Moi j'ai pas vécue dans les cités, ni dans les grandes villes... mais une cité dortoire où quelques jeunes font parfois les cons, rien de bien méchants. Juste assez pour que le jour où on aille ailleurs on sache ce qu'est une voiture brulée. C'est plus de la culture ou de l'information que de la délinquance.
Chaque jour je voit c'est gens à qui je ne ressemble pas qui me cotoie sans chercher à aller plus avant, fort de ma différence et heureux de leur laisser la leur. Je les voient se battre pour des pacotilles comme si la vie n'était qu'une futilité pour eux et je ne peut m'empecher de les mépriser un peu et de ne voir dans la multitude des êtres qui ne me ressemble pas que des gens sans conscience, et incapable malgré eux de m'égaler.
Je ne suis pas un crack pour les cours, un génie de l'informatique, un playboy invétéré... non mon truc à moi c'est de penser. Je pense, je réfléchit, je cogite sous toute les déclinaisons possibles, si bien que les rouages de la pensé n'ont presque plus de secret pour moi et que votre ésprit m'est presque ouvert. Le votre, le leur... tout ces ésprits étriqués incapables de ne penser à autre chose qu'à ce qu'il est définie de penser pour leur âge, époque, sexe!
Tout le monde aujourd'hui pense savoir manipuler les autres, car aujourd'hui il faut du charisme pour survivre c'est comme sa, la loi de la foule là décidé. Mais moi, l'ombre je la vois. Cetteombre béate qui avale la multitude, mais elle est immobile, c'est la multitude qui se cache dans l'ombre comme si la lumière finalement l'éffrayé et je voit la marque de cette ombre sur chacun de leur ésprit, cette marque sombre qui réduit leurs facultés qui les rends idiots, comme si le troupeaux de Dieu avais une vrai signification, loin des métaphores.
Mais ce matin dans la cité dortoir une nouvelle à secoué l'ordre dans lequel je vivais, enfin l'ordre, ce n'est pas un ordre commun, mais mon ordre celui que j'ai établie moi avec mes règles, garantes de celles de la société jusqu'au point ou il n'est plus dérangeant de ne plus les respecter et en respectant d'autre qui n'appartienne pas à la société ou je vie. Cette ordre vascille doucement... il n'est pas en danger, non loin de là, il est juste en suspend. Il écoute les battements de mon coeur, sa vie en dépend puisque moi seul fait vivre cette ordre unique. Et dans mon ésprit une autre ombre danse devant mes yeux, celle d'un homme allongé sur le sol, un homme que la vie a quitté. Cet homme c'est mon père, mais devant la différence qu'il as fait naitre ainsi entre lui et moi je ne peut m'empecher de le méprisais un peu, de voir sur lui la marque de l'ombre ou s'enfonce toujours un peu plus cette humanité que je repousse.
Pourtant ce matin dans l'ombre de mon père j'ai vue quelqu'un... ce quelqu'un c'était moi, etj'était dans l'ombre... l'ombre de mon père... et de me voir dans l'ombre je n'ai pas put m'empecher de me mépriser un peu. Alors j'ai sentie sur mon coeur une vague sombre que je n'avais jamais remarquée,mais qui était là,maintenant je m'en rend compte, depuis bien longtemps déjà. Pourtant elle était différente, peut-etre parcequ'elle annoncé quelquechose de nouveaux.
LA ZONE -
Ce matin j'ai vue une ombre. Ce genre d'ombre qui ne fait pas peur parcequ'on en voit tout les jours, un peu comme celle des nuages.
Pourtant elle était differente, peut-être parcequ'elle annoncé quelquechose de nouveaux.
Pourtant elle était differente, peut-être parcequ'elle annoncé quelquechose de nouveaux.
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Vous avez quoi contre les belges karatékas?
J'peux savoir?
"Cet homme c'est mon père, mais devant la différence qu'il as fait naitre ainsi entre lui et moi je ne peut m'empecher de le méprisais un peu, de voir sur lui la marque de l'ombre ou s'enfonce toujours un peu plus cette humanité que je repousse."
tu as quoi contre la langue française ? je peux savoir ?
J'ai lu une ombre.
C'est con, sans les fautes d'orthographes le début serait passé assez bien. Ca reste quand même super maladroit et j'ai vraiment dû forcer pour terminer.
D'ailleurs je suis pas sûr d'avoir compris grand chose à la fin.
La photo va tellement bien avec le texte.
Le texte est tellement pathétique.
