- Que mon vit bourgeonne et fleurisse si je m'y attendait, voila que s'offre à nous un bien beau castel. Si son seigneur a pareille bonne mine, sans doute saura t'il nous donner renseignement. Haro mes braves !
La petite troupe chevaucha tranquillement dans l'air tiède du crépuscule jusqu'aux portes du joli domaine. Une journée de tours et détours dans ce pays de bouseux les avait passablement agacés, et tous furent bien aises de retrouver une trace de civilisation. C'était en vérité une belle propriété, un grand château opportunément sis sur un oppidum surplombant les terre où s'usaient encore moult serfs, le tout entouré d'une charmante forêt. Parvenus à une lieue du manoir, ils croisèrent un poste de gardes. Ceux-ci s'emmerdaient fort, et ne manquèrent pas l'occasion de faire chier ces étrangers de passage.
- Holà, mes beaux sires, quelle raison vous amène ainsi sur les terres du seigneur Uxluloaticoatl ? s'enquit un soldat en brandissant une menaçante lance tordue sur le Roi Arthur, qui menait la marche.
- Tout doux mon brave, n'ai nulle crainte car mes intentions et mon coeur sont résolument pacifiques. Je suis Arthur, Roi véritable de la Bretagne du Haut et du Bas, et désire simplement m'entretenir menu avec ton bon Seigneur et Maître.
- Qu'est-ce que vous lui voulez ?
- Vois-tu gentil garde, mes amis et moi revenons de queste, et sommes perdu en cette étrange contrée, qui ne ressemble à rien dont je puisse me souvenir, et pourtant mon âme crois-moi est emplie de milles regards sur des paysages merveilleux et des monstres de légende, que nous avons affrontés et vaincu. Nous avons erré des années en des terres maudites, foulé de nos pieds fatigués les tombeaux millénaires, nous sommes perdus au milieu de plans à la géométrie assurément non-euclidienne. Et voici qu'après mille tourments nous arrivons en cette région, qui me parait fort exotique. Dites-moi, donc où sommes-nous ?
- Vous êtes présentement en Basse Bretagne, dont le seul et unique souverain légitime est Uxluloaticoatl notre maître, qui siège en ce château nommé Camelot.
- Mais par les six cents couilles de Dieu c'est exact, ce château est bien Camelot ! Que les choses ont changées, et encore une fois nous allons devoir rétablir l'ordre cosmique ! Garde, conduit-nous céans rencontrer Uxluloaticoatl, ou soit pourfendu sur le champ. Car nous sommes les justes, et pour preuve nous ramenons au terme de notre queste le saint Graal que même que c'est celui dans lequel on a recueilli les fluides corporels de l'autre type là, machin.
Galahad sortit de son sac un gobelet brillant et le brandit bien haut, et alors comme les ultimes feux du soleil couchant vinrent le frapper, il sembla s'embrasser et devenir un fanal autour duquel se ralliaient les justes, et à la vue duquel les païens étaient frappés de désespoir. Ainsi fut-il, et cela sembla durer mille ans, bien qu'en réalité le soleil ne mit que quelques minutes à foutre le camp. Aveuglé par la magnificence du spectacle, les gardes ne purent que tomber face contre terre, se repentant amèrement. Désirant aider ces braves, les preux Chevaliers profitèrent de leur position pour les achever à coup de balle dans la nuque.
ACTE PREMIER, SCENE PREMIERE : UN DRÔLE DE DEJEUNER
Une cour de château
Entre ARTHUR, côté jardin, suivi de ses chevaliers.
ARTHUR. Qu'il est bon de rentrer en son château après toutes ces années. Ainsi je vais rencontrer Uxlolocoati. Que j'ai hâte de le rencontrer. Au public Et je sens qu'il sera navré d'importance.
Entre UXLULOATICOATL côté cour. Il est vêtu d'une robe bigarrée passablement usée et d'une coiffe à plume. Il fume la pipe.
UXLULOATICOATL. en aparté Damnation, c'est Arthur et ses chevaliers. Je suis fait ! machiavélique Mais il me reste un atout, et non des moindre ! à ARTHUR Mais qui voila donc ? Arthur, vieille couille, si je m'attendais à te revoir un jour !
