Evidemment, c’est toi que j’ai choisie, entre toutes. Les autres restaient amassées, indistinctes ; toi seule sortais du lot. Tu sautais aux yeux. Petite, pourtant, toute petite, sûrement très jeune ; mais d’autant plus mignonne, d’autant plus attirante.
Tu me plaisais. Je t’ai prise doucement, je t’ai portée jusqu’à la salle d’eau. Je t’ai lavée de mes propres mains, lentement, avec sensualité, à l’eau fraîche pour ne pas amollir ta peau ; mais je t’ai séchée sans attendre, avec une serviette propre, en longs mouvements circulaires. Au travers du linge, je profitais de chacune de tes rondeurs. Elles ne cédaient pas, même sous la pression insistante de mes doigts. Quelle merveille. Combien j’avais envie de toi.
Je te désirais de plus en plus. Il fallait que cessent ces préliminaires. Je jetai la serviette, et je te pris, telle quelle, pour te porter à nouveau vers la chambre. Ta peau brillait plus encore d’avoir été lavée ; ton parfum en était sublimé. Mais ce sublime commençait déjà à ne plus guère m’intéresser. Il me fallait davantage. Aller plus loin.
Je m’installai avec toi sur le sofa. Je te caressai encore, je n’arrivais plus à cesser de suivre tes courbes du bout de mes doigts. Puis j’eus envie de sentir ta peau sur la paume de ma main. J’appuyai sur la plus aiguë de tes rondeurs, la plus rouge. Je tournai là, d’une main ferme et déjà fébrile.
Mais tu appelais ma bouche. Tu restais muette, naturellement, comme toutes les autres, mais ta peau, plus colorée depuis la serviette, ta fermeté, tout en toi appelait mes lèvres et ma morsure.
Je saisis le bout de l’excroissance rouge et dure entre mes incisives. Mes lèvres entouraient ce mamelon, écrasées sur ta peau, tandis que je suçais de toute mon âme ce petit corps qui allait bientôt m’offrir sa liqueur.
Une atroce saveur amère envahit ma bouche, en même temps qu’un jet de liquide tiède.
Saleté. Pas mûre. Toi non plus. Comme les six autres.
Ce cageot de pommes était vraiment pourri. Tu m’étonnes, qu’ils l’aient mis aussi peu cher.
Tu es comme les autres. Exactement comme les six premières.
Au premier regard, j’ai été séduit par tes rougeurs adorables, la douceur de ta peau, tes courbes pleines et fermes. Ton parfum était un pousse-au-crime, pour tout individu normalement constitué. Saine, à croquer.
Au premier regard, j’ai été séduit par tes rougeurs adorables, la douceur de ta peau, tes courbes pleines et fermes. Ton parfum était un pousse-au-crime, pour tout individu normalement constitué. Saine, à croquer.
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Oh, et je ne voulais surtout pas gâcher le plaisir de la pourritude de ce texte aux lecteurs par un résumé qui en dirait trop, mais final twist découvert dès la fin de la deuxième phrase, au "Saine, à croquer". Bien joué, le final twist éventé.
Je trouve ça zonard mais à chier.
On trouve au bout de deux lignes ce qui est censé faire l'intéret du texte.
Je suis déçue et triste là, mais alors très triste.
Moi je suis content d'avoir l'occasion de savater la gueule de cet attardé.
Et donc Glaüx, c'est de cette manière que tu as recruté la jeune Mad Meat, mmh ?
Du faux zonard, mais c'est marrant de jouer contre les codes, huhu.
Pour les individus stupides comme moi ça reste sympa vuq ue j'avais pas deviné la chute, même si c'est sûr que c'est pas le chef d'oeuvre de glauqueusse.
BAh ...
Mangez des pommes.
Tiens, j'avais fait un rejet sur ce texte.
Rumeurs en coulisses du tournage :
-le narrateur de l'histoire s'appelle adam
-bethoven aurait dit de ce texte : pom pom pom pom
-Glaüx aurait abusé du cidre avant d'écrire ce texte
-La fresh attitude, la pomme, c'est au moins une fois par jour
-il y avait un vers dans le fruit
-j'ai atteint le quota mensuel toléré de vannes pourries
Sinon a part çà j'ai bien aimé, bien sur j'ai tout capté dès le depart mais je ne sais meme pas si Glaux en fait cherchait à faire un final Twist vu qu'il n'aime pas ce procedé... si on lit çà comme une sorte de parallèle, c'est plutot même bien gaulé...
