Octobre : tout premier flirt
Je me suis laissé séduire par un grand blond, passionné de Pink Floyd. Depuis quinze jours, je sors avec lui. C'est mon tout premier flirt. Ca me fait tout drôle. Il est de plus en plus amoureux de moi, mais je reste insensible à ses déclarations enflammées. Je le quitte maladroitement.
Le pot de colle vole aussitôt à mon seccours. M'invite à une balade sur la plage. Longue discussion qui me fait tourner la tête. Il m'embrasse. Je n'aime pas trop ça. Dans mon journal intime je marque : "Je me laisse manipuler mentalement par le pot de colle qui en profite pour sortir avec moi."
Il a aussi une attitude impressionnante, et qui incite au respect : présentation de sa carte de visite, invitation au restaurant... ce qui est peu courant de la part d'un lycéen. Il m'emmnène en boîte de nuit, au casino, à une heure où il n'y a encore personne. C'est la première fois que je mets les pieds dans ces lieux-là. Il se moque de mes parents qui ne me laissent pas sortir après minuit, et surtout de mon manque de désobéissance.
Dans les couloirs du lycée, je vois soudain mon ancien copain sauter sur le pot de colle et le rouer de coups. Les nez pissent le sang. Je ne comprends pas : il n'y a aucune raison d'être jaloux puisque je ne suis ni avec l'un ni avec l'autre ! Il ne me vient pas à l'esprit que le pot de colle s'est peut-être vanté de m'avoir conquise, alors qu'il m'a seulement volé un baiser. Je les prends pour des gamins inintéressants.
Samedi 21 octobre : sur la plage
Je suis invitée à l'anniversaire d'une fille de ma classe que je commence à apprécier. C'est en boîte de nuit. Je m'amuse, je danse, je bois quelques verres. Je suis heureuse de voir que le beau brun est là, mais je n'ose pas aller lui parler.
Vers 3 heures du matin, tout le monde s'en va. Le beau brun a disparu depuis longtemps, et je suis toute triste. Un peu saoule aussi. Le grand blond ne veut pas me quitter. Il a le cœur brisé. Il m'embrasse avant de s'en aller. Je suis furieuse. Je reste avec un petit groupe de personnes. Le pot de colle est là, lui aussi. Et me colle. Forcèment. Je ne sais pas s'il m'a fait boire, ou si j'ai moi-même abusé de boisson par tristesse...
Je ne sais plus où je suis. Dehors. Il fait froid. Je suis saoule. Je suis allongée sur les genoux de deux garçons. Ils passent leurs mains sous mes vêtements. Ils se partagent chacun une partie de mon corps : au-dessus et en-dessous de la ceinture. L'un m'embrasse & me caresse la poitrine, l'autre le sexe & les fesses. Ils sont mécontents du partage ainsi établi. Ils échangent leurs rôles en me disposant autrement. Tout tourne. Je leur dis d'arrêter, je râle. J'essaye de remettre mes vêtements. De retirer leurs mains. Mais mes gestes sont mous. Ils rient. Ca ne va pas : je n'ai plus de force. Je suis trop saoule.
Plus tard, ils me déplacent et me déposent sur le sable. Tout est flou. Le jour commence à se lever. L'un des deux se tient à l'écart, en hauteur, assis sur un des murs. Fait-il le guet ? En tout cas, il n'intervient plus. L'autre, c'est le pot de colle, m'a à moitié dévêtue. Il me pénètre avec son doigt. Il fait des commentaires : il s'étonne que je sois encore vierge, me juge "étroite", parle de mon "hymen". C'est la première fois que j'entends ce mot. Il me caresse abondamment avec un doigt, puis plusieurs. Il dit qu'il me "prépare".
