Si Londres devait être définie, je définirais cette ville comme une décharge géante, une sorte de grosse décharge ou carcasse côtoierais businessman, ou businessman côtoient sans broncher le reste de la population nauséeuse et tous dans l'éclat de la ville et de la nuit se rassemblent dans un melting-pot sociale alcoolique et chimique ou la réalité n'a de cesse de se mélanger à la C. Cela plait à beaucoup, moi je m'en suis lassé. Il faut dire, Londres, bouffe de merde, temps de merde, accents de merde, langue de merde.. au final on fait overdose. Un moment, c'était sympathique, c'était autre chose une sorte de monde sous le monde un underground sociale indescriptible et inutile ou chacun ne prévoyais sa vie que par tranche de weekend. Londres c'est vaste c'est exubérants, c'est facile d'accès et il parait que ça fait rêver certains. Au final, que l'ombre de ceux qui veulent échapper à la vie, à la routine baltringue qui nous traine tout les jours dans les métros, boites de sardine à grande vitesse, et en boite les sardines dansent tendis que les affamés regardent.
Mais peu importe, j'avais un pote à Londres, c'était un type sympa pleins de rêves, pleins d'ambitions mais totalement dénué d'un quelconque talent, ce qui est dommage. Un Ed Wood moderne, convaincus qu'il était taillé pour l'art avec un grand A, l'Art, LE ART, zi art. Ce genre de mec pas foutus de mettre un crayons sur un papier sans que cela ressemble de près ou de loin à ce que je faisais quand j'étais au primaire, moi ou n'importe quel premier gland venu. Peu importe il y croyais et ce battais plus ou moins, plus ou moins souvent, plus ou moins vigoureusement pour imposer son rêve dans sa réalité. Mais il était à Londres la ville ou tous les rêves ce mélangent entre eux. Malheureusement la plus part des rêves ne dépassent pas l'aéroport, celui de mon amis n'a pas dépassé le trotoire d'en face.
Et pourtant il en parlait, il en rêvait, il s'y réfugiais, il voulait le toucher, un jour, peut être.. si tous ce passe bien. Dans ces yeux brillait son rêve, à chaque mots prononcé c'était comme le toucher, le palper, l'atteindre, et enfin pouvoir l'accomplir. Chaque phrases l'en rapprochais, chaque conversation lui donnais sa dose minimale nécessaire à la réalisation de son fantasme.
Mais le temps passe, les lignes de cocaïne s'accumulent bientôt les goutte puis les divers produits chimique qui faisaient maintenant partis intégrale de son alimentation,au final son rêve se noie avec lui dans sa vie partielle. Il le sais, il le sent mais il ne peu s'empêcher de rêver, malgré l'accumulation des dettes et des emmerdes, malgré le fait qu'il n'est conscient que le temps de se replonger. Il continue à rêver, à faire quelques croquis, de-ci, de-là. Et quand son envie de rêve deviens trop insatiable, il la noie comme il noie sa réalité, dans l'alcool et les joins, dans la cocaïne et les piqures, dans l'évasion.
Alors il s'aperçois qu'il ne peu plus s'évader.
La vie, il s'en évadait déjà dans ses rêves, mais maintenant il avait besoin de s'évader de ses rêves car il les savaient au fond de son être, irréalisable, plus que jamais. Il s'évadait tellement qu'il a fini par s'évader de sa vie, de ses rêves et du monde qui l'entourait, un jour comme ça, il est partis, a laissé tous le reste à Londres.
Ce qu'il en est aujourd'hui, c'est un rêveur vidé, ses rêves l'ont quitté, sa vie, qui n'était qu'une échelle éphémère pour atteindre ceux-ci était devenu inutile, alors, comme il n'avait pas le courage de la finir stupidement au bout d'une corde, il s'évadait.
Il s'évadait, juste assez loin, dans un monde dans lequel ses rêves comme sa vie ne l'atteignait plus, il s'éloignait assez loin, juste assez pour que plus rien ne puisse le déranger, que tout glisse enfin comme la pluie sur sa peau. Parfois, il émerge, demande quelques pièces et s'évade à nouveau.
Moi je me suis évadé de Londres,
avant de le rejoindre.
Des fois je lui rends visite, dans ce monde qui ne souffre d'aucune contraintes, et ou les rêves chimériques et la réalité semblent ce mélanger, s'entremêler, sans jamais devenir distinct.
