Tandis que l’auteur tentait désespérément de meubler pour écrire un article de taille conséquente, Paul continuait de rentrer chez lui, mais n’était pas au bout de ses peines.
- Ben Paulot ! C’était Pierre (Oui je suis mauvais pour trouver des prénoms, et alors ?), un bon ami de Paul.
- Pierre ! répondit Paul, et dans sa voix résonnait toute la joie de trouver une présence amicale (C’est pas vrai, mais je dois rendre l’article pour aujourd’hui, rapport à la Saint Con.).
- Mais qu’est-ce que c’est que ça ?
- Hein ? (Vous avez peut-être déjà compris, vous avez lu le titre)
- Fumer en public ! T’es dingue.
PAF ! Direct au menton. Fallait pas faire chier Paul.
Là, Paul avait grave les boules, et c’est furieux qu’il se rendit au poste de police. Après les formalités diverses et les engueulades habituelles, Paul parvint au bureau d’un officier. Le problème, c’est que l’officier en question était plutôt du genre « j’en ai rien à foutre de tes emmerdes, je préfère dormir ». Il avait un gros bide, une moustache et l’air d’un chat de salon qui aurait beaucoup trop mangé. La tâche s’annonçait difficile.
- Je suis victime d’une conspiration.
- Hmm ?
La tâche s’annonçait TRÈS difficile.
- Voilà, je rentrais chez moi, tranquillement, j’allume ma clope et là ...
- QUOI ? rugit le policier, ce qui avec sa tête de chat lui donnait un drôle d’air.
- Ben là il y a une vieille qui ...
- Mais vous n’avez pas honte ?
Là, Paul en eut marre.
- Bon écoutez, j’ai le droit de fumer non ?
Le flic ne se laissa pas le temps de répondre et sauta sur le pauvre fumeur. Il n’en fallait pas plus à Paul, qui se défendit avec toute la sauvagerie possible. Ce qui était peine perdue, car les hurlements du matou avaient rameuté tous les policiers environnants, ce qui fait un beau nombre puisqu’on était dans un commissariat. Maîtrisé puis attaché, Paul fut mené en place publique afin de procéder à son exécution.
- A mort ! Au bûcher ! hurlait la foule, ivre de rage et de whisky.
- Crevez, malades ! répondit Paul, pas content du tout car il n’avait pas eu sa part de whisky.
- Bourreau, fais ton office ! cria l’officier, plus gras que jamais. Le bourreau, comme on le lui avait demandé, mit le feu au bazar, et Paul commença à sentir le roussi.
- Hé, mais ça sent le roussi. (Je vous l’avais bien dit) dit-il.
C’est alors que Godzilla surgit de derrière un immeuble, écrasant une partie de la foule au passage (oui là ça part en couille, mais d’une part on m’a averti de la saint con un peu tard et d’autre part je commence à être à court d’idées. De plus, j’aime beaucoup les lézards.). Et maladroit comme il est, l’espèce d’iguane renversa le bûcher sur la foule brûlant tout le monde.
Et ils moururent dans d’atroces souffrances.
Moralité :
1) Fumer nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage.
2) Si vous vous demandez quel est le con de cette histoire, ben c’est moi.
3) Celui qui lit cette phrase est un con.
C’était un mardi matin, Paul fumait tranquillement sa clope, à l’aise, tout en rentrant chez lui lorsqu’il fut interpellé par une vielle dame.
- Dites moi jeune homme, vous n’avez pas honte
- Ben quoi ? répondit Paul, parce qu’on va pas se laisser enmerder par les vioques sans raison quand même.
- Votre machin là au bec, c’est honteux ! dit-elle avec une expression outrée, qui lui donnait plus un air de bouledogue qu’autre chose.
- Mais qu’est-ce tu viens m’emmerder la vieille ? (Paul est jeune et violent, je vais pas écrire en bon français juste pour vous faire plaisir non plus.) Prenant un air le plus digne possible, la pauvre dame se résigna à passer son chemin, ce qui prouve que lorsque le besoin se fait sentir, je suis tout à fait capable de produire un français acceptable. Mais revenons à nos fumées.
- Dites moi jeune homme, vous n’avez pas honte
- Ben quoi ? répondit Paul, parce qu’on va pas se laisser enmerder par les vioques sans raison quand même.
- Votre machin là au bec, c’est honteux ! dit-elle avec une expression outrée, qui lui donnait plus un air de bouledogue qu’autre chose.
- Mais qu’est-ce tu viens m’emmerder la vieille ? (Paul est jeune et violent, je vais pas écrire en bon français juste pour vous faire plaisir non plus.) Prenant un air le plus digne possible, la pauvre dame se résigna à passer son chemin, ce qui prouve que lorsque le besoin se fait sentir, je suis tout à fait capable de produire un français acceptable. Mais revenons à nos fumées.
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"Pas très construit, pas très écrit. Bienvenue à l'arrière du peloton 2007."
Celui qui lit ce commentaire est un con.
Et merde.
C'est tellement débile que je ne peut qu'apprécier, même si l'écriture est vraiment mauvaise.
Il y a ici une cabale contre les lapins !
Bon, pour faire plaisir à Glop-glop, je signale quand même que moi j'ai trouvé ça très drôle.
En fait c'est tellement naze que c'en est tout à fait génial. Bref, ma gueule.
Très faiblard comme humour.
C'est du genre "tiens, j'ai fumé ma clopette". Une pause et hop on remet ça. Et hop je vais refumer un clopiot et ....
Au fait , t'as pas du feu ?
FUMER REND PRODUCTEUR DE JAMBON
Hahahahihihihohoho. C'est hilarant (de la baltique).