Elle m’avait laissé entendre, quelle conne, que les rapports un peu extrêmes la faisaient fantasmer, qu’elle en avait marre des p’tits mecs qui apprennent le cul en matant des pornos et trouvent ça cool de se finir en éjac faciale après trois minutes de baise de bûcheron.
Je l’ai fait un peu parler de sa découverte du sexe. Elle avait commencé au collège, où le top de l’inavouable était d’aller sucer les queues qui dépassaient d’un trou du mur mitoyen avec les chiottes des garçons. Une version juvénile des boites à trous des clubs échangistes en quelque sorte. Bien sur ces connes croyaient sucer la bite de leur boy friend officiel, faisant semblant de ne pas remarquer que tous les copains y passaient.
Cette histoire de « teen-sucking » arrachée en confidence après des heures de négociations m’avait bien excité, j’ai eu envie de tester le potentiel de la gamine. J’ai commencé par lui envoyer des devoirs à faire, se raser la chatte, se branler tous les jours, se baiser avec les objets les plus improbables, s’attacher pour dormir…enfin bref tous les clichés à deux balles des pseudos Maîtres qui hantent le net SM., et les perversions éculées de la littérature porno de gare. La pisseuse m’a scotché en réalisant les plus pitoyables délires que j’avais pu lui envoyer : non seulement elle m’adressait scrupuleusement un rapport quotidien, mais j’avais droit en plus aux mauvaises photos prises de son téléphone pour me prouver la véracité de ses dires. Forcément quand elle a voulu qu’on se rencontre, j’ai accepté. Ben tiens, un potentiel pareil à 19 ans, je me serais renié si je ne l’avais pas baisée.
Le premier rendez-vous, ça a été une compil de clichés ringards. Le couple beauf illégitime qui va baiser dans un hôtel minable genre Formule Un. L’ambiance musicale oscillait entre la quinte de toux du tuberculeux de la chambre de droite et les hurlements hystériques de la grognasse qui se faisait limer à gauche. Question romantisme on était au summum. J’avais commencé à la chauffer dans l’ascenseur et sa culotte humide était dans ma poche, on a du mettre dix secondes pour se foutre à poil et se vautrer sur le lit. J’ai allumé la télé pendant qu’elle nous roulait quelques spliffs d’avance. On a picolé un peu de vodka tiède que j’avais amené et fumé les spliffs en se tripotant vaguement.
Ses grands yeux clairs étaient si pleins d’admiration que j’en ai eu la nausée. J’ai attrapé sa tête par les cheveux pour qu’elle me suce et arrête de me regarder. Le collège lui a bien servi, elle suçait pas mal pour une pisseuse. Je l’ai laissé continuer un peu puis je l’ai allongé sur le dos pour l’attacher aux montants du lit. J’avais amené du matos fun pour jouer, un ou deux plugs et un gode. Je lui ai foutu le plus gros plug dans le cul puis je l’ai branlée longtemps, jusqu’à avoir des crampes au bras et au poignet. Elle gueulait tellement que j’ai du la gifler pour la calmer. Je lui ai rentré le gode, le vibreur à fond, que j’ai attaché pour qu’il tienne, et j’ai baisé sa bouche comme une chatte à grands coup de reins, jusqu’à ce que je décharge en grognant. Je l’ai détachée, et on a refumé quelques spliffs. On est resté tranquille jusqu’à ce qu’elle me refasse ses yeux de labrador qui me mettent la haine, alors je l’ai collé en levrette avant de l’enculer. La bougresse était tellement serrée que j’avais beau cracher sur ma queue ça voulait pas rentrer. J’ai du lui bouffer le cul un quart d’heure avant que ça se détende un peu. La queue fichée en elle, je l’ai limée doucement pour profiter un maximum de la vision de son joli petit cul dilaté. Je l’ai laissé se branler pendant que je l’enculais. Elle m’a étonné tellement elle avait l’air d’apprécier. Elle s’est fait jouir et j’ai pas tardé à décharger aussi.
On a fini la bouteille, refumé un spliff et je l’ai raccompagné chez ses parents.
Je pensais pas qu’elle rappellerait, tellement je m’étais montré cru et dégueulasse.
Je pensais pas non plus qu’on réinventerait le cul pendant six mois, qu’elle se montrerait aussi avide et sans tabou que moi, parfois pire. Sa voracité de plaisirs et d’extrême me fascinait. On a testé tout ce qui nous passait par la tête, des sex toys, aux aiguilles, du fouet aux lames de rasoirs. Alcool, spliff, parfois poppers ou coke, et du cul jusqu’à en avoir la queue qui saigne.
