Elle était timidement douce, agréablement naïve et je suis un pervers. Rapidement elle a succombé : le meilleur moyen de violer n'est pas la violence, c'est la douceur. Elle nimbée de sa douceur et moi arborant mon hypocrite douceur. Douceurs qui lui ont volé sa virginité : je l'ai retournée, dans toute sa douceur, elle s'est laissée aller à la folie du moment. Elle paye aujourd'hui le prix de sa naïveté.
Je suis le dernier des enfoirés. Aucun scrupule, elle s'est vendue à moi. Le prix de ses consultations était le mensonge. Et c'est elle qui paye aujourd'hui, bien plus cher ; que dis-je, chair. Chaque jour qui passe, elle paye, elle s'enfonce, veut m'oublier ; me haïr, non, bien sûr, ce serait pour elle le pire. M'avoir dit "je t'aime" si souvent...elle a fait tout ce rien qui consistait à me croire, à avaler, en plus du reste, mes propos subversifs.
Conne ? Non. Enfin si. Mais c'est surtout que je suis fort. Très fort. Car vous ne le savez pas, mais elle est deux. Deux êtres de chair à avoir perdu la même chose, en même temps : leur innocence. Pourriture de leur imagination : elles sont mortes d'avoir perdu ce qu'elle n'avaient pas. Quelle ironie...
Pour oublier, elles donneraient bien plus que ce que je leur ai pris. Mais elles ne peuvent plus. Elles sont prisonnières d'un passé que j'ai provoqué.
Tous ces mots, montés de toutes pièces, tous ces mensonges ignobles noyés sous mon immonde douceur, elles les ont avalés, que dis-je, gobés. Et la digestion est difficile.
Je ne m'excuserai pas : du début à la fin, c'était là mon seul but. Gagner leur couche et les pervertir à n'en plus finir, les persuadant, ou elles se persuadant toutes seules, qu'elles souhaitaient cela.
Oh oui, j'ai été fort. Mais le plus fort, c'est que je n'en paierai pas le prix : la seule morale qui existe est celle qu'elles se sont imaginée. Elles se sont perdues elles-même, en plus de leur dieu, leur ego et leur estime.
Et je recommencerai, encore et encore, jusqu'à ce que quelqu'un m'arrête ; peut-être. Mais qui peut condamner pour ce qui n'est pas un crime ? L'Homme disjoncte et je suis heureux de le pourrir un peu plus.
Je vous hais de tout mon répugant amour !
Vivement la prochaine poire.
LA ZONE -
J'ai bien entendu leurs propos, misérables : l'Amour est plus que du sexe. Mais l'animal est sexuel. Je suis un animal. Sans pour autant visiter tous les sanctuaires que ces dames nous offrent, j'oublie les désillusions sutpides nées de leur ego. La chair est soit un objet de perversion, soit un ensemble de tripes sanguinolentes prêtes à être éventrées.
C'est l'Homme et je suis homme.
C'est l'Homme et je suis homme.
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il a des remords le monsieur ? il a trempé sa bibite dans les chachattes des deux madames ? à mon avis çà parle plutot de main droite et main gauche...
Euh, j'ai pas trop aimé, et pour cause : j'ai eu l'impression de lire plusieurs fois la même chose, mais écrite à chaque fois de manière différente.
Sinon, je m'accorde avec LC : y'aurait un sens caché que ça m'étonnerait pas. De toute façon, avec les gonzesses, il y en a toujours. Mais les mains, ça, une main, c'est franc ! Sincère ! Émérite ! D'ailleurs, je vous laisse, je vais aller mettre de la sincérité un peu partout.
commentaire édité par Winteria le 2006-11-1 22:56:21
commentaire édité par Winteria le 2006-11-1 22:57:44
Je dois être vachement niais ou dieu sait quoi, mais c'est exactement le contraire de ce que je pense/prône. En tout cas ca reste correctement écrit et pas chiant a lire, mais j'aime pas.
Je ne pourrais pas mieux dire que lapinouchichoucha.
Et ne me remercie pas pour ce nouveau pseudo, je fais en sorte de t'intégrer dans ta nouvele famille pour le nöel à venir. Santé !
Bizarre le style de F. me fait penser à celui de Prototype Nucléique. Le fond aussi.
Du coup pour le sens caché c'est quasiment garanti...
Je ne cautionne pas le fond mais mis à part ça c'est pas mal.
Attendez, je capte pas, c'est quoi au juste sur le fond qui vous choque, toi ou Ariankh ? Je suis pas bien sur de comprendre.
Va expliquer a Dourak la supériorité du whisky sur le cognac, ca reviendra au même. Je suis un bisounours.
Ca ressemble au dernier Jean Dormesson.
C'est chiant. J'ai l'impression de lire un blog.
Marvin, un 'bêtes de poisse', un !
Le whisky, c'est très bien, j'en ai toujours dans mon armoire à pharmacie. Dans toutes les écuries bien tenue, y a des provisions de whisky, d'ailleurs.
