LA ZONE -

Dommage collatéral

Le 16/05/2007
par Traffic
[illustration] J’ai compté. Je me suis disputé avec ma copine environ 357 fois avant que nous envisagions une séparation par convenance mutuelle. Enfin, il semblerait d’après nos dernières mises au point, les plus tranchantes, celles où je lui ai dit qu’elle avait les seins qui tombent, assertion relativement minable et fausse à laquelle elle a bassement rétorqué que j’étais un mauvais coup au pieu, que ne dirait on pas dans un souci de surenchère, il semblerait donc que nos compulsions de scission soient apparues environ une centaine de conflits auparavant. Ce à quoi je me suis dis en apercevant les photos de nos dernières vacances, une obscure expédition punitive à la frontière espagnole, que nous aurions pu nous épargner bien des traumatismes verbaux en nous le confiant.
Mais c’est vrai, cette nana avait quand même de fabuleux avantages pulmonaires et j’ai toujours du mal à me séparer de ce type d’accessoires somme toutes difficilement remplaçables, enfin pour un type de ma trempe. Dans un précédent texte, j’expliquais ma propension à faire les courses dans de petits magasins sympathiques, enfin disons pour être plus juste, de proximité, où les gens, à contrario des oiseaux, ne prennent pas la peine d’aller se camoufler pour mourir. Un comportement qui tendait à énerver particulièrement sa fibre de consommatrice en vastes zones commerciales ou l’être humain lambda a toutes les chances de subir une décoloration pigmentaire par facteur de néonisation soudaine et prolongée. Marjorie me reprochait en sus une batterie de phénomènes sur lesquels je n’avais absolument aucun pouvoir. La fumée de cigarette la dérangeait, les haleines éthyliques aussi, la grâce absolue de mon jeté de chaussettes à travers la chambre ne la touchait particulièrement pas, on en arrivait jusqu’à conclure que je n’étais pas même apte à évacuer correctement une pile de sacs poubelles à l'aspect foncièrement créatif, alors mon oisiveté et ma faculté naturelle à l’absence d’ambition professionnelle, vous imaginez.

Tous ces petits sujets occupaient régulièrement nos conversations. D’aucuns auraient admis qu’ils n’étaient qu’une dérive de l’homme moderne, épanoui et un tantinet viril. Mais ces êtres pour l’instant, je n’en avais pas encore fait la connaissance. Par une promesse solennelle, je me fixais le challenge d’y parvenir, dussé-je tenter l’expérience extra planétaire, hé l’univers est un ensemble infiniment grand, je l’ai vu sur ARTE, il serait aberrant que je ne puisse trouver un être suffisamment gracieux correspondant à mon profil et présentant les caractéristiques physiques et morales d’une bombe anatomique à la grandeur d’esprit du à mon rang, une créature formidable, enjouée, communicative, drôle et bandante.

L’appartement semblait vide depuis son départ, mais surtout vide de hurlements hystériques et de crises de nerfs intempestives. La logistique basique m’amenait à comprendre toute une foule de choses qui m’avaient échappées durant les trois années de notre vie commune. En quatre mots, c’était un beau bordel. Il y a apparemment un gène du désordre et celui là faisait partie de mon métabolisme initial. Je ne sais quel facteur physiologique ou social l’avait amené à se développer dans d’aussi éminentes proportions. Enfin, me reprocher cette tendance vertébrale serait revenu à faire sous entendre à un chauve qu’il déconne de plus avoir de cheveux. Mon implant capillaire à moi se nommait femme de ménage mais pour ça il aurait fallu que j’ai de la thune, puis un travail, enfin beaucoup de conditionnel loin d’être en simple approche, un espèce de cercle vicieux tendant une fois de plus à contrarier mon univers parfaitement conceptualisé par ailleurs, du moins en théorie.

Il y a des gens qui prennent les séparations au tragique et il y a ceux chez qui ça crée un certain nombre de dommages collatéraux préoccupants ne laissant guère de place pour l’affliction sentimentale. J’espérais faire partie d’une classe intermédiaire mais les jours passants, au bout de trois semaines et demi, j’étais bien obligé de me rendre à l’évidence, j’appartenais pleinement à la seconde catégorie, je l’incarnais tout simplement.

