BIGCHIEF
OuaaAAAAAAAÏE BORDEL ! Ma cheville ! Oh putain !
*flaf*
AAAAAAAAH ma gueule putain, c’est quoi ça, ça brûûûûle !
*fliiiiiiitch*
Gniaaaiiiiiiirch connard de tapette en bois c’est quoi qui m’a cramé les mains put-
Oh ho.
*sblaourf*
J’y vois plus rien. J’ai mal aux mains, au visage, j’ai encore le foie en compote d’avoir amorti le lourd du cul. Je rebondis sur une plaque de métal, je me tamponne encore le coccyx au passage, mais je parviens à rebondir. Je remonte de toutes mes forces, en essayant de me débarrasser de cette saleté de pâte à pizza sur les yeux. Après deux brasses, je prends un coup de pied sur le crâne. Je ne suis pas seul dans cette cuve de, de quoi, de, je, je ne veux pas le savoir. Je me débats contre le pied, qui s’agite en tous sens.
Tout à coup une sorte de vortex me vrille les jambes et la taille. Le fluide bouge ! J’ai une impression d’aspiration, je fuis à nouveau vers le fond, putain mais merde ! Je nage, mais rien n’y fais, je descends. Mes jambes passent dans une sorte d’entonnoir au fond, et m’aspirent à leur suite. Je tourbillonne sur moi-même, incapable de réagir. Puis un virage ; je me cogne aux parois du tube, m’arrête ; une masse corporelle me frappe comme une brique de Labyrinth, j’avance jusqu’au prochain virage, où je me cogne, puis la masse virevoltante revient me pousser, j’avance, et ainsi de suite. Je retiens ma respiration de toutes mes forces. Tout à coup, le tube s’élargit en une sorte de chambre tubulaire plus large, avec une membrane souple au fond, contre laquelle je m’arrête. Elle est apparemment divisée en deux par une fente pour le moment fermée. Le corps en mouvement, qui donne toujours des coups de pieds en tous sens, me tombe sur le dos, à travers le fluide tiède. Une seconde, nous restons plaqués contre la membrane. Puis une nouvelle masse nous frappe dans le dos, et immédiatement après elle, une dernière, bien plus violemment, bien plus lourde. Sous le choc de la dernière offensive, la membrane cède, s’ouvre selon la fente, et nous libère en chapelet, pris dans un jet de fluides immondes.
***
KIKOOLOL84
Aaaaah par AdminBot le Saint, je suis aveugle !
Je barbotte péniblement dans une mare de vase séminale, tentant de démêler le haut du bas, et la lumière blanche qui me frappe mes yeux est atroce. Nous voilà tombés bien bas. Je me ramasse des grands coups de coude dans le bide et dans le dos, tandis que mes collaborateurs tentent de défaire les noeuds qui nous lient. J’avais d’autres ambitions dans la vie que de finir dans un canal spermatique à faire du catch à quatre contre des handicapés moteurs. Que mon nid douillet me semble loin. Si Preacher continue à me fouailler ainsi le cul à coups de moignon, je vais finir par tomber amoureux de lui. Ou lui faire bouffer ses deux bras avec les poignets qui ressortent par ses naseaux de pieuvre. Ca c’est sur que ça se vendrait cher à l’Expo d’Art Moderne Virtuel de Deviantart.com ! Enculé va. J’aime pas qu’on me fasse des bisous avec les dents.
On finit par se désentraver péniblement et mes yeux s’habituent peu à peu à la luminosité excessive. Par AdminBot, mais… Mais il fait froid ! Une sorte de souffle de ventilateur géant vient grumeler ma douce peau satinée de bébé sensible à ces assauts démoniaques. Quel est donc ce monde ? Je veux ma couette… Il y a quelques heures encore, j’aurais parié que le monde n’existait pas et que le labyrinthe de la tour Parthénon s’étendait à l’infini dans toutes les directions. Et me voici grelottant et poisseux de sperme au centre d’une vaste plaine désertique, dans un égout à la con bordel de pute pianiste. L'extérieur ! L'univers ne se ramifie donc pas uniquement en couloirs tapissés de moquette murale, il ne se morcelle pas simplement en micro-appartements individuels, il existe également des zones dites "en plein air". Chapeau aux concepteurs.
