La brume ambiante et sa déperdition mentale se réunissait dans sa tête en un même lieu métaphorique. Les lumières vascillantes de la ville était les seules chose qu'il distinguait encore...il se rappellait encore du drame.
Le froid avait depuis longtemps envahi le corps de Gérard. Mais sa déroute n'en était que plus intense et c'était la preuve comme quoi un grand vide etait présent et auquel il avait la tentation de vouloir y plonger.
Il y a des herbes hautes. Le ciel est gris. Tout est flou
Gérard avait 47 ans depuis 10 jours. Mais cela faisait bien longtemps qu'il n'avait plus fêté son anniversaire au jour le jour. Il trouva un banc dans lequel il mit son désir de s'assoir enfin. Les trottoires sont larges dans ce quartier de Paris et un sentiment de spatialisation envahissait Gérard.
Le vent est saturé d'iode marin. Le sable est humide. Le prochain village semble encore loin.
Pourquoi Gérard s'était-il rendu ici, non loin de la gare st Lazare? Il n'en savait rien lui-même...Peut-être par désir de replonger un peu plus pronfond dans son univers de son enfance. Effectivement il domiciliait ici depuis l'âge de 8 ans.
Le ventre fait mal. La tête aussi. L'ambiance est étrange. Et oui, nous sommes en Vendée
Mais à quoi bon pour Gérard tenter de ressasser un passé révolu et désormais inchangeable? Ce qui est fait est fait. Oui Tobby avait été un compagnon aussi fidèle que le chien est un des meilleurs compagnon de l'homme. Les odeurs de Tobby était encore présente dans l'esprit de Gérard, ses yeux, ses attitudes tout cela était dans la mémoire de l'homme qui se rappelait ses souvenirs comme on feuillette un catalogue.
Les dunes se suivent depuis trop longtemps. Tout est flou. Pourquoi. Mais il fallait survivre.
Les jeunes adeptes de tektonik dont le chemin croisait Gérard ne retenaient pas son attention malgré que les jeunes avaient tendances a l'interpeller pour le alpaguer. Sans doute était-ce moindre par rapport à la violence émise des sentiments incontrôlables torturant Gérard bien plus que les moqueries. Tobby. Le spectre du canidé était tel un fantôme autour de lui dans les halos des réverbères qui flottaient d'une manière magique dans l'air.
Comment peut-on s'égarer de la sorte. Trop sans doute. Il fallait survivre. Survivre contre les jours qui passent sans qu'on retrouve un chemin menant vers une sortie de cette égarement badin.
Plouf une premiere fois. Plouf une deuxième fois. Gérard rendait. Une odeur nauséabonde flottait à présent et une dimension comme quoi Gérard se demandait des nouvelles interrogation sur c'est qui qui domine. Il était à genoux dans la texture pestillentielle, vidé de toutes ses vibrations positives. Tobby. Tobby. Il se demandait pourquoi cela pouvait servir de vivre à présent. Après cela. C'était la faute du fait qu'il s'était perdu dans la région. Pendant les vacances l'alcool avait coulé au-delà des espérances, peut-être trop. Il s'était perdu à des kilomètre carrés de toute habitation. Tobby. Avec Tobby.
Il fallait survivre. Le village est proche à présent. Tout est flou. Il faut partir et tenter d'oublier les souvenirs desquelles on pourrait en souffrir ultérieurement. La gare est proche à présent. Il faut rentrer au berceau de l'enfance passée. Pardon tobby il fallait survivre, pardon tobby, survivre à la faim connu lors d'une telle situation. Pardon pour tobby
LA ZONE -
= commentaires =
Le texte, dont au sujet duquel je n'ai rien de bienveillant à en dire de celui-ci, parce qu'il est très pas bien écrit, mais c'est dommage que l'auteur, il a pas décidé que lui doive rester dans le domaine du débile pour la raison que ça lui convient plus mieux.
Le sentiment de spatialisation, c'est cosmique.
Mais moi je le trouve positivement génial, ce texte, je me suis marré comme un bossu du début à la fin. Si les Inconnus avaient niqué la mère à Bergman, peut-être que le croisement de leur fils et de Didier Super aurait pu écrire des trucs dans le genre.
Complètement inutiles, complètement mal écrits au possible, et complètement marrants.
"Les trottoires sont larges dans ce quartier de Paris et un sentiment de spatialisation envahissait Gérard."
C'est génial, ça veut absolument rien dire.
"Peut-être par désir de replonger un peu plus pronfond dans son univers de son enfance. Effectivement il domiciliait ici depuis l'âge de 8 ans."
