Il me fixe, ses lourdes valises bleutées sous les yeux sonnent une sorte d'aveu.
Tu te vantais de tes succès sur le sexe opposé,
tes succès ?
Un souvenir, un lointain passé qui s'est incliné devant la gravité, la déliquescence du corps. Ne t'as t-on pas vu jadis exhibant le torse ?
Tes muscle huilés brillant au soleil sont devenu pendeloque grasse et informe. Et ta fierté ? Quand tu toisais de haut les « bouboules » comme tu disais, hein ?!
Du souvenir ça aussi ?
Et si la maintenant tu croisais un putain de séducteur comme toi à l'époque tu ferais comme les "bouboules" : tu baisserais les yeux tu regarderais le nombril qui coiffe l'amas graisseux qui en tout lieux te précède de vingt bon centimètre.
Son regard descend à regret vers sa poitrine.
Mais encore si seulement tu valais quelque chose au pieux, non rien mon vieux !
Que dalle ! Les maitresses que tu t'enfiles te vident le portefeuille aussi surement que les bourses, tu en es rendue à l'extrémité qu'hier tu raillais, les putes ! Les seules qui supportent de se vautrer sur ton corps boursoufflé ! Et encore n'augmentent-elles pas les prix ?
T'es qu'une veille raclure de beauf qui regarde le foot à la télé dans son jogging maculé de graisse, une canette de bière à la main. Ton vieux T-shirt est souillé de tes veillées à une heure du mat devant canal, tes branlettes en solitaires.
Il se voute un peu plus, il essaye de ne pas regarder le vieux survêtement constellé de tâches qui le moule
Que vaut ta vie ? A quoi ça sert un pauvre con comme toi dont la culture générale se limite aux dernières bagnoles qui sont sortis sur le marché ?
A rien !
L'homme interrompt son monologue, il regarde une dernière fois son reflet dans la glace, lentement il monte le révolver à sa tempe.
Il tire.
LA ZONE -
Mais toi qu'es tu devenu ?
Les années sont passées et franchement la chair à coulée, fondue. Aurait-il fallu un litre de latex entre l'os et la peau pour pallier à l'irréparable ?
Pour pallier à la fin de l'être fière qui se pavanait autrefois le menton en avant ?
Les années sont passées et franchement la chair à coulée, fondue. Aurait-il fallu un litre de latex entre l'os et la peau pour pallier à l'irréparable ?
Pour pallier à la fin de l'être fière qui se pavanait autrefois le menton en avant ?
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Texte sordide dans sa construction. C'est franchement pas jobard.
Nul, ça tape sur ce qui ne colle pas à la bienséance et l'esprit bourgeois. Si c'est pas beau c'est forcément mal, ça me fait royalement chier ce type de texte. Si être une merde c'est ne pas être propre, jeune, beau, fier et cultivé putain la vie est chiante. Là Advienne-que-Pourra tu cognes sur un blaireau certes, mais uniquement parce qu'il ne ressemble pas à l'homme idéal selon Cosmopolitain, ça pue le cliché.
Et ton titre est à bon à gerber comme un sermon de curé de campagne.
Ou comme son foutre.
L'acide sulfurique, plus radical que les bières, le foot et le temps.
c'est surtout la chute qui est naze. formellement, c'est pas inintéressant, même si un peu court. je crois pas que ça soit un texte réactionnaire ; on est plutôt dans l'autoflagellation complaisante. mais justement, pour atteindre la complaisance et en tirer vraiment quelque chose, il aurait fallu en tartiner vingt pages.
et pas tout niquer avec cette chute ridicule.
Bah je le trouve pas si affreux que ca ce texte.. Bon ca mange pas de pain et c'est sur qu'on a dèja vus 'achement mieu dans le genre. C'est comme dis not' camarade ci-dessus trop court. Mais perso je suis pas d'accord avec toi Narak quand tu dis que l'auteur tape sur le cliché caricatural du beauf. Il montre selon moi le fait qu'il soit justement rejeté par la société contemporaine qui le pousse au suicide.. D'ailleurs c'est lui même qui se juge et non pas une tierce personne. Enfin bon c'est mon avis, et en plus je supporte pas les beaufs de ce type. Par contre chapeau le gros crasseux qui s'envois plusieurs maitresses, par contre j'aimerai pas voir leurs gueules.
J'insiste, c'est de la merde. Tu imagine serieusement un mec se faire péter la cervelle parce qu'il trouve qu'il est un beauf fini ?
