Certains auraient préféré rester dans l'oubli, tant leurs actes eût été atroces, glauques, et dégueulasses.
Pas moi.
J'exploite mon manque de talent dans la vulgarité, dans la perversion, dans l'inavouable, dans l'immoral.
Quand j'étais plus jeune, je m'amusais à regarder sous les jupes des petites filles.
Je passais des heures devant les maternelles, à regarder leurs jeux anodins, à écouter leurs cris.
En particulier une. Luna.
Son père venait la chercher tous les jours, à 18h, après l'étude. Et bon dieu qu'est ce que je pouvais l'envier.
Et puis un jour, j'ai osé. Je me suis pointé à 17h30 devant cette putain de maternelle, et j'ai demandé à la gardienne d'aller me chercher cette petite fille, que je venais en urgence parce que son père avait un grave problème dans son travail.
Elle est descendue. Avec ses chaussettes remontées jusqu'aux genoux, une jupe très courte, des chaussures de gamine.
Ses cheveux noirs et lourds relevés en chignon, laissaient paraitre la douceur de sa nuque.
Ses grands yeux bruns, et ronds, émerveillés.
Elle avait déjà du me voir, squatter devant son école.
Les fesses encore fragiles. Une fragilité presque abusive.
Tout était pur, dans cette petite fille. Son visage, son regard, ses courbes fines...Rien n'était encore développé.
Je l'ai emmenée chez moi. C'est là que les hostilités ont pu commencer.
J'ai commencé par lui faire à manger. Je lui ai demandé ce qu'était son plat préféré, on a été faire les courses, je l'ai mise en confiance.
Elle a fait une petite sieste d'une heure, et je l'ai réveillée. Il était exactement 19h.
Je lui ai montré ma bite, très dure. Sa première réaction a été celle de rigoler. Pauvre conne, elle savait pas ce qui l'attendait.
Et puis, je l'ai attachée. Sans aucune raison, juste celle de la voir se débattre. Parce que de toute façon elle n'aurait pas pu aller bien loin.
J'ai caressé son visage avec ma queue, très doucement...
Je l'ai embrassée, et j'ai senti son visage se raidir contre le mien. Je l'ai entendue ecarquiller les yeux.
J'ai pris le temps de la déshabiller. J'ai déboutonné son gilet, et j'ai terminé par les chaussettes. En prenant bien soin de lui laisser sa culotte.
J'ai fait glisser ma main, dans tous les sens possible, sans jamais toucher son sexe.
Brutalement, j'ai senti l'envie de le caresser. Tout en la regardant.
Sa chatte dégoulinante de sueur, ses yeux suppliants.
Elle avait enfin compris.
Mon érection était tellement forte, qu'elle en devenait douloureuse. Pour essayer de me calmer, j'ai introduit mon phallus dans sa bouche.
Elle lappait, comme un chien. Si furtivement que je sentais ma queue se durcir encore, et encore.
J'ai baissé sa culotte, et je me suis mis à lécher son entre jambe brûlant. Je me suis mis à sa taille et j'ai caressé son clito avec ma queue.
Je passais de temps en temps à son vagin, très délicatement. Je poussais un peu, et dès que je voyais son visage se tordre de douleur une nouvelle fois, je m'arrêtais.
J'ai pas tenu, il fallait que je sente combien son intérieur était étroit, mouillé, et réticent à ma venue.
J'ai poussé. Très fort. Jusqu'a ce que ses hurlements me fassent éjaculer.
Ne pouvant pas réavoir une érection tout de suite, je l'ai laissée se calmer quelques minutes. Et puis je l'ai retournée. Ma bandaison encore plus violente que la précédente, tant l'idée de la sodomiser était encore plus excitante.
J'ai passé un coup de langue bref sur son anus, et j'y ai entroduis ma queue dure comme du fer. D'un seul coup. Ca a peut-être duré plus d'une heure, il fallait que ça dure. Il fallait que je profite grandement de cet instant.
Je savais que je n'allais plus jamais la revoir en bon état, après cette nuit. Et ça me rendait triste, j'étais amoureux.
J'ai loué un autre appartemment. Dans une autre ville, je passais la voir de temps en temps, en la regardant pourrir. Je ne comprends même pas que les voisins n'aient pas senti cette odeur abominable de décomposition.