Bienheureusement, j’avais quelques amis sur qui je croyais pouvoir compter. Des êtres qui ne s’avèreraient pas fallacieux au moindre revirement de situation. Pour l’instant ils ne me téléphonaient pas beaucoup mais je me disais que c’était peut-être par peur de me déranger, ils avaient sans doute un peu d’appréhension à exhiber leur bonheur existentiel à ma vue. Ce en quoi ils pouvaient se rassurer, j’avais toujours trouvé leurs vies pitoyables et inutiles comme d’ailleurs celles de l’ensemble de mes contemporains, ça ne m’empêchait pas de bien les aimer, peut-être comme on finit par s’attacher à une souris qui traverse son appartement la nuit ou à un cafard sympathique, si, si, il y en a. N’insistez pas ou bien je vous raconte des choses à ce sujet qu’il est proprement impossible que vous ayez envie d’entendre.

Donc après une certaine période de contemplation mutique de mon désastre personnel, je me décidais à rejoindre le courant de la civilisation extérieure et aussi parce que c’était proprement intenable de persister à rester solidaire avec la vue d’un décorum complètement nucléarisé. Il y avait toujours ce même soleil étrange qui me filait la berlue, la ville était baigné dans un halo bien surnaturel, les gens paraissaient sournoisement exotiques, les voitures, de véritables barrières métalliques qui empêchaient de traverser les rues, et je lisais à mon grand dam que bientôt on ne pourrait plus fumer dans les cafés. Ben où alors ? Peut-être que l’activité de fumeur deviendrait une occupation d’été praticable en terrasse car je m’imaginais mal me positionner devant le bar avec ma clope pendant que les rapaces de mon entourage se sifflaient ma bière en toute décontraction.

La vie - enfin l’absence de vie plutôt, vous me comprenez c'est sûr- extérieure me rappelait par des éléments géographiques Marjorie. J’avais un semblant de nostalgie de sa présence qui montait soudainement mais on pouvait aussi rationaliser cette sensation en constatant qu’il est très pénible d’évoluer dans un ensemble urbain dénué de chaleur, de sympathie, d’humanité tout simplement. Le moindre facteur consolidant, même l’apparition d’une harpie furieuse relativement axée sur une perception dégradée de la réalité, prend alors une forme d’urgence impossible à refouler. Je progressais péniblement de rue en rue vers un rendez vous amical avec un être assez sordide mais présentant peut-être les compétences d’un compagnon valide. Certes, la compassion n’était pas la plus développée de ses qualités mais bon j’avais toujours eu du mal à partager des instants avec les amateurs de Yorkshire à nœud rose en général et plus particulièrement ceux qui répondent au nom de Cindy.

En effet, la solitude est toujours plus durement ressentie dans la proximité d’êtres inadéquats. Moi-même en étant un, j’ai parfois constaté chez autrui de grandes plages de désarroi soudaines alors que j’exprimai ma faculté incontestable à pouvoir ramasser mon paquet de Marlboro avec les doigts de pieds devant une émission de type semi informative sur les chaînes hertziennes en après midi sans renverser une seule goutte de ma sacro-sainte Leffe triple. Renoncer à tirer fierté de ce particularisme m’aurait réduit à n’être pas grand-chose alors je ne changeais rien à mon personnage et de ce fait, dans certaines occasions relevant de la complète promiscuité, j’observai, et même parmi les plus proches, un phénomène relevant de l’ordre de la franche indisposition.

Le café était en vue. Je reconnaissais de loin l’être le plus anachronique possible de mon entourage en pleine posture de la serpillière dubitative, identifiable au mélange d’introspection et de déconsidération affichée, se préparer quelques cigarettes roulées en attendant que mon retard statutaire de l’ordre de la demi heure soit écoulé.

Cet épisode, que je résumerai de proprement nihiliste, n’occasionna que la consommation de plusieurs chopes tout en essayant de faire passer quelques heures dans une observation méticuleuse de la dénivellation de nos contenants. En dire plus, reviendrait à mentir. Un défaut qui bizarrement m’a épargné alors qu’il aurait tout résolu, le monde est mal fait.