On s’est vite rendu compte qu’on avait rien à se dire.
Mais elle m’obsédait, je ne vivais plus que pour nos séances de cul.
Je pensais pas qu’elle rappellerait
Je pensais pas non plus qu’elle passerait dans ma vie comme une comète de métal en fusion cramant tout sur son passage.
J’ai repensé à tout ça quand la bagnole l’a fauché alors qu’elle traversait la rue en courant pour me rejoindre, son putain de regard de labrador sur la gueule.
J’y ai repensé en serrant sa petite tête pleine de sang contre moi, en ravalant mes larmes qui jaillissaient comme un torrent furieux. Elle a essayé de parler, je comprenais rien elle faisait des bulles roses avec la bouche. Elle avait l’air cassée de partout. J’ai approché mon visage du sien pour entendre sa voix qui disait juste « baise moi encore, baise moi encore ». Je l’ai serré contre moi, j’étais couvert de son sang. Je débitais des bouts de phrases incohérentes censées la rassurer : « t’inquiètes ça va aller, ça va aller, je t’emmènerai à la mer, on baisera défoncé comme des malades ça va aller t’inquiète pas ça va aller ».
Elle est morte dans l’ambulance qui l’emmenait à l’hôpital.
Dors bien p’tite conne, tu me manques.
LA ZONE -
Tout avait commencé par un de ces jeux débiles que j’affectionne depuis que le net est devenu mon plus gros pourvoyeur de chair fraîche et juvénile. Elle voulait jouer les grandes, assumer ses désirs et ses fantasmes, montrer à la face du monde [virtuel] qu’elle n’avait pas la vie triste et ennuyeuse d’une teenager vivant dans une banlieue trop loin.
= ajouter un commentaire =
Les commentaires sont réservés aux utilisateurs connectés.
= commentaires =
Putain, c'est vrai qu'il est bien ce texte.
Je me suis fait avoir comme un bleu par la fin. En parlant de fin...certes c'est fin, mais l'aurait-ce été un cran moins le texte aurait été à peine lisible
Je réclame le suivant (texte).
commentaire édité par Womble le 2006-3-4 2:29:34
C'est clair, c'est bien sympa.
J'ai failli esquisser un grimace au moment du "J’ai repensé à tout ça quand la bagnole l’a fauché alors qu’elle traversait la rue en courant pour me rejoindre". Elle craint, cette phrase, un instant j'ai eu peur de la chute moisie qui fout tout le texte en l'air.
Finalement c'est toujours aussi bien mené sur la fin, cette phrase gerbante de mièvrerie devient un bon moyen de planter l'évolution des sentiments du narrateur pour la fille.
Bref, du tout bon.
Pour la chute, on se tape le remake incontournable des trucs interdits. Est-ce le besoin obscur de rabacher une morale sous-jacente à deux balles après s'être vautré dans la luxure ? autant le style me'a plu autant la fin m'a déplu. MAis c'est pas grave...
ça coule bien, ça se boit comme du ptit lait. Tu précises son âge, mais tu ne dis pas celui du narrateur, cela aiderait à mieux cadrer sa désinvolture ou un intérêt inavoué pour les jeunes filles.
Y a un mot qui se balade comme un poil (oui, je sais..) dans les derniers textes : "improbable", c'est une mode ? Il vient faire quoi dans une instrumentation ? Moi, dans ce cas j'aurais choisi plutôt : "hétéroclite", non ?
pourle chien, tu n'aimes pas le regard du labrador ?
Celui du cocker est plus chassieux.
Pour l'âge, on sait qu'il est relativement plus vieux, c'est largement suffisant. Inutile de rendre le texte lourd avec les précisions superflues.
Je pensais pas non plus qu’elle passerait dans ma vie comme une comète de métal en fusion cramant tout sur son passage.
Ca tape bien.
J'aime beaucoup ce texte sauf la fin qui perd carément en crédibilité avec le " baise moi encore, baise moi encore "
C'est dommage, j'aurais vraiment aimé que ce soit une histoire vraie ou au moins crédible.
Mais sinon comme je l'ai dit plus haut, j'aime beaucoup.
J'ai pas l'habitude d'être parfaitement objectif, et là je le suis encore moins : j'ai lu ce texte dans les bouses en attente, en me disant allons bon, encore un, rions un coup, déjà il s'appelle Don, c'est ridicule, Corleone ou Johnson, hahaha.
Et j'ai pris un super texte dans la face.
