et glissai la jupe sur ses mollets. Mon membre était dur, les veines gonflées et le gland d'un pourpre écarlate.
Je m'enfonçai avec rage en oubliant l'adage ou plutôt cette putain de citation qui dit que "l'orgueil précède la chute". J'aurais dû me douter bordel !!! Faut toujours charger à vide ! C'était perdu d'avance.
Un filet poisseux gicla misérablement sur le bas de son pull. Je ne vis pas arriver son poing dans ma gueule de paumé. Honteux, avili, bafoué et vaincu, je pris la tangente, ma virilité se résumant à une queue pendouillante et penaude. Putain de chakra !
LA ZONE -
Harmonie, spleen, zénitude, abnégation... elle me faisait chier cette grognasse ! Pendant qu'elle me débitait ses sornettes à n'en plus finir sur le Don de Soi... et même pire : le dédoublement du corps par la pensée ; je commençais à sentir poindre une monumentale érection. Tout ce qui m'envoûtait à ce moment précis c'était son décolleté plongeant ! La fine raie sombre entre ses nibards engoncés dans une dentelle à bon marché, façon soutif chopé à Tati.
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L'illustration est pas mal, un peu trop agressive peut-être. Sinon pour le texte j'ai ricané du côté gauche, à la fin.
c'est drôle, c'est court, sa casse pas trois pattes à un canard, c'est parfait au réveil...
Vois pas l'intérêt de ce texte, ni son originalité.
Ni son unité, au demeurant ; ça a le cul entre deux chaises, celle du bigardisme le plus miteux, à grand renfort de triples ponctuations et de crudités de langage (que je critique pas, j'ai pas l'habitude de critiquer ça), et celle du petit doigt levé et du "huhu" de bon aloi. Et ça, pour ma part, non seulement ça me fait profondément pitié, mais ça me donne envie de torcher le cul de l'auteur avec sa propre langue. "Qu'importe son courroux de pucelle, je la retournai et glissai la jupe sur ses mollets. Mon membre était dur, les veines gonflées et le gland d'un pourpre écarlate", par exemple : ça va être dur de faire plus cliché et plus misérable de pucellerie verbale.
Nul à chier.
Y a une veine de texte ineptes en ce moment, ça commence à brouter.
Et comme j'ai un esprit d'escalier je me vois contraint de compléter à posteriori par la seule chose que j'aurais dû écrire : visiblement c'est écrit la bite à la main, mais pas la bonne.
Pas la bonne bite ou pas la bonne main ?
Aucun intérêt, ce texte, c'est du rebattu.
Au fait, le gland, il est pourpre ou écarlate ?
"c'est drôle, c'est court, sa casse pas trois pattes à un canard, c'est parfait au réveil..."
putain yen a marre des gens qui parlent de leur bite dans les commentaires
Donc un truc qui n'est ni original ni incroyablement subtil n'a pas de raison d'être. Intéressant.
Un peu comme l'occase, j'ai trouvé ça marrant.
Cela dit c'est très mal foutu, tout ça. Il aurait été préférable d'attribuer des phrases, ou au moins l'extrait d'une phrase de grognasse supposément profonde à la grognasse en question plutôt que d'associer ad nauseam des mots clés aléatoires censés résumer la pensée de la pouffe de base. Parce que là, quand on voit "spleen" et "zénitude" à la suite, et bien on se dit putain, mais.
Spleen et zénitude.
Putain, mais.
La conclusion avec la petite pirouette caca du narrateur à la fin, c'est nul à chier. Ca finit mal le truc. Il la viole vite-fait il se prend un pain et il s'en va clopin-clopant. Non, ça le fait pas.
L'absence totale de cadre spatio-temporel n'aide pas à mettre de la couleur sur cet amas de merde.
@Aesahaettr : ben, ça dépend si c'est bien écrit ou pas. Si je lis un truc que j'ai l'impression d'avoir déjà lu dix fois et dix fois mieux écrit, bah, je passe mon chemin.
Je ne dis pas que ça n'a pas de raison d'être, mais que je n'ai aucune raison de l'encenser.
Moi je dis, sans craindre la vindicte hautement noble et détachée du sieur 400asa, qu'un texte objectivement mal foutu comme il le développe lui-même, n'a rien à foutre dans le champ littéraire. Je vois pas pourquoi je prendrais des gants. Et si un texte ne vise pas l'art, ce qui est possible, alors au moins qu'il me fasse plaisir. S'il y échoue, et il échoue, alors qu'il crève. Donc qu'il crève, cqfd.
L'a compris, le monsieur ?