Il s’avérait que la vie sans femme se révélait complètement dénuée de substance, non pas que ces êtres fussent de nature hautement distractive mais on devait leur reconnaître la capacité à nous orienter dans des activités mobilisatrices. Regardez, je n’allais même plus dans les petits Proxi environnant, me contentant de commander de répétitives pizzas. Les autres axes fondamentaux exigeant leurs présences m’accablaient tout autant, je mourrais d’envie de pétrir les gros seins rebondis de Marjo tout au long de la journée et la vision de ses congénères féminines m’interpellait frontalement. J’opposais une résistance fébrile à l’envie de lui passer un coup de téléphone, c’était de la haute lutte. Enfin me concernant, il est clair que le moindre prétexte insignifiant m’aurait éclairé d’une évidence absolue et m’aurait amené à me compromettre gravement dans des actes approximatifs, de la teneur de la composition de son numéro de téléphone.

Cette stratégie très limitée en terme de positionnement m’amenait à reconsidérer les éventuelles corrections que j’étais capable d’apporter à ma personnalité parfaitement digne et admirable. Bien peu de choses en vérité, je n’allais pas me modifier, elle non plus, nous étions tous les deux parfaitement en possession de ces informations. Je l’imaginais, elle jolie comme un cœur, aux prises avec ces êtres dénué d’authenticité, convoitant simplement sa plastique envoûtante lorsque je manquais me faire écraser par un bus. Un gros particulièrement agressif sur ce coup.

Le message était clair. Il fallait que je me reprenne, j’envisageais dans une tragique prise de conscience de m’inscrire à une salle de gymnastique avant de m’apercevoir, par une petite annonce sur un feu rouge, que je pouvais aussi participer à de très étonnants rassemblements philosophiques dont le sujet était « La place de l’arbre en milieu urbain.» A ce rythme, il était évident que j’allais finir dans un cours de yoga, voire une secte.
Tout cela, je ne l’avais pas bien réalisé lorsque Marjorie m’avait lancé à la volée « Connard, j’ai perdu trois ans de ma vie. Merci de la petite leçon, ça n’arrivera plus. Pas la peine de me rappeler, garde ton forfait téléphonique de dix minutes pour contacter les services d’une pute gratuite qui te fasse le ménage. Tu vas voir tu vas trouver, c’est si simple.» Ensuite la porte avait claqué, j’étais allé serein ouvrir une bière en me demandant si j’allumais plutôt trois cigarettes d’un coup pour me calmer ou si alors je me penchais par la fenêtre pour lui hurler « Va te faire enculer. Conasse.» Je pense que de toutes façons, elle n’allait pas attendre mon autorisation et la vie avait coulé sur cet épisode absolument inévitable. La grande aventure du 21eme siècle : la séparation avec pertes et fracas.

Réintégrer mon appartement avec un sachet plastique de l’épaisseur du cellophane contenant des produits nutritifs absolument provocateur d’un encrassement primaire de l’artère aorte, pâté de campagne, chips, pot de rillettes, spiritueux et autres babioles alimentaires divertissantes, me plongea dans un abîme de résolutions improbables que j’abandonnais après avoir tenté d’ordonner légèrement mon réfrigérateur. Tout là dedans était plus ou moins périmé ou en voie de pourrissement, c’était à la hauteur de certaines œuvres contemporaines actuelles. J’aurai aussi bien fait de faire payer l’entrée de mon appartement à un public amateur de cocasserie pseudo artistiques et j’aurai déjà pas mal progressé dans l’existence. La mise en œuvre d’un tel projet demandant d’y consacrer plus de temps que je n’avais de disponible, je l’avais abandonné instantanément.

L’idée de Dieu me traversa un instant, comme si cet abonné absent était le seul à vraiment pouvoir me tirer d’affaire. Je me rappelais avoir lu dans les toilettes d’un bar dans les rues louches l’inscription "Dieu n’existe pas". C’est souvent dans ce genre d’endroit que l’on trouve les informations les plus hautement vérifiées jouissant d’une solidité imparable. Il fallait se rendre à la raison. Il ne me restait plus qu’à devenir la larve putrescible à laquelle je m’étais toujours destiné, adoptant un comportement de désoeuvré sans aucune distinction probante qualitative. Je restais quand même quelques minutes dans le silence en me disant « On sait jamais ». Mais non, pas plus de Dieu que de soleil aux environs de Rouen entre septembre et juin. Il allait falloir préparer une riposte.