Mais le floue de l'évasion est plus agréable que la netteté de l'échec.
LA ZONE -
Intus.
Dans peu de temps tout absolument tout partira en couille à commencer par mon orthographe et mes actants à la sémantique limité, alors quand tout serra effectivement partit en couille, dans mes écris inutile, on pourra ce languir de putasser ceux-ci pour le plaisir de la chose. En attendant on peu toujours essayer de faire mieux que le voisin ou de faire moins bien, tous cela pour dire, et cela n'a rien à voir, je l'admets sans constétation ni protestations d'aucunes sorte, que ceci est l'histoire plus ou moins fausse d'un type que j'ai connus et de sa miséreuse que j'ai un peu moins connus mais disons que dans le contexte socio politique actuel, les milieux autorisé s'en contenterons sans rechigner. Ne soyez pas indulgent, je ne le vaux pas.
Dans peu de temps tout absolument tout partira en couille à commencer par mon orthographe et mes actants à la sémantique limité, alors quand tout serra effectivement partit en couille, dans mes écris inutile, on pourra ce languir de putasser ceux-ci pour le plaisir de la chose. En attendant on peu toujours essayer de faire mieux que le voisin ou de faire moins bien, tous cela pour dire, et cela n'a rien à voir, je l'admets sans constétation ni protestations d'aucunes sorte, que ceci est l'histoire plus ou moins fausse d'un type que j'ai connus et de sa miséreuse que j'ai un peu moins connus mais disons que dans le contexte socio politique actuel, les milieux autorisé s'en contenterons sans rechigner. Ne soyez pas indulgent, je ne le vaux pas.
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L'auteur a également signé l'illustration, pour info.
C'est prétentieux et sans maîtrise d'aucune sorte ; sans compter la niaiserie dégoulinante. J'ai même pas envie de commenter. Faut d'abord que j'aille chier.
Aie, je ne remetrais plus ta parole en doute Glaüx. (il comprendra)
Il t'emmerde et comme je n'aime ni les private jokes, ni censurer à outrance pour éviter d'être emmerdé, ni laisser planer des doutes sur du néant, ni m'emmerder, je vais c/c la cause de ce "il comprendra" qui oncques n'aurait dû isseoir de ton cul, salope, céans.
Cependant, comme je n'aime pas non plus me faire chier, je mets rien en forme.
Le Duc dit : (18:13:50)C'est pas pour te faire chié ou quoi, mais il à l'air pas mal le nouveau, je veux dire il à du vocabulaire et de la rétorquade.. Je sais pas t'en pense quoi ?glaüx dit : (18:14:23)j'en pense qu'il est lourd et que j'ai pas envie d'être un bisounoursglaüx dit : (18:14:28)et il fait une parfaite victimeLe Duc dit : (18:16:20)Bah il vient d'arriver sur la zone, c'est compréhensible de pas adopté tout de suite les use et coutume, en plus c'est pas comme si il faisait des smileys à gogo et qu'il faisait des fautes à tous les mots. Non je trouve qu'il a une bonne mentalitée au contraire tu devrais lui laisser une chance.. enfin selon moiglaüx dit : (18:16:55)j'en ai rien à branler de ton amour immodéré pour son fion, et tes conseils de comportement, je pense que tu sais ce que tu peux en faire, céansLe Duc dit : (18:19:24)Oui je sais gloups, mais bon arrete de voir rouge deux secondes, moi je trouve que ca petite rétorquade était joliment écrite, faudrait qu'il fasse un texte pour voir.. Mais bon tout ce que je veux dire c'est que je trouve que beaucoup se son fait admetre ici avec bien moins de talent (moi le premier)
Bon après je vais arreter parce que je sens que t'es en mode pas content et que je t'enerveglaüx dit : (18:20:01)surtout parce que tu viens de répéter ton avis personnel, dont, je le répète, j'ai strictement rien à branlerglaüx dit : (18:20:12)et il a fait un texteglaüx dit : (18:20:15)très mauvaisLe Duc dit : (18:20:22)AhLe Duc dit : (18:20:43)Pas plus que les miens quand mm ?glaüx dit : (18:20:59)non, juste mauvais, pas mauvais et fendard à la foisLe Duc dit : (18:21:35)Bon .. Dommage, j'avais pensé trouver un talent.
La Zone vous souhaite plein de beaux petits nenfants dans vos culs sales.
