Parlons

De grosses chiennasses en décomposition fouettant l'excrément humain aussi attirantes qu'une truie égorgée à l'aide de petites punaises rouillées et atteintes d'un festival de kists saturés de pue de toutes tailles et de toutes formes hantent mes esprits, d'où cette surenchère d'immondices (aussi variées que les habitudes d'un toqué monomaniaque) présentes sur mes pages.
Un peu comme un sociopathe exibissioniste affichant un sexe rapeux ayant subie l'usure du temps et pronant une royale pustule à la frontière de l'éruption fatale, et n'ayant connue qu'une main droite certes expérimentée l'âge faisant mais inapte à adoucir la tyrannie menée par les ambitions hormonales, par ailleurs détraquées par les multiples béquilles chimiques absorbées, que peut subir parfois un homme tout simplement, j'écris.
Et s'il y a bien une chose que je déteste, peut-être autant qu'une suscion de vulve gercée recouverte d'une sédimentation impressionante de crasse corporelle comme cela pourrait arriver avec une grosse putain égocentrique à l'hygiène buccale plus qu'alarmante, cause d'un fumet à peine soutenable pour le plus vaillant des héros et facilement perceptible au moindre entrebaillement de claquemerde, c'est les phrases à tiroirs qui n'en finissent plus et dans lequel l'auteur novice se vautrera avec une délécation à faire gerber la plus putain des raclures de bidet tachetée de merde ou plutôt recouvert d'une bonne grosse colique digne du XIVème siècle, ce qui, vous l'avouerez est assez impressionant, je ne sais pas si vous avez eu l'occasion de contempler une pareil chose mais on en ressort pas indemne.