Le négativisme est souvent la conséquence d’une absence de sexualité concrète. Je crois que j’ai entendu ça un samedi après midi sur la trois. Comme quoi, à la télé, y a pas que des conneries. J’en étais à ces réflexions lorsque mon téléphone se mit à sonner. Je pensai aussitôt à un faux numéro. Avant quand j’avais une ligne fixe, c’était plutôt les téléprospecteurs tenaces qui me réveillaient et là sur les portables, plutôt les faux numéros. J’ai toujours pensé que l’observation de statistiques dénuées de toute manipulation grossière pouvait expliquer le fonctionnement de la race humaine plus précisément que n’importe quel autre outil de recherches scientifiques, philosophiques ou métaphysiques. J’étais bien d’accord aussi pour admettre que cette méthode n’aurait pas pu fonctionner avec une espèce réellement évoluée.

En l’occurrence, le faux numéro n’en était pas un. Il était juste le numéro exact dont je composais mentalement les chiffres depuis le début de l’après midi.
Imaginez quelle n’est pas la jubilation du mâle désespéré qui a su attendre désemparé, se retenir, se contenir, fuir tout raisonnement cartésien, nier les évidences les plus établies, décliner sa puissance mentale en dépit du bon sens en voyant soudain que la femelle éplorée revient à lui dans un acte d’acceptation globalisée et déterminée. Alors donc c’était ça ? C’était ça Dieu ? Le mec dans les chiottes du rade miteux s’était carrément planté et dans d’absolues largeurs. N’est jamais plus aveugle que celui qui ne veut pas voir, n’est jamais plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, et n’est jamais plus muet… Heu oui bon fallait que je décroche. Rater cet appel aurait ressemblé à un aveu d’incompétence définitif et en plus je crois que je n’avais plus de forfait. Autre élément majeur qui avait perpétué ma contention ferme et inflexible.

« Salut.

- Salut. »

Faisait frisquet pour la saison.

« Je voulais seulement te dire que je ne t’en voulais pas. Tu es sûrement le mec le plus fabuleux que j’aie connu. »

Donc tout simplement par cette phrase,je comprenais que tout cela n’était qu’un grand rêve et que soudain allait débarquer une farandole d’éléphant rieurs derrière la tour de pise d’assiettes sales se dandinant jusqu'à ce que soudain la bouche d'un cétacé géant ne vienne pour me happer et finisse par me réveiller en sueur. C’est vrai, j’ai un domaine onirique se rapprochant des classiques Disney. Je n’ai jamais eu la chance de faire tous ces sublimes rêves érotiques avec des créatures au nombril piercé en bikini turquoise, peut-être qu’en m’abonnant au câble et en me concentrant bien sur les chaînes musicales…

« Mais non. Je comprends, j’ai été un sale con. »

Encore un réflexe judéo-chrétien mal placé, un aveu de culpabilité sans véritable fondement.

« Peut-être. Mais bon, tout ça est terminé. Ne revenons pas dessus. Ce qui est fait est fait. C’est sans doute mieux ainsi.»

Les éléphants se sont évanouis spontanément. Je ne rêvais donc pas.

« Je t’appelle en fait parce que j’aurai besoin que tu me fasses passer des quittances de loyer. J’en ai besoin pour un appartement sublime, un T2 dans le 7ème. Un truc super mignon. »

Ah.

«Pas de problème. Tu en as besoin rapidement ? «

« Si tu pouvais les laisser à Christophe dans la matinée demain matin, ce serait génial. Je passerai les chercher en sortant du boulot. »

« Pourquoi tu vois Christophe toi ? «

« Oui. D’ailleurs on a fait une petite soirée samedi dernier. Il y avait quelques copains à lui du boulot. »

« Hum. Hum. Bon ben je les laisserai chez lui alors. Enfin dans sa boite à lettres, parce que moi je ne le vois pas aussi souvent.»

