- Tout le monde est là pour t’aider : les professeurs sont au courant, les surveillants aussi ; si tu as un malaise, ils s’occuperont tout de suite de toi.
- Et la cantine ? Si tout le monde est prévenu, ça va se transformer en gavage. Les oies, je les emmerde. Les humains aussi. J’irai pas bouffer leurs graisses sous leurs regards moralisateurs.
- La cantine, c’est prévu : une infirmière viendra te voir, et elle te fera manger selon les conseils des médecins. Tout comme ici. Rien ne changera, tu vois. Essaie, au moins.
- Je vais aller à part, avec mon infirmière, et bouffer de la merde sans goût, sur-protéinée, hyperglucidique, insipide ; je vais dire aux autres : « attendez, il faut que j’aille suivre mon traitement pour redevenir comme vous, parce que les médecins pensent que je suis une sous-humaine et que je dois rattraper votre niveau de merde et votre faiblesse. Les patates et le ragoût de cœur, c’est trop bon pour moi ». Va te faire mettre, papa.
- Tu sais très bien que les insultes ont cessé de marcher sur moi depuis bien longtemps.
- Je sais très bien que tu as perdu toute fierté depuis bien longtemps. Presque ta naissance. En tout cas, au moins dix ans.
- Tais-toi.
- Non. Tapette.
- Bon. N’essaie pas de détourner la conversation. Lundi tu iras au collège, comme les autres, et tu suivras les cours toute la journée. Le soir, on verra comment ça s’est passé.
- Lundi, j’irai au collège, puis j’en ressortirai aussitôt, quand tu seras parti, au pire à dix heures ; je me cacherai dans la ville, et le soir, j’irai près du canal, et je me vendrai à n’importe quel vicelard. Je refuserai le préservatif, j’accepterai tout pour quinze euros, au besoin je le suivrai chez lui pour la nuit ; il en aura pour son argent. Je lui montrerai combien l’intérieur des joues est tendu chez moi, comment il pourra sentir son gland à travers, en caressant l’extérieur de ma peau ; je lui ferai voir combien mes seins sont sensibles, aussi sensibles qu’ils sont inexistants, et comment les pointes réagiront à sa langue ; je lui…
- Tais-toi !
- je lui ferai toucher mon anus très tôt, très tôt dans la soirée, presque avant toute chose, en passant, en lui prenant sa main, sa main deux fois plus grosse et six fois plus lourde que la mienne, en laissant glisser son index sur mes sphincters, sans plus, juste pour sentir combien je suis serrée, combien je suis propre, combien je suis douce, combien mon cul est fait pour être violé, combien il ne sert plus depuis longtemps à rien d’autre, ou presque. Je lui ferai sentir très vite, en passant, pour qu’il imagine ensuite, pour laisser monter les phantasmes en lui, pour le préparer. Parce qu’il devra être dur, vraiment dur, pour me la mettre.
- Tais-toi tu n’as pas le droit !
- Je lècherai aussi son corps, surtout son visage, surtout ses joues et sa bouche, parce que ça me donnera la nausée, de sentir sur ma langue ces lèvres grasses et cette haleine d’alcool, et parce que ça lui donnera envie de faire de même, de me prendre, de me bouffer, de me sucer jusqu’à la moelle, et parce qu’en lui léchant la bouche, moi petite, lui très grand et très large, je serai à portée de ses mains, de ses doigts, pour qu’il me fasse ce qu’il voudra me faire. Je le grifferai aussi, pour lui montrer combien il peut se déchaîner avec moi, combien il peut me rendre au centuple mes égratignures. Pour tout, c’est moi qui aurai commencé. Je continuerai, je pousserai, j’inventerai, je l’exciterai, jusqu’à ce qu’il me dise une pauvre réplique comme « t’en veux hein salope », ou « tu la veux », ou « vas-y écarte maintenant », ou n’importe quoi ; alors je dirai les phrases les plus vulgaires, je les crierai, pour qu’il s’oublie et qu’il me détruise le plus vite et le plus fort possible. Je l’obligerai à m’enculer, après quelques mouvements ; puis je l’obligerai à jouir une première fois au fond de mon vagin. Je suis peut-être nubile, tu sais. J’espère. Puis il s’endormira. Puis je le réveillerai, en l’aiguillant avec mes ongles et en le branlant doucement. Et je recommencerai. Et je ferai en sorte qu’il me jouisse dedans, encore. Et encore. Et encore. Jusqu’à ce qu’il me jette à la rue ; à moins qu’il me garde chez lui jusqu’à ce qu’il m’ait finie. Une esclave sexuelle volontaire et qu’on n’a même pas besoin de nourrir. Le rêve.
- Tu es folle. Tu es stupide. Tais-toi. Pauvre conne. Tout ça pour un jour d’école.