Je suis à demi consciente, et je n'arrive pas à comprendre tout ce qui se passe. Mon corps est sexuellement excité, je ne contrôle plus rien. C'est la première fois que je ressens ces choses-là. C'est écœurant. Je suis très gênée : je veux qu'ils s'en aillent ! Je veux qu'on me laisse seule ! Je ne veux pas qu'ils me voient ainsi ! Je dis non, je veux que ça s'arrête ! Tout de suite !
Tout se passe trop vite. Je n 'arrive pas à me ressaisir. J'ai un sentiment de gâchis et de dégoût pour ce que j'éprouve malgré moi. J'ai honte. De mon corps, de cette excitation non désirée, de mon manque de vivacité d'esprit dû à l'alcool.
Le pot de colle me retourne. Il bouge mon corps comme s'il s'agissait d'un pantin et me place à quatre pattes sur le sable. Il se place derrière moi et tente de me pénétrer sexuellement. Je ne le laisse pas faire. Il ne fait pas usage de force. De toute façon, mes gestes sont mous et incohérents.
Ca n'a pas été plus loin. Le jour s'était complétement levé, et il commençait à y avoir des promeneurs matinaux sur la plage. Ils m'ont emmené prendre un petit déjeuner dans le permier bar ouvert. Puis chacun est rentré chez soi.
LA ZONE -
Je viens tout juste d'avoir 17 ans, et je passe en première scientifique. Je voulais continuer en lettres, mais on a choisi pour moi. Nouvelle classe, nouvelles têtes : je ne connais presque personne. Si, ce garçon qui me tournait autour à la fin de l'année dernière. Ca ne me plaisait pas trop : il insistait lourdement. Son surnom, c'est "pot de colle".
Les premières heures se passent avec notre professeur principal, le meilleur prof de math du lycée. A la table juste devant moi, il y a un garçon qui capte toute mon attention. Trop beau. J'ai carrément le coup de foudre pour ce beau brun. Avec le cœur qui palpite, les jambes en coton dès que je croise ses yeux qui pétillent comme des bulles dans une coupe de champagne.
Les premières heures se passent avec notre professeur principal, le meilleur prof de math du lycée. A la table juste devant moi, il y a un garçon qui capte toute mon attention. Trop beau. J'ai carrément le coup de foudre pour ce beau brun. Avec le cœur qui palpite, les jambes en coton dès que je croise ses yeux qui pétillent comme des bulles dans une coupe de champagne.
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Ce qui est réellement effrayant c'est de constater qu'à 17 ans ce sont déjà des salopes.
Ce qui est réellement effrayant c'est que j'ai l'impression d'avoir lu une dépêche de l'AFP plutôt qu'un texte.
C'était pas sur Skyblog ça ?
vade retro satanas ! y a un exorciste dans la salle ? Je crois que Konsstrukt s'est emparé de son esprit. L'écriture automatique depuis l'au delà c'est mal.
La photo me fait penser à un lapin dépecé... est ce normal ?
"Il tente de me pénétrer sexuellement"
J'aime bien la précision, au cas où les interprétations s'égarent. Il faut être clair.
Elle ne devrait pas prendre la parole quand son corps parle
tous les viols sont par effraction non ?
Marvin : ouais, on dirait bien.
Moi j'ai pas aimé. Du tout.
ce texte pourrait être amusant à remixer...
C'est bien glauque, mais le style ne fait peut etre pas assez humain, trop froid, je trouve. Même une fille peu expressive qui a été traumatisée va se laisser un peu aller dans un texte..de "je suis demi inconsciente" à "sable" c émouvant quand même.
C'est même pas glauque.
Même le résumé de mes dépucellages serait plus glauque.
L'idée du viol et du cynisme pour moi c'est glauque.
MAis je suis trop fleur bleue surement.
FUCK.
J'aime bien le coté banal et sans excès.
Mais la narratrice est un peu trop niaise.
Premier viol? Celà implique qu'il y en aura d'autres?
Je trouve pas la narratrice plus niaise que la moyenne, au contraire.
De même je ne trouve pas ce texte si distancé que ça.. Tout est mené en finesse avec ce paradoxe entre dégoût et excitation.