ARTHUR. surpris Ainsi c'est donc toi qui te cachait sous ce nom ridicule !
LES AUTRES CHEVALIERS. ensembles Mordred ! Félon ! Frêre indigne !
LANCELOT. Traître !
GAUVAIN. Connard !
BEDEVERE. Chenapan !
GALAHAD. Petite bite !
MORDRED. riant Et oui, en vérité c'est bien moi, tout cela et bien plus encore !
ARTHUR. Il suffit ! Rends moi la couronne, et je te garantis une mort rapide ! Persiste et tu connaîtras la véritable signification du mot douleur. Tu te souviens d'Excalibur ?
MORDRED. fait un pas en arrière, grimaçant Certes. Mais j'ai dans l'idée que tu ne le feras pas. Sinon... Je tue le chat !
ARTHUR et LANCELOT. Guenièvre ! Non !
MORDRED. sortant un chat de sous sa robe Et si !
Changement de plan, zoom sur le chat
VOIX OFF. La chatte toisait les chevaliers de ses grands yeux verts. Mais lorsqu'elle reconnut Arthur, alors elle descendit en un bond et vint se frotter contre les bottes du chevalier en miaulant de joie. Arthur la saisit de ses gantelets, la prit contre lui, caressant son magnifique poil doré, grattant entre les triangles parfaits de ses oreilles. L'âge n'avait en rien altéré sa beauté, elle restait la plus belle, la reine de toute des reines, fruit de désir et de passion. Guenièvre ! Reine éternelle de Camelot ! Sage et précieuse ! Toujours de bon conseil ! Parcourant les couloirs de sa célèbre démarche chaloupée, elle était la terreur des nuisibles, et comme il se devait le Roi lui rendait hommage chaque soir, car sa compagnie était plaisante, et sa conversation, quoique limitée, était une merveille de sagesse et d'à-propos. Mais le soir, dans le silence de la couche, elle savait montrer d'autres qualités, digne d'une Reine, en vérité.
Tous la regardèrent avec affection, car elle leur avait à tous manqué, et Arthur ne put s'empêcher de remarquer le regard passionné que s'échangèrent Guenièvre et Lancelot. Il soupira. Le Roi devait rester stoïque.
On revient au plan normal, celui du début que j'ai d'ailleurs connement oublié de définir. Disons qu'il était large. Ouais, il a une gueule de plan large.
MORDRED. Entrez il désigne la porte du donjon derrière lui, je suis sûr que vous avez plein de chose à me raconter.rire diabolique parfaitement synchronisé avec une musique sourde et angoissante. Rideau
ACTE SECOND : SOUVIENS-TOI LORSQUE NOUS COURÛMES NUS SUR LA PLAGE
Une vaste salle de donjon, une grande table de dîner autour de laquelle sont assis les chevaliers et MORDRED, GUENIEVRE est sur les genoux d'ARTHUR, qui la caresse distraitement. Un valet retire des plats de la table.
MORDRED. Et bien messieurs, le repas vous convint-il ?
GALAHAD. Certes, mes félicitations à votre dame.
ARTHUR lui lance un regard assassin, LANCELOT assis à côté lui donne un coup sur le haut du crâne.
MORDRED. l'air de s'en foutre Et donc comme ça vous revenez de quête. Vous l'avez trouvé votre Saint Graal ou je ne sais plus quoi?
ARTHUR. Certes oui. Qui est ce qui l'a au fait ?
GAUVAIN. Galahad
GALAHAD. Ah non désolé je l'ai passé à Lancelot.
LANCELOT. Oh oui tiens merde. fouille dans son sac Bon ben il est paumé. J'ai du le poser en allant aux chiottes.
PERCEVAL. Shame on you.
Aussitôt de chaque côté de la scène arrivent des guerriers tout de noir vêtu, armé qui d'épées à deux mains, qui d'arbalètes, qui de béliers. Ils encerclent la table.
GAUVAIN. Mordred ! Traître !
