Comment te faire crever?
Te tuer simplement.
Une balle dans ton crâne? ta carotide tranchée? t'asperger d'essence et craquer une allumette? t'éclater contre un mur avec le capot de ma voiture?... Trop évident. Pas assez réjouissant.
Te voir souffrir jusqu'à ce que tu crèves, la gueule ouverte. Que tu en viennes à supplier, à implorer, à pleurer comme une vieille merde, comme la vieille merde que tu es.
Mon désir : jouir à présent de ton calvaire comme tu as éjaculé sur ma douleur, cher papa.
Te tuer simplement.
Faire exploser ta tête? Je dois donc attaquer ta queue, puisque ton esprit réside au niveau de tes couilles.
Te vider de ton sang? Je te sucerai alors jusqu'au sang s'il le faut.
Te cramer la gueule? Jouis, connard, jouis ! J'attaquerai avec les mêmes armes que toi . Sans défense, la bite à l'air, encore rouge et turgescente d'excitation primaire, tu seras comme un con, ton excroissance aspergée d'essence.
Te casser les jambes à coup d'accélération intempestive? Pourquoi pas finalement? Tu serais capable de t'enfuir comme une pucelle effarouchée sinon.
Te tuer simplement.
Te cramer la queue.
Te péter les jambes.
Te tuer simplement mais être sûre que tu souffres tout ce qu'un homme peut souffrir. Que tu comprennes enfin.
Creuser une tombe. Un trou dans la terre. Une caisse en bois. Te mettre dedans.
Attendre que tu te réveilles. Fermer la caisse en bois. Et commencer à faire tomber en lourds paquets la terre sur le toit de bois.
Attendre encore.
Que tu te rendes bien compte de la situation. Que tu en prennes pleinement conscience. Car tu en as bien une n'est-ce pas?
Attendre.
Les insultes, et les menaces.
Mais pauvre con, tu es enfermé. A moitié enterré. Et je suis enfin à la surface. A moitié vivante.
Encore une pelée de terre.
Attendre encore.
Mais les cris cette fois. Je veux t'entendre supplier, pleurer, hurler s'il le faut. Et à chaque son qui sortira de ta gorge de fils de pute, j'ajouterai de la terre entre toi et moi.
Je t'obligerai à regarder ta mort en face, et je me délecterai de ton angoisse.
Et quand tout sera terminé en haut, à la surface, quand je n'aurai plus de terre à tasser sur ton corps encore haletant, je me masturberai sur ta tombe, en souvenir du bon vieux temps, en jouissant de ton agonie pathétique. Sois en sûr, cette fois-ci, le plaisir sera entièrement partagé.
Bin, en guise d'intro, je sais pas.
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Première pseudo-phrase pas drôle dès le départ.
Bam, sanction : pas de lecture.
normal.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
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Te tuer simplement.
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Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Te tuer simplement.
Il y'en a un en trop qui ma fais arreter la lecture du texte par agacement.
Sinon l'image est super.
Moi j'aime bien, c'est un très bon slogan.
"Tuer simplement".
Encore mieux avec "Tuer, simplement."
C'est très bien, c'est complètement déjà-vu et pourtant on s'en fout complètement, on sent bien la haine et ça suffit. Estampillé zonard dès le premier texte c'est pas facile, alors j'ai envie de dire "mais oui ! mais oui !" en imitant Thierry Gilardi.
Je me demande ce qu'elles ont, toutes ces connasses, avec leur père (au singulier, car Glaüx).
Aussi, il est dommage d'avoir gâché un joli texte de St Con comme ça pour en faire une vulgaire incinération perso dans l'intimité populaire de son meublé un jour comme les autres, et dans sa tête en plus.
J'ai hésité entre carrément sympa et carrément médiocre. Ca bourrine et c'est pas prise de tête, donc ça me va. En même temps y a pas des masses de détails, l'accumulation de méthodes envisagées faire catalogue Ikéa du meurtre saison 2008, au point qu'on fait la ola à chaque nouveau moyen employé et on hurle "une autre, une autre" tellement c'est ridicule (oui bon en même temps, mes voisins sont pas chiants, je peux me permettre et en plus je vous demande pas votre avis).
Et puis je sais pas, les morveuses qui en ont après leur père, je peux plus là.
Ca se chantonne bien sur une mélodie de comptine enfantine par contre, avec un super rythme sautillant et limite guilleret.
Bref, je veux le même texte écrit par Aka.
nihil, les illustrations orientent définitivement la vision que l'on a du texte. Ici, j'ai vu une vieille goth dans sa R5 d'un rouge passé, ricaner en explosant papa sur les murs du garage. J'ai surtout vu une vieille goth en train de frotter frénétiquement sa vulve pute et mouiller sur une dalle de marbre sous un grand chêne. Les grands chênes sont plantés pour écouter les rires sardoniques.
Le texte en lui-même n'est pas désagréable, sans aller non plus vers l'opposé. Je ne dirai qu'une chose : Châteaubriand a encore frappé ! +++===> "Mon désir : jouir à présent de ton calvaire comme tu as éjaculé sur ma douleur, cher papa.
"
Pelletée.
A part ça, je suis content, c'est littérairement tout à fait anodin, mais c'est rigolo et bien sympathique cmbdtvcs. Voilà voilà. Et ça a le mérite d'être court cvb.
Un texte qui peut se jauger selon les critères DTCS et CTB est un bon texte.
Ah ouais tiens, je suis d'accord avec nihil, je veux le texte en version chantée par Chantal Goya.
Bonjour, je conçois, fabrique et vends des aspirateurs.
Tu te l'es trop joué Kill Bill 2.
Dommage.
Si vous voulez, je peux en faire une version longue...
Je ne supporterais pas avoir ca en version longue, je pense que ca ressemblerait trop a mes derniers textes. donc abstiens toi, ca serait gentil.
Bon quand j'ai vu l'illustration j'ai pas pu lire le texte. J'ai presque du me forcer pour poster ce commentaire d'une utilité certaine.