La bouse du bourré

Alors c’est l’histoire de vingt-quatre mai, un charmant jeune homme pourvu d’un gigantesque talent : la chiantise. A chaque vanne, chaque blague ça se solde par un bide plein de gras, de gras de whisky à 70° d’alcool.
Alors il veut séduire une meuf, et le jour de la Sait-Valentin, il lui offre une rose et un kinder, celle-ci, vraiment très niaise, accepte connement. Encouragé, il continue ses avances ( dont une balade au ciné) et se prend un monumental râteau. Il en chiale presque. Aussi, pour se consoler, il achète Hannah, une poupée gonflable avec fonction pipeuse intégrée, et assouvi ses désirs les plus retenus avec elle. Mais il essaie encore. Et se reprend un autre râteau car il avait fait un poème pour sa bien-aimée qui l’a cassé avec une diatribe poétique même pas écrite par elle. Alors il fait un film qu’il montre à la moitié de la classe pour se donner une contenance.
Et comme si ça ne suffisait pas il tente de tous nous saouler avec un vodka poker pour soulager ça conscience. Et ça a bien marché, parce que 7 heures après je continue à me saouler.

Maintenant, vous vous dîtes quel texte est le plus merdique ? N’hésitez plus le plus chiant à lire est le mien et ma chiantise, réhaussée par 3 cravates et une chemise seventies, et vous avez déjà tenté 18 tentatives de suicides avant de finir se texte ( fallait bien une note d’humour, en tout cas essayer).

J’aimerais néanmoins que vous notiez l’effort orthographique présent pour quelqu’un qui vient de s’enfiler une demi bouteille de vodka.
                                                                         A bon chieurs salut.