MORDRED. Que non point, je ne connais pas ces gens. D'ailleurs ils semblent me menacer autant que vous.
Un des guerriers noirs s'avance alors. Il enlève son casque. C'est un homme robuste et viril, au visage carré orné de magnifiques moustaches, ses yeux masqués par une paire de lunette de soleil. Calmement, il vient s'asseoir à une place libre entre MORDRED et PERCEVAL.
LE SOMBRE ET MYSTERIEUX GUERRIER NOIR. Hé bien messieurs, vous semblez surpris. Pourtant vous devriez savoir que nul n'est à l’abri d'un coup du sort. Siège, incendie, assassinat sont monnaie courante en ses temps troublés. Vous êtes clairement mal préparé à pareille éventualité, ce qui représente un sérieux désavantage sur le plan de la concurrence.
MORDRED. agacé Mais enfin mais qui êtes vous ?
LE SOMBRE ET MYSTERIEUX GUERRIER NOIR. allume un cigare Appelez moi Josef. Mes camarades et moi sommes des audits mandatés par le gouvernement soviétique...
LES AUTRES GUERRIERS NOIRS. en coeur Gloire à Lui !
JOSEF. ...afin de vérifier la bonne santé du régime de Camelot, à qui il a été livré depuis bientôt dix ans un abondant stock d'armes légères anti-personnelles et anti-blindées pour une prétendue "quête", et qui n'a jamais été payé. Nous voulons donc savoir si comme promis Camelot est bien devenu une démocratie populaire et si les fonds investis ne l'ont pas été en vain par notre sage gouvernement, gloire à lui !
LES AUTRES GUERRIERS NOIRS. en coeur Gloire à Lui !
ARTHUR se lève d'un coup, suivi rapidement des autres chevaliers puis de MORDRED. GUENIEVRE est sur la table, finissant les assiettes.
ARTHUR. Je suis au regret messieurs de vous annoncer que nous ne désirons pas faire affaire plus longtemps avec vous et...
MORDRED. l'interrompant Ne l'écoutez pas, le seul et unique dirigeant de Camelot, c'est moi, et je suis sûr que nous allons pouvoir trouver un terrain d'enten...
ARTHUR. sort d'un geste son fusil automatique et lâche une rafale sur le guerrier noir le plus proche, qui s'effondre instantanément en repeignant le décor d'un joli rouge. YeeEaAAaaaaah !
JOSEF. Adolf ! Noooon ! Enfoirés, vous allez me le payer !
TOUR 1
Arthur tire une salve sur Josef, qui en un éclair se jette en arrière avec sa chaise, avant de se rattraper en faisant un roulade et de sortir à son tour un fusil à pompe. Mordred se jette sous la table, suivi par Guenièvre. Lancelot saisit son fusil, Gauvain saisit une chaise qu'il abat sur le guerrier noir le plus proche dans un fracas de colonne vertébrale bon marché, Galahad égorge prestement son voisin avec son couteau, Perceval arme sa lourde mitrailleuse de soutien, et commence à tirer dans toutes les directions, blessant un grand nombre de spectateurs. Bedevere va rejoindre Mordred et Guenièvre sous la table. Les guerriers noirs restant se mettent en position de combat.
TOUR 2
Arthur abat deux autres guerriers noirs avant de recharger en faisant une roulade latérale pour éviter les tirs de Josef, qui esquive au dernier moment une chaise volante envoyée par Gauvain. Lancelot enclenche un chargeur dans son fusil, Galahad bondit sur la table et parvient à massacrer quatre guerriers noirs à coup de barre à mine dans la gueule, Perceval continue son déluge inutile, caché sous la table Bedevere abat deux autres guerriers à coup de fusil à lunette, tandis que Mordred et Guenièvre copulent tranquillement. Les quatre guerriers noirs restant se fondent dans le public, et se précipitent vers la sortie en prenant des otages.
- Tu es seul, tu es perdu, cria hardiment Galahad (par dessus les tirs fous de Perceval) à Mordred, à présent encerclé par cinq chevaliers.
- Jamais je ne me rendrai !
- De toute façon on ne te l'avait pas proposé.
