C’est l’histoire d’un garçon qui était tellement grand que, à chaque fois qu’il changeait de pièce dans sa maison il se cognait la tête contre l’encadrement des portes.
Il désespérait et son crane ressemblait de plus en plus à… heu… à un truc avec plein de bosses et tout déformé ; il n’en pouvait plus de ressentir le contact brut du mur contre sa gueule et d’entendre ce bruit mate à chaque heurt.
Alors sa mère, une femme adorable, décida de l’aider. Elle lui coupa donc la tête pour qu’il ne se blesse plus. Puis il est mort.
Pour cette semaine textes de merde et afin de remporter ce concours, j’ai décidé de rester nature, égal à moi-même et de vous raconter une petite histoire vraie.
= ajouter un commentaire =
Les commentaires sont réservés aux utilisateurs connectés.
= commentaires =
Excellent. A foutre dans le guide.
Ah, c'était pas le but de ce texte, c'est ça?
Malax, pauvre con.
Je suis d'accord avec l'Abbé, c'est tout à fait excellent. Monumental fou-rire pour ce qui me concerne. Je suis prêt à soutenir la candidature de Malax pour l'Acédmie Française.
Commentaire édité par nihil.
Merde, à chaque fois que je relis la dernière phrase, j'explose de rire.
Pareil ! Excellent.
Putain, mon but était bien de faire un texte de merde; mais en plus d'être merdique il vous fait rire.
Bande de cons.
La dernière phrase est fantastique.
J'appelle ça un coup de maître, pas un texte de merde.
On dirait les critiques de France Soir.
Mais certes c'est quand même assez bon.
Miracle ! Miracle ! Notre Seigneur est de retour parmi nous, il est revenu pour nous sauver de la paurteté littéraire ! Alleluïah ! Oh Grand Malax, enseigne-nous la Vérité sainte.
Ce texte est la nouvelle Bible !
Ouais! La porc te tait littéraire, à mort.
?
C'était probablement la pauvreté, mais c'est bien aussi comme ça.
Et là, des raies de lumières bienfaisantes percent les nuages et on entend les trompettes de tout les saints; et je dis: "Chantez mes louanges ! bénnissez moi et je vous chérirais comme mes enfants."
Ouais nan finalement, dégage.
"Et merde" dit-il finalement résigné.
C'est là qu'on le crucifie l'abruti donc?
Ouais, on le crucifia. Puis il est mort.
Et a l'aube du troisième jour, il est ressuscité.
mais, comble de la malchance, des corbeaux lui ont mangé les yeux et des carnivores sauvage l'ont dévoré en plusieurs endroit dont une jambe en quasi totalité.
Si on se rend compte que la vie après la mort c'est trop de la merde, est-ce qu'on peut se sursuicider ?
Nan, tu l'as dans l'cul.
je connaissais la même histoire avec un nain et une chatière
O.T.A.N. pour moi, c'est pas la semaine commentaires de merde
Sympa, mais Boby Lapointe nous a sorti la même vanne - ou presque - dans Y a bobo, Léon.