Et Guillaume Tell alors il aurait dit quoi?
Bizarrement je pensais à un enfant à la place de la pomme mais ça faisait trop crade donc j'y ai pas cru ce qui signifie que tu l'as dans ton cul le glaux
nihil a quand même du talent pour inciter le lecteur qui revient d'une semaine d'absence à se jeter sur le meilleur texte parut.
Ah, t'étais absent?
Un grand contest de tir à l'arc dans la forêt de sherwood, la foule amassée acclame les héros qui s'avancent fièrement vers le trait les séparant de l'arbre auquel est attachée une jeune et jolie vierge affublée d'une pomme sur sa chevelure soyeuse.
Le premier archer réalise un superbe tir en plein centre de la pomme tandis qu'une goutte de sueur perle sur le magnifique menton de la vierge.
La foule en délire réclame haut et fort le nom de ce magnifique archer.
Celui-ci laisse tomber sa cape en hurlant aux spectateurs
- "I'am ... Robin Wood"
Le deuxième participant bande son arc d'un geste magistral et fend la première flèche en son milieu dans un Oooooooh d'admiration des villageois
- "I'am ... Guillaume Tell" lance t-il fierement
Enfin le tour du troisième et avant dernier tireur d'elite
D'un geste sûr, il décoche sa flèche qui vient transpercer le front de la vierge
Devant la stupeur des spectateurs, le tireur malchanceux découvre sa tête et lance haut et fort
- I'am ................ Sorry"
texte bof.
blague de tubrocs bien plus marrante, mais c'est un truc qu'il faut raconter a haute voix devant des potes.
qui a une webcam ?
Le résumé m'as donné envie de le lire.
Comme prévu c'est chiant.
Bah. Pas de quoi pendre l'auteur (impérial, le pouce en l'air : "Qu'il vive !").
Ouais.
En même temps ce commentaire, c'est un peu comme le "ça me dérange pas" de Mioumiou dans Les Valseuses.
J'aurais préféré qu'on me pende.
Parle pas de pendus, ça me donne pleins d'idées de ballades.
Pas cap'.
On dit Robin Hood, pas Robin Wood.
J'ai plutôt pensé à une fraise, même si ça fonctionnait pas.
J'ai faim.
Tu devrais essayer un article sur les Bauer, je suis sûre que tu serais plus rigolo.
C'est vachement plus sensuel que les pommes, les Bauer. C'est vrai. surtout les Grosse Bauer.
je traine sur ce site en qualité d'observateur depuis pas mal de temps et j'ai cru remarquer que glaux tenait une place prépondérante sur ce site et avait publiais de nombreux textes.
cependant j'ai put constater qu'aucun de ses textes n'était des merveilles voir tous follement banal et ininteressant cependant il s'acharne depuis pas mal de temps a descendre tout les petits nouveaux sans disctinction. surtout ceux qui le surpassent
interessant
Moi aussi, j'ai remarqué ça en ma qualité d'observateur, cependant:
-Il a écrit au moins un texte foutument bon.
-Il n'a pas de place prépondérante c'est juste nihil qui collectionne les dégénérés et qui les mets en vitrine.
- Il ne descent pas les petits nouveaux meilleurs que lui, on le fait tous...
Au fait tu veux pas nous montrer à quel point t'es meilleur que lui ?
Bonjour Ben Jovi.
Ca va Ben Jovi ?
Ah non je suis con, t'es Lapinchien.
Bah moi j'ai beaucoup aimé, j'ai même ressenti dans ma bouche le goût amer de la pomme pourrie.
D'ailleurs c'est très désagréable, enculé de conducteur de mégane.
Oh non t'es salaud de ressortir des saletés pareilles.
Et j'ai pas de caisse.
j'aurais cru une tomate, pas une pomme, à cause de "rougeurs".
mais c'est bien marrant.
Je trouve ça zonard mais à chier.
On trouve au bout de deux lignes ce qui est censé faire l'intéret du texte.
Je suis déçue et triste là, mais alors très triste.
Je suis trop drôle.
Mais sans moi, tu ne serais rien.
D'ailleurs t'existes pas.
Kyophile.
Surfeuse.
J'adore quand tu joues de ton ego, c'est limite indécent.
Le suspense etait à son comble,j'etais humide d'impatience.
(second degré)
Merde alors !