Y a deux très gros détails qui me font braire et exigeraient, si c'était un texte à moi, un gros coup de pelle correctif :
- la comète de métal en fusion. Les autres images sont violentes certes, mais prosaïques, pas captainflamiques comme celle-là ; réalistes, et elles collent bien à mon sens au caractère du personnage, gros deg' sombre et bestial qui se découvre un coeur. Celle-ci, elle sort d'un mauvais album de Heavy... Sans compter qu'une comète, c'est fait d'eau et de poussières, pas de métal, et qu'une comète en fusion, c'est une goutte de pluie géante (mais vraiment géante, là).
- La phrase finale. Parce qu'elle est caricaturale.
A part ça, j'adore ce texte.
Bien posé psychologiquement, somme toute ; ceci dit un texte bref pour un personnage aussi intéressant, c'est dommage, étant donné surtout que le but semble être de décrire un processus, comment il s'est mis à aimer la gamine. Ca aurait peut-être justifié plusieurs épisodes, baise après baise, évolution après évolution. M'enfin c'est mon avis propre.
Style plaisant, aussi, parce que tu mêles une diction orale, avec toutes les élisions, les omissions et les libertés que ça implique, avec un usage des images littéraires communes. Bref, tu fais parler comme tous les jours un individu qui a un style et pourrait parler comme un livre. Ca donne de la chair au personnage je trouve.
Y en a un autre dans les textes en attente, mais j'aimerais bien en lire d'autres encore. Ca me plait.
Commentaire édité par Glaüx-le-Chouette.
Merci pour les commentaires.
J'ai assez peu travaillé ce texte, et je ne suis pas très satisfait de la fin non plus. Au départ j'ai écrit ce texte pour un autre site et je doutais qu'il soit publié sans la fin vaguement moralisatrice et miévrasse.
Au départ j'écris plutôt des poèmes lyrico-hermétiques pas terribles, je tente depuis peu d'écrire autre chose.
ah, et je hais les labradors.
re ah, et Don c'est pour Donatien, mais pas de rapport avec le marquis.
commentaire édité par Don le 2006-3-4 17:39:23
Bah, le mauvais mallarméeux, ça peut changer du mauvais baudelairien. Mais si ce n'est pas de la forme fixe, le vote de Montigny est toujours négatif au Grand Comité Secret Interplanetaire des Publications (qui ne se réunit jamais, heureusement, vu que Paris a le droit de véto).
Le texte, comme j'ai dit dans les infos, j'ai vraiment apprécié. Pas envie de raisonner dessus, sinon que je suis assez d'accord sur les deux phrases en question. Mais simplement j'aime bien ce type et le ton qu'il emploie - sauf dans la toute dernière phrase, justement.
Le coup de la comète, ça passe. En lisant le texte, perso, je m'étais simplement dit "hola, ça s'envole". Le plus fâcheux, puisque d'autres attirent l'attention là-dessus, c'est que ça tient pas trop la route comme comparaison. Une comète c'est surtout de la glace, si je ne me trompe, pas de métaux ou si peu, et ça se caractérise par un retour cyclique. Etoile filante, c'eût été certes très kitsch mais plus cohérent.
Les enfants, vous savez pas à quel point vous me tentez là, avec vos allusions aux comètes...
En parlant de point, je donne d'ailleurs un bon point à Gloupi parce qu'il a bien appris son cours.
En ce qui concerne le texte, je suis l'avis général, donc je vais pas me répeter.
NB: c'est le premier que je lis depuis des semaines (ouais, ouais, je sais), et ça m'encourage à faire un effort pour en lire un ou deux autres.
"Je pensais pas non plus qu’elle passerait dans ma vie comme une comète de métal en fusion cramant tout sur son passage."
Finalement, je reviens sur ce que j'ai dit. Puisque, justement, c'est une image, la comète peut très bien être du métal en fusion, et même une comète de viande de gnou putréfiée si on veut. Et même si une comète n'est pas un astéroide, on peut très bien s'en prendre une dans la gueule un jour si On veut. Reste que la phrase introduit un changement de ton qui désarçonne.
Dourak tu es partial, c'est la chair qui t'aveugle.
Me brouille la vue tout au plus. Mais la chair est faible, c'est terrifiant.
Je suis de l'avis général moi aussi. Comme Kirunaa, j'ai tendance à lire en tangente. Je n'ai pas le temps d'écrire ces temps ci (ou plutôt, pas le temps d'écrire des textes pour la Zone), mais cela me donne envie de m'y remettre.
Je trouve que le narrateur force un peu trop sur le cynisme, on a le sentiment qu'il est attaché à ce personnage. En relachant la tension -c'est un avis personnel- le résultat aurait peut-être été plus naturel. Mais cela colle bien avec la chute finalement, puisque le narrateur se révèle un dur surjoué.
