Développement (en français moyen)
Vous n’aurez pas manqué d’être intrigués par la magie du personnage de Relou-le-Gueux, zonard néophyte et déconsidéré. Une fantasmagorie qui vous suit jusque dans votre lit puisque hier, impossible de bander : un charge lourde et déroutante envahit votre membre. Vous venez d’entrer dans le monde fantastique des Gueux, plus communément appelés louseurs (loosers). Nous en a-t-on assez parlé du louseur ! (J’aime me prendre pour Alain Robbe-Grillet). Il faut croire que non, votre attitude le démontre chaque jour.
Le Relouseur est un zonard, un pauvre hère sans foi ni loi, non guidé par son instinct mais_ pire !_ par sa gourmandise. Ayant résolument opté pour une grève de la faim à vie, il gère goulûment sa raison, ses vices et ses tensions internes, au gré des rencontres que l’Onirique Monde des Gueux (OMG) lui réserve.
A une femme lui faisant remarqué qu’il est inconvenable de garder sa braguette ouverte à longueur de journées, le Relouseur répondra : « Il n’est pas d’œil plus grand, plus éloquent, plus beau que celui qui abrite le germe de la future Création. » Et la demoiselle, affolée de se sentir visée par ce deuxième regard, s’enfuira à coup sûr.
A un homme lui faisant remarqué l’incongruité de ses paroles envers cette jeune dame, le Relouseur répondra : « Et ton cul ». L’homme, affolé de sentir son cul visé par le deuxième regard en question, s’enfuira à coup sûr.
A un homme qui le prend par la main, un sale gougnafier mal intentionné, le Relouseur répondra : « Que fais-tu fils de pute !? ». L’homme, se sentant visé par ce propos blessant, de faire remarqué son uniforme bleu surmonté d’une tête de con rougie et d’un petit képi tout flasque…
Et il en est toujours ainsi de notre bon Relou-le-Gueux, seul et voulant être seul, sale et voulant être sale, bête et non content de l’être pour mieux feindre l’intelligence de ses propos.
Introduction (en ouzbek)
Zimbru eschviuï necavic castör ballapr’ëno, egünschvili bezroschnihil.
Enstrûk matav dëes’tramén. Bak’jnoulisz pretlïg.
Zimbru eschviuï necavic castör ballapr’ëno, egünschvili bezroschnihil.
Enstrûk matav dëes’tramén. Bak’jnoulisz pretlïg.
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Un programe des plus lourd dinge, ou le non sens obsulue
y est representer, les critiques via leurs steechs ne son
jamais reelement objective, du fait cela discridite la critique elle meme alors qu'il y en aurais des choses a dire, mais eux non rien compris il imagine qu'avec pipi caca sa marche, or il sont eux reelemnt a chier.
1 Ex:Maintenant c'est patrick sebastein qui pete constament comme si sa cetais represantatif du personnage, on peut ce demander ou il on etais chercher sa, alors qu'ils pourais
a chercher a demontrer (patrick sebastein ) qu'il en fait de trop en general ext..
En plus il critique des gens qui ne sont pas forcement les pire et ceux qui le merite le plus,il ne ce mouille
vraiment pas, c'est tout sauf engager et intelligent.
alors il nous dirons peut etre pour ce justifier , mais c'est de l'absurde, oui mais absurbe demande du premier degree dans le qu'elle on y integre du second, alors qu'avec eux il n'y que du second ou du 8eme degrer,
du fait c'est juste bete, chiant, lourd , un emmetion de louseur au sens propre, ils n'ont rien compris a l'humour et encore moin sur la critique car il n'y pas de critique puisqu'elle est presque toujour fauce inventer croyent faire rire, bref c'est vraiment a chier .
Moi il me soul, meme lorsque que je cherche a faire un effort, pour y voir du positif je me sens toujour au bout une ou 2 minutes obliger de saper tellement ils sont exasperant et bete, toujour et encore a coter de la plaque !
Camarade, sincèrement, crois-tu qu'il soit temps encore de te livrer nuitamment à de subtiles études comparées de la Zone et Télérama ?
Patrick Sebastein, çà fait peur