Le texte, je le trouve loin d'être irréprochable, on dirait du Caligula en prose sans pour autant constituer un progrès fondamental.
Mouais, c'est bien écrit mais c'est très très plat - heureusement c'est court. Je vois pas ce qui gène ariankh & co : y'a aucune explication, on ne sait pas pourquoi elle(s) devrai(en)t le haïr - mis à part le fait que ca a l'air d'être un type pas bien - et c'est ce qui manque, à mon avis.
commentaire édité par Aelez le 2006-11-2 20:53:57
Dourak, t'es chiant. Je rectifie donc en conséquence : c'est comme vanter les mérites du travail consciencieux a Homer Simpson. En face, il riera, mais au fond tu peux être certain qu'il mijote le renversement de cette société qu'il hait tant en corrompant chaque personne qu'il croise.
Enfin, si jamais il était intelligent.
Homer Simpson est goth ?
D'uh !
MOouais mouais, voilà un mec qui se parle à soi-même avec ses codes à deux balles, parce qu'il ne trouve pas d'ancien petit camarade pour jouer aux affranchis avec les vieilles références.
Il fait son caik tout seul, quoi, et alors? mmh? Bof.
M'est avis que la prochaine "poire" sera blette, ou macérée dans le whisky.
C'est court et c'est nul comme d'hab.
Mais en film ça rend super mieux je pense.
*miroir sale, chambre moite, ventilo au plafond qui tourne lentement, travelling sur motel de merde au texas*
*gros plan sur une gueule pas rasée*
- Ouaip. Dans le cul que je lui ai mis ma bite, tu vois...
(tire une bouffée sur sa clope imaginaire).
Ouaip.
Dans le cul.
*changement d'expression du visage*.
Et je suis trop rebel parce que ce sont trop des CONNES tu vois, ouais je leur ai MENTI !!!
*gros plan, sur l'ami intime du heros, un macaque qui vient tout juste d'obtenir sa license d'anthropologie:*
- Non Dr Lonch, c'est trop horrible cette histoire, je... je ne peux l'entendre en entier, succomber à une telle dose de haine nickiliste, c'est bien trop affreux.
*silence lourd de sous-entendus*
*retour sur John Mc_Phallon, le héros trop méchant*
- ha ah ah ah, plus personne ne peut m'arrêter ! TOUTES DES CONNES (rire démoniaque sur fond d'éclair striant le ciel trop dark)
*image subliminale de Benoit XVI.*
*ils s'enculent*.
*générique*
Sin city 2 ?
Non Stunt city...
dis donc Imax, pas mal! t'es bien inspiré, là.
J'ai pas trouvé ca trop mal moi. J'aime bien le fait, justement, que le texte reste ouvert sur différents possibles, qu'il ne soit pas trop explicatif.
On peut le relire plusieurs fois.
Dans cet ordre d'idée j'aurai préféré que l'auteur s'abstienne de tout commentaire.
Ce genre de précision "inspiré de fait réel" suggère une autofascination "regardez comment je suis c'est pas croyable", peut être pour donner du poid au texte, une gravité, un intérêt supplémentaire ou tout simplement pour contextualiser (quel impérieux besoin ?).
J'aime bien quand un texte parle de lui-même et laisse le champ libre aux imaginaires.
Alors j'ai pas besoin qu'un trou du cul vienne se coller devant moi avec son packaging à la con.
"Je vous hais de tout mon répugant amour !"... Franchement, ça, ça me donne envie de ricaner jusqu'à la fin des temps. Fallait pas.
Sinon, y a rien à faire, ça relève à la fois de l'amoncellement de clichés et de la vantardise de pré-ado dans les vestiaires. Sans être en rien particulièrement bien écrit.
Un peu comme les téléfilms de M6. "Inspiré de faits réels" on s'attend à quelque chose. Une histoire qui vaille le coup d'être racontée, surtout associée à des mots comme "perverse", "violence", "haine". Mais comme ces fameux téléfilms, on s'en veut de s'être laissé avoir par ce côté racoleur qui cache un grand vide (comblé uniquement ici par une écriture que je trouve plutôt sympa, car pompeuse - oui j'aime bien les trucs pompeux- mais qui m'aurait ennuyée s'il y avait eu quelques lignes de plus, parce que ça se branle pas mal quand même).
Monsieur a dépucelé deux connasses qui étaient amoureuses. Wouah. Heureusement que c'est juste "inspiré", sinon on aurait eu droit à la culbute avec Roberte le samedi soir ?
Bon je vous laisse, j'ai un texte à préparer sur mon grand retour à propos de la fois où j'ai raccroché à la gueule d'un mec qui voulait me vendre un abonnement téléphonique. Et il finira par "je vous aime de toute mon majestueux amour".
Je ne niearai aucunement le cuisant échec que représente ce texte. L'indicible honte d'avoir pu vomir une immondice pseudo-littéraire comme ça non plus. Et encore moins le caractère auto-fascinatif de l'ado prébubère qui semble se lire à chaque ligne.