Christophe, mon ami de lycée. Celui dont je pensais qu’il n’était pas fallacieux. Celui dont la vie pitoyable provoquait en moi des phénomènes de compassion inexplicables et de surcroît démobilisateur. Donc en fait, mes potes préféraient sa compagnie à la mienne. Toutes les pièces de l’énigme se mettaient en place peu à peu. Me restaient plus qu’à déterminer les coupables et les victimes. Dans un sens, il me semble que tout resterait flou à ce niveau. Le domaine de la perception est effectivement d’une infinie amplitude.

Nous avons raccroché sans un seul petit mot affectif. Ma détresse était parfaitement justifiée et j’aurai eu besoin d’une dose de réconfort humaniste dépassant les efforts conjugués de l’abbé pierre et de Mère Térésa et peut-être aussi d’une opération pièces jaunes, va ça n’aurait pas été du grand luxe.

Face à mon engagement, je songeais que trouver les quittances de loyer s’avérerait assez simple. De toutes façons, la dernière devait sûrement être sous des cartons de pizzas, comme beaucoup d’autres choses dans cet appartement, et les autres rangées dans les petits tiroirs où Marjo les classaient habituellement. Dans tout ça, il y avait une chose extrêmement positive. Je n’avais pas à revoir ma conception théologique. Ni celle de mon positionnement social et urbain. Ne pas m’être trompé sur les seules choses qui finalement auraient justifié que tout cela soit différent confirmait mes convictions.

Il me restait environ une seconde moitié d’existence pour renverser ma tendance à la misanthropie et à ma propre résonance affligeante. Tout ça me laissait donc pas mal de temps, à bien y réfléchir. J’ai décrété que je foutrai les quittance de loyers dans la poubelle tout à coté de la boite à lettres tout à coté de la porte d’entrée de mes connards de potes. Et je suis allé m’en griller une bien peinard devant un reportage sur les ammonidés aquatiques, c’était finalement une espèce bien plus complexe qu’on ne le pensait, d’ailleurs les chercheurs eux même avouaient n’avoir jamais pu tirer la moindre statistique issue de l’observation de leur comportement.

= commentaires =

MantaalF4ct0re

Pute : 1
    le 16/05/2007 à 22:29:47
vous avez le choix entre:
1. rester une larve
2. vous pendre
3. pendre par les pieds les potes afin de leur rectifier le portrait à coups de clé dynamométrique et de couteau de boucher.
4. idem mais en les trainant ensuite deriière une voiture, si possible sur autoroute.
5. vous faire désensorceler par le grand marabout M'Ental Factor. résultats gaantis. plus de 77 ans d'expérience du métier. Savoir transmis par ses ancêtres depuis des millénaires. Paiement cash uniquement.

commentaire édité par Mentalfactor le 2007-5-16 22:30:6
Imax

Pute : 0
    le 17/05/2007 à 00:34:26
Je ne me suis pas fait chier et c'est bien écrit.
B52

Pute : 0
    le 17/05/2007 à 01:01:05
je prends la cinquieme solution et je vous paie avec mon corps. Piles non fournies.
MantaalF4ct0re

Pute : 1
    le 17/05/2007 à 17:12:18
je vous brancherai sur haute tension, n'ayez crainte
B52

Pute : 0
    le 17/05/2007 à 18:53:16
Merci Maitre !
tipi
    le 24/05/2007 à 23:56:07
Un texte traité sous la forme d'une inquisition avec des convictions comme point de départ dans un cadre faussé par 357 disputes et combien de ruptures...On est comme on est on finit tous par s'admettre surtout si on vit bien comme ça.Puis pour éviter les spasmes dites vous que l'autre ne vous aimez pas et focalisez sur tout ce qu'elle pouvait mieux faire aprés 357 disputes. euh .... pour les gros seins il faudra se contenter de les imaginer jusqu'à la prochaine.Y a que des solutions dans la vie....pourquoi changer? sinon c'est bien écrit mais bon on va pas te le repeter que tu écris bien.Mais, oui mais ton imagination et ton humour restent pour moi la cerise sur le gâteau .
Mill

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Pute : 2
    le 25/05/2007 à 00:02:08
Ca y est, j'ai capté : Tipi est l'ex de Traffic.

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