- Vous tous allez payer votre audace, contemplez ma puissance.
Il partit d'un horrible rire suffisant, et alors son corps sembla se modifier.
- Attention il se transforme !
Il y eu une série de bruits métalliques et pneumatiques pendant lesquels les parties du corps de Josef bougèrent dans toutes les directions, et lorsque la vapeur se dissipa, tous eurent une vision d'effroi, car face à eux ne se trouvait non plus l'être faillible de chair et de sang, mais une bête de combat au corps d'acier et yeux de verre, qui semblait tous les contempler. Ses bras n'étaient que machines à conner la mort, et le sol trembla sous ses pas, tandis que l'être de métal éclatait cette fois d'un rire froid et lointain.
- Rien n'arrêtera jamais le communisme !
- Si connard. Excalibur le pourra, lui lança Arthur.
- Excalibur ! crièrent avec joie les autres chevaliers.
Alors Arthur dénoua ses braies, et sortit son énorme phallus, sur lequel tous les chevaliers (sauf évidemment Perceval) posèrent la main droite. Aussitôt le sexe se raidit, et comme les Chevaliers de la Table Ronde, unis jusqu'à la mort, crièrent "Excalibur ! SupraLazer !", un rayon immaculé jaillit du gland magnifique et vint frapper le robot en pleine poitrine. Il y eu une grande explosion, et super-Josef mortellement touché s'effondra en flamme dans le public.
Tonnerre d'applaudissement
Mordred sortit de sous la table, l'air inquiet.
- Vous vous rendez compte de ce que vous venez de faire ? Ils ne vont plus nous lâcher à présent, le seul échappatoire à une mort atroce par le Knout ou que sais-je est de leur offrir en paiement le graal-machin.
- Hélas il est perdu. Nous sommes tous morts.
- Ils vont commencer par nous empêcher de dormir, enfermé dans des cellules minuscules.
- On passera des années à construire des transsibériens, sous les coups de fouets et la faim, pieds nus dans la neige.
- Et un jour ils viendront nous chercher, et nous mettrons plusieurs jours à mourir.
- Et vous ne pouvez pas essayer de le retrouver le graal ?
- De toute façon, au point où on en est... Bah, je suppose que nous n'avons guère le choix.
Le visage d'Arthur était sombre, mais dans ses yeux, aux côtés de la lassitude et du ras-le-bol se lisait encore une trace de motivation. Il soupira, leva haut son fusil, et harangua sa petite troupe.
- Mes preux, encore une fois le destin nous joue un cruel tour. Mais nous ne faillirons pas à notre devoir sacré, et nous retrouverons le Saint Graal, dussions nous tous en... fait chier.
- Hardi !
- Montjoie !
- Bien dit !
- Oui bon vos gueules.
Ils étaient arrivés le matin, restèrent un jour, le tant de reprendre des forces. Ils reprirent la route, Mordred était resté au château "pour le garder", et Arthur avait la vague impression qu'il s'était fait baiser quelque part. Mais il ne dit rien. Le roi devait rester stoïque.
La belle et noble geste d'Arthur, roi de la Bretagne du Haut et du Bas, chapitre 1
Le 11/05/2007par Hag
Deux semaines auparavant.
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Trop mâle cette quequette du Graal avec un zeste du Revizor et une goutte de Goldorak. Restons stoïque.
Je me suis tenu les côtes pendant environ tout le texte.
Une petite chatte dans un donjon c'est toujours réjouissant.
Ca part un peu dans tous les sens, c'est un peu plus hétérogène dans le délire que l'introduction, du coup en dévient plus réjouissant dans l'avalanche cartoonesque, mais avec une impression de débilité incontrôlée. Bref, je préférais le premier, plus homogène, moins lourd. Enfin c'est de la bonne rigolade quand même.
Le prochain sera surement plus homogène. Là ça m'a complètement échappé, puisque je ne savais pas vraiment où j'allais.
J'ai bien tripé aussi à mélanger les style (théatre etc).
Je préfère moi aussi le premier. Sur celui là, ça passe de la franche rigolade à la lourdeur assommante. un peu comme cette série sur M6 sur le même thème.