Les violeurs ne sont pas représentés comme des diables psychopathes, mais juste comme des ados frimeurs de base incapables de gérer leurs poussées d'hormones, ceux qu'on croisent à la pelle un peu partout, qui ont pris le plaisir là ou il se présentait sans forcément aller très loin et sans se rendre compte de l'impact de leurs gestes, comme si c'était qu'un simple flirt poussé. Le fait qu'ils l'emmènent par la suite prendre un petit déjeuner en dit long. Le décalage entre ce qu'on fait à quelqu'un et ce qu'il ressent.
Et en effet cet aspect est glacial, car il est d'une banalité..
On dirait un de ces fakes qu'on trouve sur les forum d'ados, genre "ma copine et moi on a fait une soirée pyjama et tout à coup elle m'a attaché les poignets et m'a brûlé les poils de la chatte avec un briquet, MdR lolilol" mais en franchement moins bien écrit, c'est même pas bandant comme ce gros porc de Don, c'est plat, sans ambition...
Et la notation des jours ça me fait penser au Horla, c'est chiant, surtout que y'a aucune progression logique.
Je te mets un F et un doigt dans le cul.
Un peu comme Nagash. Ce qui me plaît c'est que le texte est plat et d'un style commun, sans accroches, sans exaltation, mais pour dire un truc grave, en fait. C'est probablement comme ça que penserait une fille dans ce cas précis, sans se rendre compte encore des conséquences dans ses représentations et son comportement futurs. De même pour le comportement des deux gars.
Bref c'est bien rendu.
Mais maintenant faut nous raconter sa vie dix ans et trente viols plus tard, quand elle sera devenue psychotique et tueuse en série, histoire qu'on s'amuse un peu.
"C'est probablement comme ça que penserait une fille dans ce cas précis"
t'es sûr que Paris Hilton et Georges Sand auraient eu la même approche du truc ?
Ose dire que t'aime Georges Sand, enculé.
Y a pas de s à George Sand, tas de cons, et c'était une pute assoiffée de bite, je vois pas comment une pute assoiffée de bite pourrait se faire violer.
[edit] par contre y a un s à "t'aimes", 400asa.
Paris Hilton c'est l'anorexique ou c'est l'autre ?
Commentaire édité par Glaüx-le-Chouette.
Paris Hilton c'est un hotel dans le 16eme
Ouais mais de toutes façons je viens de me rendre compte que j'avais confondu avec les jumelles Olsen, alors c'est pas grave.
Suis d'accord avec Nagash :
"Le fait qu'ils l'emmènent par la suite prendre un petit déjeuner en dit long. Le décalage entre ce qu'on fait à quelqu'un et ce qu'il ressent.
Et en effet cet aspect est glacial, car il est d'une banalité.."
Ne disent-ils pas "tournantes" au lieu de "viols collectifs", ça aide à banaliser.
Un viol chiant n'est pas un bon viol.
Par contre j'ai trouvé la fin originale, enfin, disons que je m'y attendais pas... Enfin ça reste chiant hein.
Glaçant et sournois. Un tel refus de style, d'élégance et de sentiments, c'est d'un effet! Ca me rappelle certaines fêtes de lycée où les mecs les plus charognards se démerdaient toujours pour se retrouver à dix centimètres des donzelles les plus bourrées. Ce "premier viol" est ironique puisqu'il ne sera jamais vraiment dénoncé pour ce qu'il est. La narratrice se souviendra peut-être dans quinze ans de sa première expérience sexuelle comme désagréable et largement oubliable, mais bon, "vois-tu, il faut parfois en passer par là". J'ai connu des filles qui me racontaient ça avec le même ton que Bobopoint. Et moi de m'insurger. Et elles de ne pas comprendre. Arg, dans quel monde on vit!