J'aime bien les détails réalistes, ceux qui ne s'inventent, ceux derrière lesquels on perçoit l'auteur, du genre:"et du cul jusqu'à en avoir la queue qui saigne". Ca échaude.
'les détails réalistes, ceux qui ne s'inventent, ceux derrière lesquels on perçoit l'auteur, du genre:"et du cul jusqu'à en avoir la queue qui saigne" '
Il y avait longtemps que je n'avais pas ri seul comme un con devant mon écran. Merci. Mais tu devrais arrêter d'enculer ton hamster.
Les hamesters sont tous à fait flexibles et ne font pas saigner la queue. Enfin si on les prends dans le bon sens, c'est à dire celui où il n'y a pas de dents.
En revanche on sait trop peu que les vaches ont un cartilage qui leur ferme le fond de la moule, et qu'une vache qui veut pas, c'est une vache impénétrable, et qui peut vous pincer le gland très fort à le faire exploser.
Ceci dit étant donné la profondeur du cartilage, faut avoir une queue de taureau pour y arriver. Et pour cause.
Donc on s'en fout, en fait.
Je ne l'ai pas dit clairement: excellent texte.
Oui c'est bien Obn, jette un seau d'eau froide à Glaüx qui commence visiblement à s'énerver tout seul.
Pas tout seul. Paraît qu'il s'éclate avec sa voisine au sonotone. Le concupiscent docteur.
sonotone, c'est un sex toy çà, non ?
Un accessoire auditif, il me semble. Mais les Arabes disent qu'ils ont mis au point la distillation pour faire du parfum.
Dourak, Maître, merci d'avoir pris en compte ma prière de te voir écrire des textes plus longs en tous cas...
Qu'est-ce que tu radotes ? Pas le temps, j'apprends le roumain.
Extrait des "news" : "[lapinchien] Don est Dourak en réalité, mais chut... laissons le croire qu'il nous a mis sur une fausse piste en enscensant son pseudo d'emprunt."
1°) J'aime bien les deux premiers textes de Don. Mais je ne les trouve pas bons à ce point-là.
2°) Don est le diminutif de Donald, prénom anglo-saxon. Plutôt crever. Sans parler de la grippe aviaire et du confinement. Certes, j'ai affublé une de mes ballades d'un titre anglo-saxon, mais celui-ci transpirait la dérision, et la ballade en question ne méritait pas mieux.
3°) Dans sa fiche auteur, Don revendique une sexualité chaotique. Je réfute, pour ma part, toute allégation de vie sexuelle.
4°) Je n'ai "enscencé" ni quidam, ni pseudo. Démenti formel. Lâcher d'avocats-ninjas, etc.
5°) Tu cherches à te faire brûler à la St Con, vilain chenapan.
J'ai beaucoup aimé moi aussi, pour la plupart des raisons ci-dessus.
*cherche un truc original et pertinent à dire sur le texte, que personne n'aurait encore dit*
euh... trilobite.
Ce qui est bien quand on commente après la tempête c'est qu'on peut se la jouer comme ça :
J'ai vraiment bien aimé pour toutes les raisons énoncées ci-dessus, même s'il y a quelques défauts minimes dont on a déjà parlé dans les précédents commentaires.
(je vais me copier/coller ça histoire de le resortir tiens)
Excellent ce texte ! J'étais pas enthousiaste au début, je me suis dit comme ça que c'était digne d'une des descriptions qu'on peut voir quand on est sur le point de télécharger une vidéo sur smartmovies.com (la preuve : je me suis mis à sortir ma queue, j'étais près à m'en tailler une) et puis non, c'est encore pire !
Vraiment sombre et politiquement incorrect, mais ça se met en images un truc pareil... je vois bien Marjane Satrapi dessiner là-dessus. Qui se charge de la contacter ?
Ben attends elle a déjà posé pour nous, on va pas encore la faire chier pour un dessin, la pauvre.
Je voudrais savoir si est-ce que Kirunaa fornique souvcent avec les comètes.
C'est vrai que c'est pas mes oignons.
Enfin une preuve que Dourak abuse aussi de l'alcool. Pecheur !
t'es pas sensée t'être dénestré ce matin ? la vie c'est comme lapeyre, y'en a pas deux
Que l'abruti qui a piqué le pseudo d'une morte se dénonce tout de suite !
Rien bu du tout. Je faisais allusion à ça : "Les enfants, vous savez pas à quel point vous me tentez là, avec vos allusions aux comètes..." dans un commentaire de Kirunaa supra.
Ouais mais le "si est ce que" et le "soucvent" tu les expliques comment un gros malin ?
Les éruptions solaires.