- Mais mon pauvre papa, enlève tes mains de tes oreilles et écoute-moi, il est pas beau, le destin de ta fille ?
- Tais-toi. D’accord. Pas d’école. L’hôpital, et tu y resteras tant qu’il faudra. Enfermée ici et forcée à vivre comme JE l’entends. C’est comme tu veux. Tant pis pour toi.
- Ah, nous y voilà mon petit papa. Va te faire mettre, à présent. J’ai un médecin à sucer.
- TAIS-TOI !
- Tu pourrais y retourner.
- Non.
- Si, tu es presque capable de marcher seule et de te débrouiller ; tu pourrais essayer.
- Je ne veux pas.
- Non.
- Si, tu es presque capable de marcher seule et de te débrouiller ; tu pourrais essayer.
- Je ne veux pas.
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Bordel, j'étais persuadé qu'on disait "fantasme", et que tu étais un putain d'illettré.
En fait, je suis juste un connard d'ignorant. Mais moi, au moins, je ne suis pas juste un numéro.
6 6
Avec le s final de DTCS, ça marche, pauvre con.
Tu as peut-être remarqué que je parlais de vagin ^^. Les garçons ont un pénis et les filles ont un vagin. Alors "une putain d'illettrée espère de SAM+LOPE DE PUTE
Si vous trouvez sexiste de donner un nom de femme à un ouragan ravageur, c'est que vous n'avez jamais vu de femmes se disputer une robe un jour de soldes.
Salope.
Ça sent la phrase toute faite que tu cherches à placer depuis des semaines, ça.
Bon oui. Alors les textes de 222 j'arrive jamais à les terminer. En fait ça m'endort moi. Putain je sais pas, au bout de 3 ou 4 phrases je commence irresistiblement a décrocher et puis très rapidement je me rend compte que je continu à lire tout en pensant à autre chose donc j'essaie de me reconcentrer mais ensuite j'ai l'impression que ça va être chiant au possible, difficile à suivre, compact et morbido-fasciné. Alors le coté euh...trashy/sordide pourrait me retenir, m'exciter.Ben là non.
Au final les textes de 222 ressemblent aux statistiques du foot. Demandez-vous qui ça interesse.
- Dédicace à tout les bouts en trains et aux joyeux lurons, parce que moi j'suis trop deg' de la life tu vois -.
Quelqu'un ecoute James Brown sur ce site ? Allo ? Toc toc !
Winteria : ça vient des Simpsons, dégénéré.
Soit. Je m'incline devant tes références culturelles.
je découvre l'érotisme anorexique
La première partie, d'accord avec nihil, c'est du Hélène et les Garçons version slim superfast. La fin, j'aime quand même bien, ça redevient méchant. Juste de la méchanceté plus psychologique que verbale. Le milieu, j'avoue qu'il m'a causé une érection, oh, rien du tout, hein, si ça se trouve c'était le vent sur mon gland, croyez pas des choses.
Bah, c'est bien de faire un peu varier le ton et le thème dans cette série, sinon on commencerait à sérieusement s'emmerder. Moi, j'ai apprécié, et sans brise automnale sur le bout du gland. Elle arrive quand, bordel, cette scène d'inceste ?
Remarque, je dis ça, mais le ton ne varie pas vraiment, ça reste cohérent, quoi, qu'on ne me fasse pas dire ce que je ne dis pas, sinon on verra toujours ma résolution farouche se dresser, prête à faire face aux hordes pestilentielles de la calomnie.
S'il y a une suite ça va, car bon début sinon je prefère celui de lapin
Lemon, t'es dur là
Bonne bourre, hein, m'dame.
Oh la conne que je suis, me suis trompée de crayon
*va se coucher*
Lemon est toujours dur mais c'est le texte de lapin que je préfère à celui de Lemon.
*va s'exiler*
Mais euh... On n'est pas sur un texte de 222, là ?
Putain Astarté, tu t'auto-fumes les neurones, là, c'est grave.
Putain Glo, je suis remontée pour voir, j'ai cru un instant que mes neurones avaient explosées.
PS : c'est bien Carcassonne ?
(je sais pas si c'est un ou 2 n)
Le racontage de vie c'est dans le forum ; ici, c'est le comptage de rats morts.
7.
T'as oublié ta bite.
voici un commentaire constructif :
c nul
Pas du tout, voici un commentaire c nul :
// const struct if
Pareil que Gloups pour le commentaire. Sauf pour l'érection. J'arrête la lecture pour ce soir je me trouve vachement trop euphorique. Bonne année !!! Youpi.
Mais ça me donne envie d'être anorexique si c'est pour se faire baiser comme ça!
Commençons par le début : tu suces, t'avales ?