Mon regard s’arrête sur l’énorme canalisation qui nous a éjaculé à l’extérieur, je veux dire dans le vrai monde extérieur, et qui plicploque encore de sperme. Akaiô a déjà repris ses esprits, du moins si l’on peut dire, puisqu'il danse sous la canalisation, sous les giclées catarrheuses en glapissant d’une voix de petit enfant joyeux : « oh oui, lave moi de mes péchés, Papa ! Apprends-moi la vie ahahah ! ».
Preacher émerge difficilement de l’égout à sperme en ululant, les yeux bien fermés, et se cogne contre chaque obstacle. Je m’assieds à coté de Bigchief : il est étendu au sol, les mains croisées derrière la nuque. Je lui caresse gentiment la tête. Il est très beau, très calme et sa présence me rassure. Il contemple le ciel nuageux, fasciné :
- quel superbe écran de veille… Je veux télécharger le même.
- c’est le ciel, Bigchief.
- oui… Le Ciel25XA, dernier né de chez Skytronics. J’aurais jamais pensé qu’ils sortiraient un écran de plus de 30 pouces. Salauds de capitalistes.
- c’est un modèle d’expo.
Nous partageons un instant d'émotion commune. Gentille peluche, oui tu es une gentille peluche, mon Bigchief adoré. Maintenant que nous avons été ensemble moulinés par un mixer géant à sperme, rien ne pourra plus nous séparer. Tu me rappelles tant mes amis en peluche. Mon ourson adoré Barnabé avait perdu ses yeux, et je l’aimais tant pour ce handicap qui faisait de lui un pauvre diminué tributaire de mes quatre volontés. Je dois... Je gûûû... Il faut que j'arrache les yeux de Bigchief pour lui prouver mon amour. Akaiô continue à sautiller bêtement en rond sous sa douche de sperme gluant. Je suis pas sur qu’on va s’en sortir vivant. Je colle mes doigts crochus dans la gueule de mon nounours adoré.
- Arrête de gigoter, Barnabé ! Je vais faire vite, ce n’est qu’un mauvais moment à passer.
Bigchief glapit comme une putain de truie éventrée et m’envoie des grands coups de poing dans la gueule. J’immobilise son nez avec les dents. Je lui crachouille amoureusement :
- C’est pour ton bien, mon petit ours préféré. C’est pour NOTRE bien. Je vais être heureux, et ton bonheur ne dépendra que de mon bon vouloir, enculé. Tu ne vivras que si je le décide.
Je l’inonde de ma salive corrosive pour lui anesthésier la trogne.
Akaiô hurle pour couvrir nos délibérations amoureuses :
- Libère-moi de mes entraves, ô Père ! FOUS-MOI EN PLEIN LA POIRE CONNARD !
Près de nous, Preacher a enfin ouvert les yeux. Il me voit sur Bigchief, en train d’essayer de lui immobiliser le tête, et cette vision inqualifiable le tord de colère. Il se rue sur moi pour me faire lâcher prise, se servant de son avant-bras cassé comme d’un fléau d’armes. Il le fait tournoyer autour de son articulation détruite et m’en fout des grands coups dans le dos. Barnabé échappe à mon étreinte et s’enfuit en se tenant la face. Je l’entends hurler :
- lA sAliVe tRaNsM3ts pL3iN de mIcRoBeZ ! sE faiRe aRr4cHeR lEs y3Ux EsT nUiSiBl3 A lA s4nTé !
- Barnabé ! Reviens bordel de merde ! On va s’aimer ! Sur une étoile ! Ou sur euh… un oreiller ! Au fond d'un train, ou dans un vieux grenier !
- Fumer TUE ! Fumer provoque le cancer mortel du poumon ! La vie est une maladie mortelle Ouaaargh ! Je vais rejoindre le ciel Kikoolol, et ni toi ni les maladies ne sauraient m’en empêcher !
- Mais reviens caupin !
