Je vais vous tuer. Vous délivrer de cette comédie d'apitoiement. Mais plus tard. Allez y, pissez, je vous en prie. Laisser vous aller à votre si belle nature d'urine et de sang. Pissez vous dessus pauvre loque merdeuse. Samedi soir je vous coupe la bite, une heure après je vous arrache vos si petites couilles, ce truc, sexe. Je vous l’arrache, mais une heure après, le temps que vous ayez récupéré….quelques forces et un peu de lucidité. Vous ne les aimiez pas vos bijoux de famille, vos burnes poilues et molles, n'est ce pas ? Vous en profitiez, ne sachant pas l'apprécier à la juste mesure de sa puissance divine. Vous baisiez…..vite fait et après vous regrettiez de vous être si vite vidé, répandu, humilié, pour complaire dans les injures que vous entreteniez avec votre conscience « Une merde…voilà ce que je suis, une diarrhée ». Samedi ça sera fini. Vous vous trouviez vain, vous voila rien, assurément. Vous n'êtes que du sang, de la chair molle, des os fragiles, vous êtes un amas de tuyaux flasques, visqueux, putrides, de la merde. Voila l'autoportrait que vous vous faisiez de vous, une sombre merde. Je vous en délivre à jamais. Pour m'en remercier, hurlez. Ça appelle la mort. La votre est belle, car si lente. Dominante de rouge, putréfaction bleuie de torture. Six semaines que vous êtes offert à mes rasoirs acérées, six semaines de plaies, six semaines de cris, six semaines de hamburgers. Et ce soir ce rouge, en attendant que vos couilles baignent dans une macération de vin et d’herbes, le sang qui ruisselle de votre sale gueule, votre hypocrite face écorchée dont j'en recueille la peau que je viens de vous retirer à l’aide de cette si fine et si jolie lame de rasoir, ce sang de votre putain de sale gueule je le bois pour nourrir ma haine. Votre vielle peau, votre masque stérile, je vous la prépare en un mets exotique, macération de votre mascarade toute la nuit dans du citron et des épices. Demain vous l'apprécierez à votre petit déjeuner. Bleue, ou saignante ?
LA ZONE -
J'aime le sang, j'aime les coups. J'aime entendre les cris, les plaintes, la douleur qui bave, de pleurs en gémissements jusqu'aux soupirs d’agonie. O oui, suppliez moi " pitié…pitié "….ça me fait bander. Presque éjaculer. Il suffirait de peu…
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Bleue pour moi merci, voir comme sur l'image.
Les violences verbales sont d'un niveau très tapette ("Pissez vous dessus pauvre loque merdeuse", "vos si petites couilles, ce truc, sexe", "Une merde…voilà ce que je suis, une diarrhée"), ça tape complètement à côté. Soit les expressions manquent d'imagination comme si le narrateur insultait des gens pour la première fois de sa vie, soit les mots sont choisis pour faire joli mais putain, qui, QUI traite qui que ce soit de "diarrhée" pour l'insulter. Pourquoi pas péripatéticienne. Chiasse, quoi, qu'on fasse au moins l'effort du "chiasse".
La faiblesse de la langue et de la grammaire, qui peut passer parfois, en rajoute encore une couche dans la misère. Ratage encore souligné.
De positif, je vois le fait que c'est gratuit. Bon.
Ca justifie pas une grosse merde, pas ici du moins.
Brops.
Ouais pareil. J'ai pas pris plaisir à lire le texte. Les insultes sont trop cheap pour qu'elles soient prises au sérieux, ça fait plutôt rire.
Gnouf, et je ne reviens pas là-dessus.
commentaire édité par Nico le 2008-3-31 12:18:0
Désolé mais il faut absolument dénoncer cette horreur... et je suis sûr que vous pensez la même chose que moi.
Je suis même parfois étonné de voir combien de gens font les indifférents sans jamais réagir quand des scènes pareilles se déroulent sous leurs yeux.
Je me demande d'ailleurs comment leur conscience peut rester tranquille et continuer leur vie sans aucune gêne ?
C'est très inhumain comme réaction, émettons simplement le souhait que cette insouciance ne soit qu'exception et que l'éveil de conscience soit aussi rapide que possible.
Bref, revenons à notre sujet, s'il est vrai que l'admissibilité de tels actes ne sera jamais discutée, je me demande comment de tels bêtes osent espérer un jour nous voir admettre l'inadmissible !
D'ailleurs en parlant l'autre fois avec un de mes amis, nous avions évoqué ce sujet, devenu désormais phénomène, il m'a assuré, sans me rassurer de la remise en doute de l'irréfutabilité de ces actes inqualifiables.
Je ne vous cache pas ma stupeur et mon dégout, je n'aurais jamais cru, malgré toutes les horreurs dont fait preuve l'humanité, arriver un jour à voir une décadence pareille prendre une telle ampleur, on aurait tout vu dans cette vie et d'ailleurs je me dis que ce n'est pas la première fois au monde qu'un tabou devienne une nécessité, qu'un bien usurpé se transforme en un droit acquis et qu'un pêché soit désormais vital pour une société qui se respecte.
J'ose espérer qu'un monde meilleur naitra des décombres de cette vie, qu'une lueur d'espoir jaillira de la noirceur de nos âmes lugubres et qu'un feu doux et chaleureux naitra des braises de ce froid cassant.
Vous me diriez que je n'arrête pas d'exagérer et de me répéter mais imaginez un instant que ça vous arrive à vous, je n'ose même pas l'imaginer, je souhaite de tout coeur que ça ne vous gâche jamais votre vie, car quelque soit vos regrets, vos remords, vos cauchemars, ça ne saurait jamais égaler le poids de cette affreuse aventure que je ne souhaiterais même pas à mon pire ennemi.
Ecoute mec si tu continue ce genre de discourts, je t'assure que si un jour tu tombe entre mes mains, le texte ci-dessu est un texte de bisounours par rapport à ce qui vas t'arriver.
Pour le bien de notre petite communauté, FERME TAGUEULE PUTE et lis la passion de bernard de vasago pendant que t'y est
il est nul ce texte. c'est un exercice pour voir, mais je suis pas doué pour les insultes et les grossièretés, t'as raison Glaûx c'est la prem ! et la der ! et, ceci me rassure, je ne suis pas fait pour la torture non plus.
je vais me resservir un vin chaud et rester dans les roses.
C'est bien intentionné, mais c'est faible.
oui c'est ça, bien vu gars. l'intention elle y est. mais pas la force. p'tr un dialogue à la place du monologue...
« Une merde…voilà ce que je suis, une diarrhée »
Bien résumé.