Le pathétique émeut tellement vivement et profondément, notamment par le spectacle ou l'évocation de la souffrance.
La souffrance de l'auteur est tellement palpable.
La palpation est tellement agréable.
Surtout celle de mes testicules.
Et au goûter, ça donne quoi ?
Je savais bien que ces enfoirés de timides qui l'ouvrent jamais sont en réalité de putain de megalos qui s'assument pas et qui complotent contre ceux qui s'exposent en ricanant depuis leur banc de touche... Perso, quand j'en croise un comme çà, je n'hésite pas à lui asséner un bon coup derrière la nuque et je vous encourage à faire pareil de manière préventive.
Je vais de ce pas me foutre un bon coup sur la nuque.
Sinon texte sympathique mais mal présenté (orthographe et lourdeurs).
commentaire édité par Hag le 2007-3-10 15:33:28
C'est nul à chier. C'est presque admirable de connerie crasse. On croirait entendre le bruit de l'eau dans la valve d'un pétoncle. Y a rien, là-dedans, et ça fait rien, du tout, à la lecture. Et je ne parle pas de la langue française et du monstre qu'elle devient là-dedans, sinon je vais commencer à trembler de partout.
Mention spéciale, quand même, à "non mon truc à moi c'est de penser. Je pense, je réfléchit, je cogite sous toute les déclinaisons possibles, si bien que les rouages de la pensé n'ont presque plus de secret pour moi et que votre ésprit m'est presque ouvert. Le votre, le leur...".
Qui m'a causé un fou-rire indescriptible. J'ai souillé mon slip et mon écran.
J'ai pas lu le texte mais j'ai envie de dire a Saoc que depuis que j'ai lu ses extraits de conversations avec Nihil j'veux bien lui donner mon adresse msn pour qu'on devienne de cyber amis.
Ah ça y est j'ai lu le texte.
Bon le style est très approximatif et l'orthographe est désastreuse mais y a du fond je trouve.
Enfin si j'ai compris l'idée moi j'ai plutôt bien aimé.
J'ai aussi l'impression qu'il y a quelque chose d'enfoui sous ce tas de merde. Une impression sans doute. L'idée qu'on est seul et que les reste de nos contemporains n'ont aucun existence réelle, hormis peut-être sous la forme de nuisance. Ca passe tellement mal à travers le brouillage du style de nain et de l'orthographe aléatoire que j'en viens à me demander si je me fais pas des idées.
Je crois surtout que t'as forcé sur le bédo et que ça te rend un peu trop optimiste. Le texte présente la vieille idée de merde préado selon laquelle l'humanité entière, prise comme un bloc parce que le mec qui prétend "penser" est trop con pour distinguer, est aliénée ; par quoi, le mec sait pas, parce qu'il est con et aussi parce que c'est une simple impression, alors il appelle ça "ombre". Ledit mec étant censément le seul individu lucide au monde. Le problème c'est qu'à la fin il s'embrouille total, il change de définition, juste pour amener un pauvre paquet de pathos, avec son HaaAaAn mOn pAAaApa Il é MooRt.
Point.
Vous me trouez le cul, à chercher une valeur à un texte nul comme un castor.
Je confirme. Genre de texte à lire le dimanche : chiant à crever.
J'ai pas vu ça comme ça.
Ce qui m'interesse dans ce texte c'est la contradiction (voulue ou non) du personnage qui se croit supérieur et unique mais qui admet que tout le monde pense la même chose de soi. "Tout le monde aujourd'hui pense savoir manipuler les autres"
Dans toute la première partie, le perso dénigne l'humanité blablabla et à la fin, il se reconnait dans l'ombre de son père, donc dans l'ombre de l'humanité, il admet donc qu'il est comme les autres.
Et ce que je trouve bien foutu dans ce texte c'est que c'est pas ammené lourdement du style "Et au final je m'apperçu que je ne valais pas mieux que cette humanité pourrie" mais que c'est plus subtil.
Même si tout le style pourri autour abime pas mal cette subtilité. Mais j'ai pas vu dans l'allusion au père une dose de pathétique larmoyant.
En même temps là j'écoute Indochine et j'trouve ça vachement bien donc je sais pas si mon avis à une quelconque valeur. Et puis je me demande bien pourquoi je tente d'analyser un texte à la con avec autant de fautes d'orthographe.
Ca y est, une fan de plus d'Indochine. Dans ton cul Gloups. Nous vaincrons.
"Je ne suis pas un crack pour les cours..." Franchement s'en est presque à pleurer de rage toutes ces fautes...