Alors que Preacher tente de faire fusionner son bras cassé avec ma gueule, Akaiô, à quatre pattes devant le gros tuyau se fout des grandes poignées de sperme dans le cul et lèche les pauvres flaques blanches qui surnagent dans la boue de notre monde à l’agonie. Je suis brusquement certain de Akaiô : c’est Enola Gay, ma poupée Barbie santête ! C’est une révélation : Akaiô est ma poupée ! Qui l’eut croûte ! Mon amour, je t’ai retrouvée ! Enola Gay, ma poupée santête, je t’ai retrouvée ! Je m’en vais te décapiter avec amour et dévotion pour te montrer mon amour ! Nous vivrons en harmonie jusqu’à la fin des temps ! OUEEeergh !
Preacher me court dessus en me traitant de putain de traître et d’agent double à la solde des bots. Ce salaud veut m’empêcher de reconstituer mon univers douillet avec les morceaux sanguinolents de cette réalité de merde.
Brusquement un grand bruit strident nous arrête en pleine action, moi avec les dents sur la gorge d’Enola Gay, Preacher me tirant par les chevilles. Nous nous retournons tous trois. Là-bas, Barnabé l’ourson en peluche sans yeux vient d’être renversé par une Mercedes Classe A rutilante et gît à demi-éparpillé sur la route. Un droïde en complet-veston, un petit chapeau mou sur son crâne métallique sort en hâte de la voiture et se précipite sur le corps de mon petit ours.
- Oh mon dieu, crépite-t-il d’une voix mécanique diffusée par les haut-parleurs sur les cotés de sa tête… C’est horrible… Je, j’allais au travail et j’étais en retard mais… Oh non je ne voulais pas ! Je ne voulais pas ça !
Ce salaud d’employé bot a démoli mon ours en peluche ! Ceee salaaaaaud… Salaaaaud...
- Enola Gay ! Pikachu ! A moi ! Allons tirer Barnabé des griffes de ce suppôt du Grand Capital !
***
BIGCHIEF
INIT SYSTEM…
Loading boot sequence…
Init_device : jambe_gauche
Error : le périphérique demandé ne répond pas. Abandon/Ignorer/Réessayer.
-> I
Init device : jambe_droite
Error : le périphérique répond mais semble endommagé. Voulez-vous tout de même l’activer ? O/N
-> O
Init device : bras_gauche
Error : Impossible de trouver un pilote pour ce périphérique. Il sera désactivé jusqu’à installation du nouveau pilote.
Init device : bras_droit
OK
Run : Conscience.exe
WARNING !! Des erreurs critiques sont apparues au démarrage de Conscience.exe :
-extreme_douleur.dll at line 14
-confusion_mentale.dll at line 36
-etat_de_choc at line 77
System is now going to launch hurlement_douleur.exe
Init device : vocal_organ
OK
« WAAAAARGHH PUTAIN DE BORDEL DE MERDE !!! JE VAIS CREVER ! VITE UN MEDIC OU UN MAGE ! QUELQU’UN A UN SORT DE SOINS INTENSIFS ?? NEED HELP PLZ !! »
Au bout de quelques secondes, je parviens à ouvrir les yeux : cette tanche de Kikoolol a donc dans un accès de clémence décidé de me les laisser pour le moment. Non… impossible. Que s’est-il passé ? J’entends des voix autour de moi, mais je ne comprends rien à ce qu’elles disent. Les trames de données vocales entrent en collision avec mon crâne, étrange, je me demande pourquoi je ne parviens pas à séparer les canaux. Récapitulons. Je venais d’échapper aux griffes de Kikoolol. J’ai du me cogner contre un boss de fin de niveau, j’ai reçu un méga-ultra-punch qui m’a fait perdre les trois quarts de ma jauge de vie, et qui a infligé de sérieux dommage à mon système. Les formes troubles qui s’agitent au dessus de moi commencent à gagner en netteté. J’affine les réglages. Résolution 2048x1784, 64bits, 100Hz. Oh, ce sont les visages de mes trois coéquipiers. Je présume que l’un d’entre eux a du me healer… Mon sac à dos se trouve à coté de moi, et j’ai une seringue plantée dans chaque bras. Dans le bras gauche, celle à l’étiquette rouge : mélange morphine/amphétamines. Je comprends mieux. Dans le bras droit, étiquette rose : mélange hormones/EPO/viagra. Voilà qui explique pourquoi depuis tout à l’heure je trouve Kikoolol si séduisante… Il se rapproche pour me parler, son regard coquin ne trompe personne : cette salope veut du sexe brutal et sans tabou ! Je lui attrape le visage et l’embrasse à pleine bouche ; sa langue a un délicieux goût de luxure…Oh, ce coquin me mordille la lèvre et m’en arrache un morceau ! La douleur transcende mon excitation, oooh Kikoochou laisse-moi te faire mal aussi ! Je lui envoie un direct du droit dans la mâchoire et l’adorable mongolien voltige à quelques mètres. Où en sont mes jambes ? Putain impossible de me relever. Kikoolol revient à la charge, il est si belle quand il est en colère…
- Barnabé entchuléééééé !!! Je vais te caresser l’estomac avec une râpe à fromage rouillée !!