Me suis bien marré aussi, mais je vois pas une rubrique entière se tenir à ce rythme-ci.
Et puis le texte souffre de sa quasi-inévitable comparaison avec la série de M6. J'attends quand même la suite.
Je vois pas bien comment il peut souffrir d'une comparaison avec un truc aussi minable.
C' est sur, la laverie de famille c etait bien mieux.
Jamais vu la série sur M6. Ce texte est énorme, et il m'a semblé aussi bon que l'intro, malgrès les différences de style. La variété apporte au contraire une certaine fraîcheur à l'ensemble, à mon avis, une touche d'absurdité et de débilité pas déplaisante. Je me suis bien marré.
"machines à conner la mort"
J'ai ri.
Mais j'ai surtout ri pour le texte, c'est excellent.
Le mélange des genres en effet fait tout le comique à mon goût ; une simple parodie narrative aurait fini par être chiante. Là ça pète dans tous les sens.
En revanche ça sert strictement à rien, mais ça fait rire, y a rien à demander de plus.
"Magistral." (© Télérama)
hag je crois que je peux peut être t'aimer.
Toute relation sentimentale et/ou sexuelle, qu'elle soit virtuelle ou non, est facturée 12 euros la minute.
Eventuellement, on peut prévoir des tarifs de groupe.
Ca m'a plus fait l'effet d'un Monty Python & the holy grail que d'une quelconque série M6, personellement, ce qui est définitivement un point positif.
Ca me laissera certainement pas un souvenir inénarrable mais je pourais en lire des kilomètres, par contre.
Encore!
On m'a comparé aux Monty Python.
Ma vie est terminée, j'ai atteint un niveau inégalable que l'homme ne peut que rêver d'effleurer.
je vais donc me retirer dans une lamaserie en région parisienne, me consacrer au jardinage et à la méditation, et vous n'aurez jamais la suite de l'histoire.
Je m'inscris dans le groupe, rapport au tarif tout ça.
Ok, qui d'autre ?
Taxer au prix fort leur amour mutuel à des hippies ça a toujours été mon rêve.
Crise de rire
Oui ben moi aussi j'ai fortement pensé aux Monty Python. Et j'adore les Monty Python. Et j'adore le texte. Et aussi les lamaseries.
Bravo et j'attends la suite.
Je remarque avec joie que personne n'a relevé ma putain d'image que je me suis troué le cul à faire et dont l'humour fin colle particulièrement bien à la subtilité du texte.
Oh merde c'est vrai
Ah oui pardon.
L'image me fait beaucoup penser aux Monty Python.
Ah c'est de toi ça ? Putain c'est excellent ! J'en veux deux-cent de plus.
excellent.. je crois pas qu on avait déja fait le coup de la piece de théatre. c est vrai que cest plus décousu que le premier mais le coup de la chatte et aprés d'excalibur supergland , on s'y perd mais ça fait du bien.
Mais putain, Hag !
D'habitude je lis sans commenter mais c'était obligé : Hag, tu m'as trouée ! Dans tous les sens du terme (et oui, c'est moi qui contrôle tous les téléphones roses d'Europe et d'Asie !).
"Hag, tu m'as trouée ! Dans tous les sens du terme (et oui, c'est moi qui contrôle tous les téléphones roses d'Europe et d'Asie !)."
Ah ah ah ah ah ben non en fait.
Je t'ai pas dit de rire, c(z)onnard.
Et toi je te rappelle que t'es morte alors va crever dans ta merde, pute.
Je t'emmerde, enculé.
Non mais il avait raison en fait.
C'est quoi ce melange de theatre et de cinema, c'est n'importe quoi, et lourd. C'est dommage c'etait bien jusqu'a l'arrivee du "gros plan".
Et ca finit en RPG en plus, histoire d'ajouter a l'inconsistence une facade d'unite artistique.
J'ai bien aime l'aneantissement de super-joseph par force rouge ceci dit.
C'est aussi drôle qu'un épisode de Camelote sur M6.
Ou CTB, aussi.