Combo erreur de logique - syntaxe multiprout - OSEF suprême. Magnifique.
"Les dunes se suivent depuis trop longtemps. Tout est flou. Pourquoi. Mais il fallait survivre."
C'est aussi beau que le "J'ai fait du thé. Qui veut du thé ?".
"Une odeur nauséabonde flottait à présent et une dimension comme quoi Gérard se demandait des nouvelles interrogation sur c'est qui qui domine."
C'est trop énorme pour être involontaire.
Je refuse de croire que c'est involontaire. Ou alors faut amputer. Mais avec le sourire.
"trouva un banc dans lequel il mit son désir de s'assoir enfin. Les trottoires sont larges dans ce quartier de Paris et un sentiment de spatialisation envahissait Gérard"
C'est beau on dirais que c'est de moi
"Tobby. Le spectre du canidé était tel un fantôme autour de lui dans les halos des réverbères qui flottaient d'une manière magique dans l'air."
T'as trop regardé SOS fantôme, je vois que ça pour réussir à pondre une phrase pareil, ah oui est évite d'utilisé le qualificatif "magique" c'est vraiment moche.
Bon je m'arrete là pour les citations "magique" refais en encore deux ou trois comme celui-la et tu me détronne enfoiré
commentaire édité par Le Duc le 2007-12-10 16:32:24
Non.
Moi aussi je t'aime, bosse.
Je crois que justement, j'ai retrouvé ma baïonnette.
Si c'est un foutage de gueule du Nouveau Roman et de tous les enculés barbants coupables du genre, c'est magnifique.
La structure me fait penser à un bouquin de Sarraute (Nathalie, pas l'autre) que j'avais détesté, mais en volontairement chiant.
C'est fort.
J'aime.
commentaire édité par Aesahaettr le 2007-12-10 17:24:23
C'est vraiment excellent. on a l'impression d'être dans la tête du type et de croiser son intellect défoncé.
Ça en devient jouissif. Je me suis bien marré.
Et dans une optique tlönienne je signale mon vif intérêt pour la psychologie de l'intéressant homme de Lettres qui a écrit ce texte et Le Lapain, car il ne peut qu'être un et indivisible.
Vive lui.
"Si c'est un foutage de gueule du Nouveau Roman et de tous les enculés barbants coupables du genre, c'est magnifique."
effectivement et par ailleurs je suis très touché.
"on rigole bien. Aux dépends de l'auteur ce coup-ci."
non non c bon c fait pour!!!
Je t'aime Massime, tu es mon nouveau Dieu Cochon à vénérer dans ma cave.
AH AH AH
qu'est ce que je me fais rire!
J'ai tout de suite pensé que c'était fait exprès, parce qu'il est interdit d'appeler son chien Tobby sous peine d'être déporté dans la Creuse. Ceci dit, j'ai passé un très bon moment. Et un chien qui se laisse appeler Tobby ne mérite pas mieux.
Le résumé est vraiment à chier, quand même.
y a pas une semaine des résumés de merde?
Tobby l'épagneul pédophile qui à ouvert les yeux (et le cul) de tant de jeunes garçons de mon village?
Quel connard ce chien, contente de savoir qu'il a enfin claqué.
Note historique: le sperme de chien c'est tellement collant que la machine à laver en vient pas à bout.
Merci de votre participation à ma vie.
C'est grand.
Par ailleurs, je suis obligé de réagir au "Il s'était perdu à des kilomètre carrés de toute habitation".
Voilà, j'ai réagi.
Merci.
Putain de merde voilà ce qui n'aurait pas du arriver une fois pour toute, je lisais paisiblement à la lueur alambiquée de ma lumière de chevet afin que les mots continu leur ouvrage dans ma tête qui s'est fracassée sur le rebore de ce texte,pire qu'un tract des témoins de Jehova , sans queue et à la foi sans tête (ouah ! !). Voilà comment on arrive au résultat final du texte en gardant cet avis qui demeure. Tobby c'est l'auteur ?
Rassurez-moi, ok c'est contagieux mais ça n'est que temporaire hein !?
Et pourquoi moi mon vomi y fait pas plouf ?
(quasiment une phrase complète en semi-onomatopées !)
boulard
Dans le genre débile, évidemment, ça se pose là. Les commentateurs précédents se sont faits un plaisir de relever les perles stylistiques les plus reluisantes. Je me contenterai donc d'apposer mon nom et de renchérir : bravo, enculé d'analphabète talentueux.
Moi je crois que tout est calculé avec la minutie d'un autiste, dans ce texte. Ce qui le rend au moins drôle.