Maintenant il se tait.
pour une fois que quelqu'un emploie l'expression avoir l'esprit d'escalier à bon escient, je me vois dans l'obligation d'aimer ce texte que je n'ai pas lu, au moins pour cette raison.
Sans intérêt. Ça n'apporte aucune émotion au lecteur (ni aucun enseignement), ça tape nulle part à part dans l'eau.
Heureusement que c'est rapide à lire.
Lambert, il n'est pas question d'encenser un texte.
C'est juste que je trouve peu pertinent de juste dire "c'est du rebaché baclé, je m'appelle lembaumeur et je suce des pompes à chaleur" alors qu'il y a tant de raisons bien plus évidentes pour ce que ce texte soit considéré comme médiocre de façon plus ou moins objective dans un cadre littéraire.
Et puis t'es pas assez agressif, c'est quoi ces "ça dépend"; "bah euh" et ces "je ne dis pas que... mais" ? C'est n'importe quoi.
Si je m'en réfère au registre, on t'a pas encore enfoncé la traditionelle poire à lavement remplie de sulfate de fer dans le cul. Une grave erreur administrative, ça. L'alopécique vélocipédé de service préfère se justifier plutôt que de faire son travail, pas étonnant.
Ce qui est chouette sur la Zone, c'est que même si je viens une fois tous les six mois, je tombe toujours sur le même débat !
Et pour une fois qu'on ne parle pas de moi, M. Yo.
@Aesahaettr : arrête, tu m'excites.
Asa, j'aimerais bien que tu fermes ta gueule, ce serait super reposant, quand t'as dit une connerie. Sous-merde.
Aussi intéressant que l'accouplement des tortues de mer en eau douce durant la saison des amours des homards unijambiste.
Et je baise mes mots.
commentaire édité par Pygwenali le 2008-10-2 23:20:44
Moi j'aimerais assez que tu foutes ton premier degré inexplicable quelque part entre pas ici et dans ton cul. Pute. Ou alors avec une légère rondelle de citron.
Quand on dit un truc stupide, on n'est ni au premier ni au second degré, ni au troisième virgule soixante treize. On dit juste un truc stupide. Quand on le dit sous la forme de la phrase misérablement dédaigneuse "Donc un truc qui n'est ni original ni incroyablement subtil n'a pas de raison d'être. Intéressant." (ainsi que ta réplique suivante), on s'expose à se reprendre dans la gueule la tentative de hauteur critique qu'on s'est cru autorisé. De deux choses l'une ; soit tu fais du second degré, soit t'en fais pas. Là t'en faisais pas, alors tu te ramasses une mandale, parce que tu dis des idioties, en t'y croyant.
Retourne dans ta niche. Le second degré n'est pas une obligation. J'en aurai jamais face à des phrases prétentieuses et de bas étage.
Ouais ouais, je suis tout à f
Putain.
Toutaf, ça fait un très bon nom de chien.
Désormais tu t'appelles Toutaf.
Tiens, ce texte est nul.
Waif.
En plus, Toutaf est le seul chien prostipute. Parce que Toutaf se paye. [désolé]
Prostipute et impotent, puisque Toutaf fait.
on dit prostoutou pour les chiennes
et prostata pour les sexes intermédiaires
"Ça n'apporte aucune émotion au lecteur (ni aucun enseignement),"
un renseignement primordial pourtant : Zaroff est un très mauvais coup
Ah bon? il me faut des détails, comme ça peut être que j'aurais envie de lire le texte. Les textes d'un syphilitique impuissant et complexé sont toujours plus agréables.
Edit : Et ben, je regrette pas de l'avoir lu celui là, mais alors vraiment pas. J'avais justement 2 minutes a meubler et pas le courage de lire un truc bien.
commentaire édité par Carc le 2008-10-4 18:30:1
On reconnaît quand même un texte puissant, riche, et de qualité, à cette manière dont ses commentateurs finissent par dériver rapidement sur des sujets qui n'ont plus rien à voir avec celui d'origine, dont j'ignore tout vu que je m'en tamponne.
Parfaitement nul tout ça. C'est quoi cette histoire de spleen calée entre des pans de zénitude ? C'est quoi ce mec qui éjacule comme un puceau sans le moindre contact (c'est grave !). Pour qu'elle raison est-ce que je n'ai pas un sexe rougeâtre ? C'est dégueulasse. L'auteur, je suis sûr qu'il avait une moche érection au moment d'écrire cette bribe de vie sexuelle pathétique.
Ah non, je l'imagine écrivant en même temps qu'il étrangle sa verge velue.
C'est répugnant !
Ca me procure des sensations d'harmonie, de spleen,de zénitude, d' abnégation... Tout ça subreptissement bien entendu.