Et chaque fois, j'avais le coeur lourd, en repartant.
LA ZONE -
Il y a eu le livre noir du communisme, du capitalisme etc., là c'est le livre noir de l'humanité. C'est bien qu'il existe.
= ajouter un commentaire =
Les commentaires sont réservés aux utilisateurs connectés.
= commentaires =
Mdr.
on dirait une deposition.
Petite lecture sympa du dimanche matin. J'ai adoré. Il y a quelques incohérences, mais c'est pas grave: j'ai eu la trique.
signé: Marc Dutrou
Je fais un copier-coller et assigne la Zone à la barre.
signé : le juge de l'affaire Outreau
bof
Bof. Le sujet est fort parce que choquant, le texte lui-même ne l'est pas. Titre de merde. Intro foutage de gueule. Texte peu écrit, des fautes qui traînent. Bref, il ne me semble pas que ça en valait la peine, je n'aime pas. J'ai tendance à penser que, pour s'autoriser certains sujets, il faut pouvoir assumer niveau traitement, et là ça tombe lourd et inutile comme un rat mort dans mon cognac.
C'est mon bof. Dégage.
Moi j'ai un peu bloqué sur: "Je l'ai entendue ecarquiller les yeux."
A moins que la gamine fasse un bruit de claxon quand elle ouvre les yeux, mais ça c'est un problème.
C'est zonard, la dessus y'a pas à chier.
La première partie n'est pas si mal. La rencontre avec Luna, sa présentation, son coté pur, angélique. C'est succint mais suffisant, même si j'aurais aimé mieux connaître cette fillette, m'y attacher, afin que le choc provoqué par la deuxième partie du texte soit plus marquant encore.
La seconde partie par contre est bâclée. La psychologie du narrateur est carrément passée à l'as, on se contente d'une sorte de compte-rendu de travaux pratiques. Presque rien sur les états d'âme du pédophile, peut-être que l'auteur a eu quelque difficultés à réellement entrer dans la peau du personnage ? Vers la fin, on a tout de même droit à un "ça me rendait triste, j'étais amoureux", mais on ignore ce qui s'est passé, comment cet amour est né puis a mûri.
Même si l'histoire est on ne peut plus basique (une fillette pure comme au premier jour qui rencontre un être perverti jusqu'à la moëlle), elle aurait mérité un meilleur traitement.
Ah, j'allais oublier la fin que je n'aime pas du tout. Même problème que précédemment : étant donné que ce que pense le narrateur nous est totalement inconnu, on ne peut que rester perplexe en constatant qu'il tue cette petite fille qu'il dit aimer.
En bref : envie de mettre quatre heures de colle à Mad Meat, pour qu'elle retravaille ça avec plus de profondeur.
Finalement, en l'absence de psychologie du narrateur, il apparait comme un simple psychopathe ravagé sans le moindre once d'intelligence ou de sensibilité, ce qui correspond bien à la vision du citoyen lambda sur le sujet et remet pas grand-chose en question. Du coup ça donne un coté un peu vaguement puritain au texte que j'aime pas trop.
Dans le même genre, je préfère le texte de Konsstrukt Surfaces 10 : http://zone.apinc.org/article.php?id=1029
Plutôt plus choquant et plus fin.
Ouais ça faisait un bout de temps qu'on avait pas eu droit au texte pédophile. Youhou. Ça va peut être faire venir un nouveau lectorat remarquez.
Tout simplement à chier aussi bien dans l'écriture, que dans les descriptions de coups de bite, que dans la psychologie inexistante du narrateur, que dans la volonté suitante de choquer.
Bah c'est l'équivalent des textes ultra-gore qu'on avait eu il y a quelque temps : juste la volonté d'aller un peu plus loin et d'être plus dégueulasse que les autres. Y a pas de quoi vomir dessus, c'est juste anodin et sans grand intérêt.
C'est surtout dommage, parce que de l'intérêt il aurait pu y en avoir.
C'est la jeunesse de maintenant, une bande de jean-foutre fainéants partisans du moindre effort.
De mon temps, on avait le goût du travail bien fait.