Au niveau du style c'est du grand n'importe quoi en plus, le personnage central se parle à lui même mais relisez le texte à haute voix et maintenant imaginez un mec en survet' soit disant beauf rempli de bière faire des phrases comme " Les années sont passées et franchement la chair à coulée, fondue. Aurait-il fallu un litre de latex entre l'os et la peau pour pallier à l'irréparable ? " ou " on vieux T-shirt est souillé de tes veillées à une heure du mat devant canal, tes branlettes en solitaires. "
C'est casse-gueule le style oral direct, en choisissant ça fallait laisser tomber
les phrases longues et le vocabulaire trop soigné. Là c'est raté.
mouais c'est pas faux
"Nul, ça tape sur ce qui ne colle pas à la bienséance et l'esprit bourgeois. Si c'est pas beau c'est forcément mal, ça me fait royalement chier ce type de texte. Si être une merde c'est ne pas être propre, jeune, beau, fier et cultivé putain la vie est chiante. Là Advienne-que-Pourra tu cognes sur un blaireau certes, mais uniquement parce qu'il ne ressemble pas à l'homme idéal selon Cosmopolitain, ça pue le cliché.
Et ton titre est à bon à gerber comme un sermon de curé de campagne."
J'ai rien vu de tout ça. Ceci n'est pas un texte, pour sûr. Il n'y a que le final qui laisse penser que ça a été réfléchi.
C'est bourré de fautes, sans intérêt sinon une certaine rage qui semble être tout de même le point de départ du présent écrit. Disons que j'ai l'impression que l'auteur s'est excité tout seul sur je ne sais qui, et qu'ensuite il a rajouté la dernière phrase pour faire publier le tout.
En fait, n'y a rien à dire sur ce texte. Je viens de perdre mon temps.
Je trouve plein de trucs à dire sur ce texte moi, c'est la déchéance vue par un tecktonik killer.
Je tiens à focaliser l'attention générale sur ces deux phrases en particulier :
"Les années sont passées et franchement la chair à coulée, fondue. Aurait-il fallu un litre de latex entre l'os et la peau pour pallier à l'irréparable ? "
Les mots me manquent pour commenter ce texte. Quand j'essaie d'y penser je vois une monstrueuse vague de merde me foncer dessus, alors j'arrête; et dès que j'y repense, la vague s'est rapprochée.
Ahah. Les Dents de la Merde IV.
Avec le sample audio de l'attaque du requin.
Narak, t'es un blaireau. La tecktonik, ok c'est des jeunes pleins de gel, mais c'est avant tout un mouvement musical underground et ça, tout le monde semble l'oublier. Ecoute mondotek et tu saisiras mon propos.
J'ai écouté Mondotek et j'ai toujours pas saisi en quoi les T-shirts roses avec des pigeons et des strass c'est underground. Musicalement je trouve que ça a autant de densité qu'une musique de game-boy. Je dois vraiment être un blaireau.
T'es le seul je pense à ne pas avoir compris pourquoi j'ai choisi ça comme exemple. Je suis pas là pour causer musique, et dire que la tecktonik est bien ou mal. J'affirmais simplement que ce texte montrait une réflexion aussi dense qu'une diarrhée.
" Tes muscle huilés brillant au soleil sont devenu pendeloque grasse et informe. Et ta fierté ? Quand tu toisais de haut les « bouboules » comme tu disais, hein ?!
Du souvenir ça aussi ?
Et si la maintenant tu croisais un putain de séducteur comme toi à l'époque tu ferais comme les "bouboules" : tu baisserais les yeux tu regarderais le nombril qui coiffe l'amas graisseux qui en tout lieux te précède de vingt bon centimètre. "
Si ça t'évoque de l'underground...
En tous cas, la tektojenesaisquoi est moins underground que mon second degré ne l'est pour toi.
Et dire que j'avais hésité à répondre par un "Ta gueule pute."
Narak, quand tu lui dis qu'il fait des textes de tapette, il va se faire enculer pour vérifier si il aime ça ou pas avant de te répondre. Faut pas le chauffer avec le second degré.
et voilà, toujours les mêmes amalgames entre les sodomites et les tapettes. mais dans quel monde vivons-nous ?
Dans ton cul.
logique
D'après ce que tu viens de dire, je crois comprendre qu'il ne faut pas le chauffer tout court. Je ne voudrais pas SBSDMC pour une malheureuse expression touté dissociée d'homophobie.
J'ai pas eu à aller voir si j'aimais ça, j'avais déjà écouté Mondotek. Avant.
Et merde.