Honnêtement c'est naze. La fille se fait violer et prend un petit-déjeuner avec eux ensuite.
j'aime pas mal du tout. cette froideur, et cette petite pirouette éthique à la fin. sympathique. bonne nouvelle, ce qui est rare.
et rappel statistique : arrivée à 40 ans, une femme sur deux vivant en france a subi un viol ou une tentative.
Objection ! tu viens de l'inventer ça !
Sinon le texte est sympa mais sans plus.
Franchement, c'est vrai que ce texte est écrit assez froidement et ça ne fait pas 17 ans mais quand on a vécu ça il touche quand même !!! Vous n'êtes pas touchés ou vous trouvé ça sans intérêt parce que vous ne l'avez pas vécu mais moi j'ai 22 ans et l'année dernière je l'ai vécu et pour se relever après ça c'est très dur et cela même si on était sous l'influence de l'alcool et donc on se rend moins compte de ce qu'il nous font sur le coup !!! Et moi ils ne m'ont pas emmenée déjeuner mais ils m'ont parlé normal comme si rien ne s'était passé... Pour eux tout paraît normal le lendemain car tu n'as pas eu la force de te défendre !!! Ils peuvent aller jusqu'à dire que tu les as allumés alors que tu as dit non... Ce texte est vraiment réaliste quand elle parle de son corps qui est mou et qu'elle ne contrôle pas ses gestes même si elle n'en a pas envie, c'est exactement ce que ça fait et c'est vraiment ça le plus horrible car on n'arrive pas à se défendre, on ne crie pas, on gémit on dit non et puis ça finit mal quand même mais après qui est vraiment fautif ??!! Ils ne m'ont pas forcée à boire alors qui est en tort ? Eux quand même car ils étaient mes amis... Du moins c'est ce que je pensais !!
Écris un texte à ce sujet, ou veuille faire le silence avec tes doigts.
tant que ça se passe entre amis, je ne vois pas de quoi on se mêle.
Vu ton pseudo ça ne m'étonne pas que tu trouve ça normal entre amis mais dès le moment où l'un des amis n'est pas d'accrod c'est un viol et toi là strange si j'ai envie d'écrire un commentaire je l'écris, je vois pas pourquoi je me tairais mais merci quand même !!
Ta gueule, mijaurée.
Je traduisais le message de Strange, bien sûr.
Mon propos, personnellement, serait plutôt d'évoquer cette sainte chrétienne, dont j'ai oublié le nom, mais qui préféra payer de sa personne pour pouvoir poursuivre un pèlerinage, ou je ne sais plus quelle autre mission noble, et vénérable, et catholique, que sa dévotion lui inspirait (les détails m'échappent et sont fort brouillés dans ma mémoire pour cause de décilitres et de degrés). Signifiant par là (oui, par là) à la postérité (oui, hiati) que le corps mortel n'est pas un sanctuaire.
Il me semble que c'est Sainte Marie L'Egyptienne qui paya son cul à un batelier pour aller à Jérusalem.
Moi ceci m'évoque d'ailleurs une inégalité des sexes douloureuse. Même en le voulant aucun saint n'aurait pu payer son cul pour aller en pélerinage. Si tu sais pas nager ou que t'es trop gringalet pour péter la gueule au batelier vaut mieux oublier de proposer de payer ton batelier en nature, et du même coup oublier ton pélerinage.
Je n'ai pas compris si c'est de la fiction ou du réel ?
Dans tout les cas les commentaires des vieux idiots du style "la salope !" ou ce genre de choses sont d'une banalité et d'une imbécilité sans nom !
Car oui, ceux qui écrivent ça ne se rendent pas compte qu'on ne peut rire de tout les sujets et que certaines fois il vaut mieux fermer sa grande gueule et comprendre un peu que des gens peuvent souffrir !
Alors, quand bien même ce texte serais une fiction bande de niais dites vous que des personnes, des êtres humains sont agressés chaque jours, beaucoup trop souvent, que c'est un crime et que les victimes en sont brisée.