- Salut ! tu veux dial hot ?
- Mais qu’est-ce que tu racontes, espèce de château féérique où croupissent des cadavres démembrés ?
- Hummm je t’embrasse dans le cou… j’aime le parfum de ta peau… Je
SYSTEM ERROR
L’érection est devenue incontrôlable, l’application ne répond plus.
Veuillez immédiatement éxécuter accouplement.exe ou masturbation.exe
Aaaah bordel ma bite me fait vraiment trop mal ! Bon, qu’est-ce qu’il y a dans mon sac… mais quel foutoir… Ah j’ai trouvé : je vais diluer un valium dans de la kétamine liquide et m’injecter tout ça à l’endroit requis. Hop attention, on serre les dents, ce n’est qu’un mauvais moment à passer, courage, ça ne sera pas long, j’y vais à trois : un - deux-deux et demi - deux trois quarts - deux et quatre cinquièmes - bon allez je le fais - maintenant - tout de suite - immédiatement - sans attendre - je n’ai pas peur - tout ira bien - il ne mais que fait Akaiô il me pousse le bras ah mais non l’aiguille va se planter dans ma bIIIIIIIITEUUAAAIOUAAILEEEEE !!! Il a poussé un peu trop fort, l’aiguille a traversé mon petit perforator - oui moi aussi mon kiki a un surnom mignon. Heureusement, seule une partie du liquide est partie se répandre sur l’asphalte… Je tire l’aiguIIIIIILLEEEEEAAAARGHHHHH ouh-pu-tain et j’injecte le restant du contenu dans les corps caverneux, en espérant qu’il se répande vite. L’effet ne tarde pas à se faire sentir, perforator retombe, et moi… j’ai du… mal… à… suivre ce… qui se… passe… je crois… que… j’ai mis… trop… de… kétamine…
Résumé : Nos héros noyés dans une cuve de sperme ? Nous ne pouvions admettre une fin si dramatique et si cryptogay. Les nerdz sont donc évacués avec les déchets à l'extérieur de la tour Parthénon. A eux la découverte d'un monde neuf, l'ennivrante Réalité ! Enfin pour le moment, à part se courir au cul pour essayer de se faire des bisoux et se battre comme des superstars du catch, nos héros ne font rien pour mettre à profit cette étonnante découverte.
= chemin =
= résumé =
[ Nos héros noyés dans une cuve de sperme ? Nous ne pouvions admettre une fin si dramatique et si cryptogay. Les nerdz sont donc évacués avec les déchets à l'extérieur de la tour Parthénon. A eux la découverte d'un monde neuf, l'ennivrante Réalité ! Enfin pour le moment, à part se courir au cul pour essayer de se faire des bisoux et se battre comme des superstars du catch, nos héros ne font rien pour mettre à profit cette étonnante découverte. ]
= biblio =
04/09/2024
18/05/2024
05/06/2023
10/04/2023
19/11/2021
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05/12/2006
30/10/2006
20/07/2006
04/09/2022
23/12/2021
12/07/2021
10/08/2017
06/06/2017
01/01/2016
21/11/2015
20/04/2014
28/03/2012
23/01/2011
Résumé des épisodes précédents : pour mettre fin à la tyrannie des bots qui ont envahi Internet et ont coupé leur accès, quatre nerdz indécrottables se décident à sortir de leur appartement. Ils se réunissent dans l'usine à pizzas qui sert de fournisseur alimentaire pour toute la titanesque tour Parthénon. Là se déclenchent les hostilités : une armée d'androïdes débarque pour les changer en tranches de chorizo, et réfugiés dans une cuve à sperme, nos héros se voient évacués vers le fond, avec les déchets...