Ah ben c'est de la merde.
Ecriture de merde, style de merde, orthographe de merde, sujet de merde, narrateur de merde, auteur de merde.
C'est totalement inexistant d'un quelconque point de vue artistique, c'est de la merde.
c'est un écorché, celui qui a écrit ce texte. Un type qui souffre, et qui nous le fait sentir.
euh, en tout cas il est tiraillé par une question existentielle... "mais qu'est-ce que je dois faire avec cette putain de lettre S, bordel ???"
"Chaque phrases l'en rapprochais"
sinon oui bah c'est nul. Bonsoir.
Je me suis arrêté à : "Ne soyez pas indulgent, je ne le vaux pas."
Ce type est le Duc qui essaie de s'acheter une autre réputation sur la zone.
L'absence de style, voilà ce qui vous tuera tous.
J'ai pas lu le texte, mais je suis outrée par la conversation entre le duc et Glaux.
Comment il essaye de vendre son pote, le duc !!!
il a pris ma défense aussi quand je suis arrivée ou c'est vraiment qu'un connard ?
Toi je t'es toujours trouvé conne, nuance.
Et ça s'arrange pas avec le temps..
Et j'ai reconnu mon erreur concernant l'auteur, soit dit en passant.
j'allais oublier : "pute"
Et pour ma défense, ce n'étais ni une private joke, ni une quelconque censure. Juste une fleme d'expliquer not' conversation.
Ah parce que c'était une conversation ?
Ah oui.
Le problème effectivement, c'est que c'est un texte pourri pas assumé à la Duc, et du coup, on se fait chier dès le premier paragraphe.
Il n'y a rien de développé dans ce texte, y'a un ton vaguement désabusé, servi par des expressions hasardeuses et des images de canard transgénique pas fini.
Mention spéciale à l'illustration dont les proportions sont tout aussi hasardeuses, et qui "ressemble de près ou de loin à ce que je faisais quand j'étais au primaire, moi ou n'importe quel premier gland venu". Fort à propos.
Le dessin c'est voulut.
Mais faut pas chercher.
C'est pas fait exprès.
Mention spéciale pour les deux QI de pine d'huitre en train de se faire des féllations d'usage via commentaires intérposé.
vous me faites bander.
blurp
commentaire édité par Pygwenali le 2008-8-28 7:9:44
c'est journalistique. y'a quelque chose à sauver dans tout ça. je ne suis pas aussi catégorique que vous, ou alors de meilleure humeur.
T'es un peu trop souvent de bonne humeur, toi, ça commence à devenir suspect.
je vais devenir papa d'un jour à l'autre. soit je suis de bonne humeur soit je fais la sieste sous un train.
vade retro inseminateur
je tenais juste à dire que l'auteur écrit aussi bien qu'il dessine. Je sais qu'ça peut tout dire et son contraire mais si mon avis vous interesse, moi pas.
On dirait une chanson du Klub des losers. Les fautes en plus.
Profite Konss, bientôt tu regretteras ta bonne humeur.
Pourquoi les textes merdiques ont autant de commentaires alors que les bons plafonnent à 5 ou 6 messages ?
parce que la zone est un repaire de floodeurs polis, qui vont donc parsemer les textes minables, au lieu d'aller s'étaler sur de bons récits.
Parce que c'est plus simple de critiquer que de valoriser, tout simplement.
Parce que sous les bons textes, y a ceux qui ferment leur gueule par humilité, et ceux qui posent une critique positive, mais sobre, parce que simplement, ils aiment la littérature.
Parce qu'un texte de merde c'est là pour faire rire, parce que "le caca c'est rigolo".
(tout le monde n'est pas un frustré, kolkhoze)
Et puis parce que piscine en capsule, parce que TA CHATTE TA CHATTE TA CHATTE, parce que ta mère en slip de cellophane au Parc des Princes, et parce que JE SUIS UN CASTOR.
"parce que JE SUIS UN CASTOR."
ok, maintenant je comprends mieux
et c'est ce qui fait la beauté de la zone. cette attirance trouble qu'éprouvent les castors envers le caca. on ne voit pas ça ailleurs.
Et hector le castor qui vit dans mon cul?
Il ferme sa gueule. Au revoir.
c'est pas que vos discussions m'ennuient, mais on peut avoir un nouveau texte ?
C'est la faute des admins qui sont des bras cassés. Faut s'en prendre à eux.