Qu'y a t-il de marrant quand on sait que des monstres tuent moralement des personnes innocentes, qui auraient pu vivre heureuse ?
C'est un crime qui déshumanise complètement, et donc le style est très bien choisi ( en tout cas de mon point de vue) .
Je nie ; une bite dans un cul, c'est toujours amusant. Quoi que ce soit dans un cul, d'ailleurs. Par exemple, ta langue dans ton cul, ce serait rigolo, et salutaire auditivement.
Attend attend.. Tu veux dire par là, en quelques sorte, que les contorsionnistes sont des gens super rigolos ? Fais super attention à ta réponse.
Il n'y a qu'un El Def, et il s'appelle Le Duc, tors sioniste.
Nan, sérieusement, je m'adresse à ces deux connes qui croient qu'on ne peut pas rire sur le viol...
Le viol, c'est mal (ou bien, tout est question de point de vue!).
Alors, pour une pauvre ignare comme "Aurélie", j'aimerais répondre que OUI, à moi aussi c'est arrivé, et pourtant je me bidonne en lisant ce texte! Ouais, je l'aime!
(Si nihil dit le contraire, je retire absolument tout ce qui aura été écrit...)
Et puis merde, qu'elles aillent se faire fist-fucker par Robocop ou n'importe qui d'autre, si elles veulent se victimiser, il y a des assistantes sociales pour ça!
Ca c'est bien dit Lolilol, beaucoup ici se sont fait violer à plusieurs reprises, certains dès leur plus tendre enfance, et on a pas à en faire tout un plat. Aujourd'hui, c'est devenu banal. Du moment que ça ne bascule pas dans la violence gratuite, cela ne peut pas faire de mal à l'enfant. Ca lui fixe des limites et lui enseigne la maturité. Quand je pense que le gouvernement veut passer une loi pour interdire aux parents de violer leurs enfants, c'est honteux, d'autant plus que ce n'est pas leurs affaires.
Bon, je te laisse Lolilol, y a mon marmot qui braille, je vais te me l'enfourner un petit coup, ça le calmera en douceur, bye!
Garde-m'en un peu pour les dimanches soirs tous pourris où on s'ennuie comme des rats...
(J'ai rien contre les rats!)
Les gens comme Lolilol sont des TERRORISTES.
Ah et j'oubliais Kolokoltchiki Je suis 100 % daccord avec toi !
Je suis tombé par hasard sur ce texte, et les commentaires ont le mérite d'être franc.
C'est assez drôle de voir des moralistes baragouiner de la compassions à une bande de saccageur à l'humour débordant. Franchement, celui qui voudrait avoir une discussion sérieuse sur le viol, devrait veiller à en parler à quelqu'un dont l'esprit mérite une grande confiance. Mais je pense que la meilleur idée de nos détenteur du grand sérieux, fut d'aller exposer leur point de vue grave et cérémonieux devant une bande de débraillés à l'humour bien atteint par le nihilisme. Sincèrement, un peu de sérieux mesdames et messieurs les gardien de la gravité, confiez votre indignation autrement qu'Aurélie confiait son amitié. Vous cherchez quoi? Des grands méchants pour vous indigner à nouveau?
Ouais, en fait, ta gueule...
Je le trouve un peu mou le viol. Par contre, le p'tit dèj' après, la fille hébétée, j'aime assez.
Vu que ça a l'air une fiction enfin je pense, j'ai le droit de demander si ils l'ont déshabiller à la chaussure ou chaussettes près ? Vu qu'elle était à priori à moitié dénudé à mon avis ils ont pas été au détail des pieds nus
Comme on disait dans ce vieux film français "on viole, on viole et on s'attache".
Il y en a qui ont confondu la Zone avec Doctissimo, dirait-on.
Salut c'est l'auteur.
Fermez vos gueules.
Merci.
Un texte sympathique, peut-être un peu trop froid, mais qui rappelle de bons souvenirs.