C'est "encolérant"...
Avec ce que tu fais de la langue française, je prends le droit d'inventer un mot.
Je vais même présenter des excuses à mes yeux pour ce supplice de lecture qu'ils viennent de subir.
Et non (merci aem) je ne commenterais pas un texte avec autant de fautes.
Même pas honte ?
Ouais mais dans sa dernière phrase je sens comme une remise en question ; cet enfant n'est peut-être pas tout à fait perdu.
Je remettais plutôt en cause mon avis sur ce texte, pas ma passion pour Indochine en fait.
Chaque jour l'humain me prouve sa laideur irrémédiable.
C'est parce que tu as de la merde dans les yeux.
aem mon msn ets dans mon profil forum.
Enfin l'un d'eux... Mais y parait que je suis assez chiant comme gars.
Du reste merci pour l'analyse du texte, faudras que je cherche pourquoi y'as que toi qu'à trouvé l'idée.
Parce que j'écoute Indochine.
Je fais parti d'une catégorie d'êtres suprémement supérieurs.
Putain ça tourne au site de rencontres, ces commentaires.
asv, t'aimes Indochine, t'as compris mon texte, Ecris-moiiiii !
Moi non plus j'ai rien pigé, donc je me suis fait chier, et puis l'élément du père qui arrive comme un étron de basset sur un tapis de billard... j'aime pas ce que je comprends pas,et puis l'excuse ultime pour dire ce ce texte pue un peu la merde :
"Je pense, je réfléchit, je cogite sous toute les déclinaisons possibles, si bien que les rouages de la pensé n'ont presque plus de secret pour moi et que votre ésprit m'est presque ouvert."
Ouais, merci les chevilles, si tu veux on te laisse t'éjaculer au pif tout seul.
Ouais, bon, d'accord. Super mal écrit et bourré de fautes. Surtout, c'est totalement inachevé. Ca s'arrête à un moment où il faudrait développer.
A part ça, ce texte charrie des thèmes intéressants et avec beaucoup de sincérité. A revoir, parce que y a matière à faire un beau texte.
Étonnement, dès le départ on sent qu'il se sent différent.. ou bien.. qu'il aimerait tellement l'être...
et plus l'ombre du père se défini, plus il s'y reconnait. C'est dans les dernières lignes
''Mais ce matin dans la cité dortoir une nouvelle à secoué l'ordre dans lequel je vivais''
Il réalise qu'il se reconnait en son père.. et.. ca l'effraie ou bien le sidère.
''Cet homme c'est mon père, mais devant la différence qu'il as fait naitre ainsi entre lui et moi je ne peut m'empêcher de le méprisais un peu''
Et là, son père il le voit mort; il souhaite sa mort? Néanmoins, il est clair que sa relation avec lui est loin d'être excellente et un ravin les séparent.
Et encore... il se reconnaît
''Pourtant ce matin dans l'ombre de mon père j'ai vue quelqu'un... ce quelqu'un c'était moi, etj'était dans l'ombre... l'ombre de mon père... et de me voir dans l'ombre je n'ai pas put m'empecher de me mépriser un peu''
En se reconnaisant dans son pèe, il se déteste, ou du moins, déteste ce qui le fais penser à lui... quelque chose qu'il n'a pas aimé?? Mais quoi???
Et au final... parce que à mon sens la suite pourrait nous éclairer largement sur ce dilem intérieur qu'il vit et ce qui semble le faire frémir, il note une différence...
''Alors j'ai sentie sur mon coeur une vague sombre que je n'avais jamais remarquée (...) Pourtant elle était différente, peut-etre parcequ'elle annoncé quelquechose de nouveaux. ''
Quelque chose de nouveau.. un changement? Une différence? Une nuance d'avec son père? Ou simplement un changement en lui qui le fait se rapprocher de ce monde dans lequel il vit??
Bref, la suite de a réflexion puisqu'il réfléchit beaucoup !!! pourrait confirmer ou infirmer ce qui se ressent à travers les lignes. Sincère, je crois que si.
( Et.. je suis étonnée de lire des commentaires de branlette alors que le texte dénoté clairement
''Le votre, le leur... tout ces esprits étriqués incapables de ne penser à autre chose qu'à ce qu'il est définie de penser pour leur âge, époque, sexe!''
C'est presque hilarant que ça concernait quelques lecteurs. Allez abaissez-vous et poursuivez dans cette voie. Je dis ca, je dis rien!! )
Tu suces ? T'avales ? Tu aimes qu'on te chie dans la gueule ?