Le seul truc qui me trouble dans ce texte c'est qu'il est tellement mal foutu qu'à la limite ça n'en est pas choquant.
Si on se laisse aller à oublier que c'est une gamine qu'il baise on tombe juste dans la scêne de sexe trash. Et c'est chiant.
Là il n'y a pas de rendu. On sent le truc venir dés le début. Et c'est pas la peine de vouloir faire croire qu'il y aura des surprises. Résultat ça se traverse sans intérêt.
Ok c'est une petite fille. Mais peu de choses viennent le rappeller, les descriptions de ses réactions sont réduites au minimum alors qu'on pourrait s'attendre à ce que le narrateur, en bon vrai barge, y préte un peu plus d'importance.
Le narrateur lui-même est sans surprise et tellement plat qu'il est à la fois peu crédible, sans intérêt, et correspondant tout à fais à l'image commune (Comme le disait Nihil).
"Quand j'étais plus jeune, je m'amusais à regarder sous les jupes des petites filles."
En plus cette phrase fait Souchonnade.
Contrairement à beaucoup de monde, le narrateur me convient assez. Il est complètement déséquilibré, donc y a pas besoin de tenter de trop en dire sur lui. Il a pas vraiment de logique propre.
Par contre la petite fille, ça va pas. Si elle est en maternelle, elle peut pas comprendre si soupçonner ce qu'il lui arrive. Et le chignon fait beaucoup trop ado à mon goût. Une gamine de 5 ans, ça a soit un petit carré bien sage, soit les cheveux dans la figure. C'est con mais ça m'a bloqué pour le reste du texte.
Je trouve qu'il serait aussi vraiment important pour la compréhension générale de savoir comment elle réagit, par rapport à sa personnalité - cad plutôt "terrorisée-ténatisée", "défensive-agressive", etc. Encore une fois, y a un truc qui va pas par rapport à son age supposé.
Je déteste pas la fin, avec le maniaque qui peut pas s'empêcher de retourner voir sa victime pour la voir grandir et s'étioler.
Pour résumer, plutôt pas mal mais ça aurait gagné à être plus travaillé.
edit: ah, oui, par contre, la grosse faute dans le titre en anglais, ça me choque énormément. Plus que celles du texte.
Commentaire édité par Kirunaa.
Y a pas de fautes, dans les langues d'aérogares.
Y a même deux grosses fautes dans le titre.
D'ailleurs il est mauvais ce titre...
Autant pout moi, Womble, j'avais passé le premier s à la trappe.
Douki> y en a peut être pas dans les langues d'aérogare, mais y en a au moins une dans ta phrase.
double faute, balle de match
Ouais le titre est pire encore que le texte, c'est dire ...
Mouais (je mets "mouais", bof étant déjà pris). La seule chose qui m'ait marqué c'est effectivement "Je l'ai entendue ecarquiller les yeux." Ca oui je trouve ça hyper choquant. Sinon le reste : c'est du Stephen King. Ca essaye de choquer mais ça n'y arrive pas. Aucune qualité littéraire pour rattraper. D'la merde quoi.
Je viens de lire le texte.
Eh ben il m'a fait bander, ce con !
Stephen King c'est pas fait pour choquer, pauvre bite en bois de chêne ! C'est fait pour le rigolo, t'as jamais lu "Cujo" ?
Stephen King c'est pas "fait", ou alors le cul, Stephen King c'est un auteur.
Les livres de Stephen King, c'est pas toi qui peux savoir "pourquoi" ils sont faits, ni l'auteur, ils sont là et merde, chacun y lit ce qu'il veut, sinon qu'on finisse de croire à la Littérature et merde.
Les commentaires doubles, c'est chiant.
"Pauvre bite en bois de chêne", peut mieux faire.
Bite en bois de chêne moi j'aime bien. On m'avait jamais traité de bite en bois de chêne.
Sinon oui j'ai lu "Cujo".
J'ai lu un tas d'autres trucs aussi d'ailleurs.
Et ?
Rien, c'était pour étaler un peu... et puis faut me laisser le temps de m'habituer quand même, j'ai pas l'habitude vous comprenez ? Ca pique un peu au début et puis après ça glisse comme tout.