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Mouais, ça manque de descriptions de l'environnement exterieur et j'ai moins accroché que les épisodes précédents.
Pareil, on comprend pas trop où y sont.
Mais sinon j'ai bien aimé comme toujours.
"- quel superbe écran de veille… Je veux télécharger le même.
- c’est le ciel, Bigchief."
Grand moment.
Ça fait du bien de sentir que le récit va pouvoir un peu évoluer après cet épisode-ci. Jusqu'ici, je dois bien avouer que je ne suis pas parvenu à accrocher à la série dans son ensemble, malgré de bons moments. Difficile de dire exactement pourquoi. L'humour débile y est - et c'est bien -, mais pour une série qui s'étend sur tant d'épisodes, j'ai l'impression que ça tourne trop lentement sans qu'une intrigue évolue.
Difficile d'imaginer où va la série. Mais certain diront que ça fait partie de son charme.
Le récit va rien évoluer du tout, on est en bout de course, on a perdu l'inspiration et la motivation, Nourz est plus là. Tout repose désormais sur les épaules de Glaüx, qui essaie d'arranger une fin digne de ce nom.
A propos de l'intrigue : étant donné qu'on a jamais eu nous même la moindre idée d'où on allait, je trouve tes remarques pas étonnantes. La plupart du temps on rajoutait des passages où il ne se passait rien juste pas avoir à se taper cette corvée d'imaginer une suite intéressante à une situation enlisée.
Je suis pas du tout d'accord, je trouve ce passage super intéressant surtout l'intervention de Kikoolol. Vouloir reconstituer sa prison dorée avec des elements de son nouvel espace de liberté, je trouve que c'est un concept novateur en general et dans N3rdz en particulier. C'est dommage que par la suite ce theme n'ait pas ete conservé. Je ne desespere pas de convaincre les autres de continuer.
Pour ma part par la suite je pense avoir apporté pas mal d'idees interessantes nottement lors de la prochaine intervention de Preacher. çà aurait pu constituer deja une fin en soit. A ce moment on a decidé de continuer. çà va être tres dur pour Glaux de finir l'histoire à ce stade. Pour eviter de la planter contre un platane, de la crouter en beauté, il serait bien venu de faire rebondir l'intrigue.
A partir de là, les idées de Lapinchien deviennent de plus en plus riches et prépondérantes ; on s'est tous plus ou moins fondés sur elles pour construire l'histoire. Parce que faut pas croire, y a une putain de structure là-dessous. Même si elle s'est révélée au fur et à mesure, et que là, elle est inachevée. Lapinchien a mis des idées de malade, nous on a flanqué des seaux de foutre par-dessus pour décorer.
La suite est bien.
Tout pareil que Dourak.
Je déconne, je ferai plus détaillé demain.
Suite et fin :
Tout pareil qu'Aka.
J'attends la fin en fait. Là je suis vraiment dans une situation d'attente. C'est sympa à chaque fois, vraiment, mais cette impression d'embourbement fait que finalement, pas grand chose ne reste marquant. Il manque un truc mais je ne perçoit pas quoi. Une histoire peut-être ?
NON? LA LETTRE ZGNUK? HAHAHA? VOUS AVEZ RIEN VU VENIR? ON A TOUT 2CRIT SANS JAMAIS SE SERVIR DE LA LETTRE ZGNUK ET VOUS AVEZ RIEN VU VENIR HAHAHA? HAHAHA? TROP FORTS? HAHA §§
Très marrant cet épisode dans l'ensemble. J'ai bien aimé l'intervention de Kikoolol, un petit feu d'artifice de déconne ça part dans tt les sens, très drole.
J'attends la suite.
Je crois qu'on a perdu Gloups.
Je suis ravie pour Aka d'avoir trouver un nouvel ami que je cite : krang23. Tant pis pour le chauve, il s'en remettra .
je suis content mais je veux voir l'image par vidéo
ça n'avance pas trop, ou plutôt ça stagne, mais c'est quand même globalement jouissif, surtout kikoolol, qui est de plus en plus atteint et qui refait enfin surface.
Dans l'idée, c'est pas mal du tout, le fait qu'il tente de reconstituer les éléments de son confort en voyant ses potes comme d'hypothétiques peluches.