Néanmoins une petite précision sur la supposée inspiration de faits réels. C'est bien le cas, mais le gouffre qui sépare les "faits" de ce... truc est le fruit d'une volonté , introspective et parfaitement inutile, d'exacerber à la limite du lisible l'origine (psychologique, je suppose) d'actes commis par l'auteur afin de déterminer si, oui ou non, son objectif inavoué, dès le début de ses/ces déboires relationnels, était purement égoïste et sexuellement intéressé, ou s'il s'agit simplement d'une matérialisation du célèbre et fort sage adage sur les bonnes intentions qui pavent le chemin de l'Enfer.
Ainsi, je renie amicalement ce texte en tant qu'objet fini, ou en tant que fruit d'une vraie reflexion psychologique et littéraire, et m'engage stupidement à l'imprimer et à le manger, car il faut bien que la merde retroune à la merde, c'est un fait.
Pour les quelques commentaires qui m'attribuent un style acceptable, je remercie les auteurs. Mais pas autant que ceux qui chient allègrement sur le-dit style qu'en conscéquence je tâcherai à l'avenir de rendre moins misérable, pour peu qu'ils acceptent de me faire part de quelques remarques constructives (en mettant à part les propos sur le contenu).
Je ferai en sorte de ne plus pondre de déchets de la sorte à l'avenir.
Cordialement, F. (qui aime ce pseudo, d'ailleurs)
En gros je résume, t'es depressif, masochiste, et t'écris mal parce que si t'écrivais pas aussi mal personne ne pourrait te traiter de grosse merde soumise et par conséquent tu en serais réduit à le faire toi même comme si dessus.
Grosse merde.
Elle était timidement douce, agréablement naïve et je suis un pervers. Rapidement elle a succombé : le meilleur moyen de violer n'est pas la violence, c'est la douceur. Elle nimbée de sa douceur et moi arborant mon hypocrite douceur. Douceurs qui lui ont volé sa virginité : je l'ai retournée, dans toute sa douceur,
Là dedans je vois 4 fois enchainé le mot "douceur" ou "douce". Rien que ça, ça me gave.
En tout cas heureusement que F.(falbala, fédor, félicien...tu as un prenom à la con que tu n'assumes plus, appelle au 0892256474 et demande Adélaïde) n'écris pas ses textes comme ses commentaires.
C'est peut être un exercice de style mais putain que c'est chiant.
C'est con, un texte court qui tourne en rond, non ? Ou alors c'est moi qui n'a pas vu la progression.
Ah non, Winteria aussi.
Oh ouais Moi, baisons sous la douche.
mais
mais
ton pseudo, c'est une incitation à l'auto-fellation !
Sinon, F., je suis au regret de t'annoncer que ton commentaire ne fait que prolonger ton texte : c'est chiant, c'est pompeux, c'est pourri quoi. Ça fait tapette. Voilà : tapette.
Sincérement, si tu veux pas te faire rapidement enculer par tout le monde ici présent, arrête de t'excuser et d'essayer de te justifier à chaque texte pourri que tu écris. Regarde moi. J'écris des bouses, mais ma rondelle est clean, inviolée.
Je confirme pour tes textes Winteria, mais alors pour ta rondelle...
C'est peut-être vrai, mais à vrai dire, j'ai un peu peur de vérifier.
Et puisque tu critiques mes textes, t'es plus mon copain !
commentaire édité par Winteria le 2006-11-5 21:47:31
Bon, ok, à Rome encule la Romaine, c'est ça l'idée ? Soit. Je vous emmerde chaleureusement pour les commentaires et en tirerai l'enseignement qu'il convient.
Quant au côté tapette, c'est moi et ma rondelle que ça regarde. Rondelle qui d'ailleurs, bien que labourée, se porte très bien.
Elle se porte très bien à l'annulaire en guise de chevalière, tu veux dire ?
grostesque...à non mais vraiment grotesque!
Aujourd'hui est un grand jour : je suis d'accord avec un invité anonyme.
Absolument aucun intérêt. Le hasard a voulu que je le lise après Naëlle, de Petitclaxon. Cocasse.
relu par hasard et toujours aussi cyniquement abominable.
*envie de détruire le crane de F à la clé dynamométrique*
la photo invite à la relation sexuelle
Bien sûr, t'es arrivé par hasard, c'est pas du tout à la suite d'une recherche pitoyable sous Google que t'es tombé sur ce texte. Et la vilaine image t'a filé la gaule.
Pauvre de toi.
Désolés, hein.
Vas-y, Jo, dans la nuit vers l'amas zone.
Tiens, c'est amusant ça. Je poste un commentaire des siècles après avoir écrit le texte et apparement, je ne suis pas le seul à être repassé dessus à ce moment là. Vraiment amusant. Je m'amuse.
"Vas-y, Jo, dans la nuit vers l'amas zone."
Vagis, joue dans la nuit avec le lama jaune.