Beaucoup aimé. Ca me rappelle certaines de mes ex. Ah, nostalgie...
Sans blague, y a beaucoup de tendresse dans ce texte. Y a beaucoup de sentiments mêlés, en fait. Plein d'émotions contradictoires qui se télescopent. Bravo et bis repetita.
vi c'est bien. hormis la fin, mais il faut bien conclure un texte, hein.
naz bordel de merde allez tous vous faire foutre!
Ouh, bad, que tu es méchant!
bad tripe.
Je n'ai pas honte et je vous emmerde.
commentaire édité par Hag le 2007-6-1 18:38:49
Excellent!!!
(bon, la fin arrive un peu comme une cheveu sur la soupe, mais ca part d'une intention lisible, et c'est pas si mal tourne)
Je dois vraisemblablement être fleur bleue et niaise et mièvre et cornichon, mais ça a failli m'arracher une larme. On rajoutait un gnou polaire périmé et des ragondins qui copulent, et ça en était fait de ma dignité. C'est peut être mes lentilles, en même temps. Sinon c'est la faute de Diamanda Galas en fond sonore.
J'aime ce texte.
Même si j'ai pas de problème avec les labradors et qu'on s'en branle de ma vie. Ca manque de gnous quand même par ici, vous trouvez pas?
Les gnous, c'est très surfait, finalement. On peut écrire un excellent texte sans gnou, la preuve. Du moment qu'il y a un gode et du labrador.
Petit bémol pour la fin, non sur le fond mais sur la forme, un peu bâclée (répétitions, et puis les larmes qui jaillissent en torrent furieux, non, quoi, on n'est pas dans Nous Deux)
je veux sucer desgrosses queues
la premiere fois un mec m'a sucé et j'ai joui dans sa bouche.evidemment ensuite il a introduit son sexe entre mes fesses et j'ai adoré ca,le contact de sa queue brulante contre mon petit cul et le moment ou il s'introduisait en moi furent magiques.
Le lendemain soir il m'a juste sucé un peu et m'a positionné agenouillé devant lui les fesses relevéés ouvertes,il a enfoncé sa queue dans mon cul pendant que je me masturbais et nous avons joui ensemble quel pied d'etre pris comme une femelle.Mais je n'ai jamais sucé de queue et maintenant j'en ai fortement envie.Sucer une grosse bite en me faisant défoncer le cul,genre m'asseoir sur une bouteille d'eau minerale plastique souple de 1 litre, c'est fulgurant lorsque l'anus se dilate et cède sous la pression d'un tel gland et que la bouteille s'enfonce a moité entre mes fesses.
Merci pour ce moment.
Je suis un être à la recherche
Non pas de la vérité
Mais simplement d'une aventure
Qui sorte un peu de la banalité
J'en ai assez de ce carcan
Qui m'enferme dans toutes ces règles
Ils me disent de rester dans la norme
Mais l'on finit par s'y ennuyer
Alors je cherche et je trouverai
Cette fille qui me manque tant
Alors je cherche et je trouverai
Cette fille qui me tente tant
Qui me tente tant
Partenaire particulier
Cherche partenaire particulière
Débloquée, pas trop timide
Et une bonne dose de savoir-faire
Savoir-faire
Vous comprendrez que de tels péchés
Parfois sont difficiles à avouer
Ils sont autour de moi si coincés
Ce n'est pas parmi eux que je trouverai
Je dois trouver de nouveaux horizons
Mais je finis parfois par tourner en rond
Alors je cherche et je trouverai
Cette fille qui me manque tant
Alors je cherche et je trouverai
Cette fille qui me tente tant
Qui me tente tant
Partenaire particulier
Cherche partenaire particulière
Débloquée, pas trop timide
Et une bonne dose de savoir-faire
Savoir-faire
Alors je cherche et je trouverai
Cette fille qui me manque tant
Alors je cherche et je trouverai
Cette fille qui me tente tant
Alors je cherche et je trouverai
Cette fille qui me manque tant
Alors je cherche et je trouverai
Cette fille qui me tente tant
Me tente tant
Partenaire particulier
Cherche partenaire particulière
Débloquée, pas trop timide
Et une bonne dose de savoir-faire
Savoir-faire
Partenaire particulier
Cherche partenaire particulière
Débloquée, pas trop timide
Et une bonne dose de savoir-faire
Partenaire particulier
Cherche partenaire particulière
Débloquée, pas trop timide
Et une bonne dose de savoir-faire
Partenaire particulier
Cherche partenaire particulière
Débloquée, pas trop timide
Et une bonne dose de savoir-faire
Partenaire particulier
Cherche partenaire particulière