Lentement et âprement avance ma déprime,
En rampant s’installe durement mon spleen,
Et méthodiquement la perception dérive,
Virevoltant au gré d’un cœur sans discipline.
Aujourd’hui, j’ai mourus par ton dédain,
Seul un acte de toi me renaît, qui sais… Demain ?
Mais j’hallucine de me voir errer comme un chien,
Glapissant de peur et d’un manque incertain.
Car aujourd’hui mon art à faillit !
Le comique : je m’en rend compte…
Dans mes artères la tumeur grossi,
Voila, je cours à ma soumission sans honte.
Mais, je bénis cette blessure car elle vient par toi,
Puisque des larmes coulent dans mes veines !
Pitié : humilie moi tant qu’il te plaira,
Dans mon ghetto mental où tu règne.
Plus d’apparat… De valeurs…. Rien à foutre !
Juste toi qui flagelle et moi qui cri : « Encore ! ».
Et du sang versé de mes yeux, j’arrache la croûte,
Pour laisser à vif cet ego que tu as mis à mort.
29/04/05 - 1H04
« Cherche à comprendre ! »
LA ZONE -
Perdu dans les dédales du labyrinthe de mon coeur livide, je cours sans vraiment savoir où aller... Ni quoi trouver!
Sauf à cet instant horrible où mon âme croisa cette jeune nymphette.... espérant qu'elle croisera ma dague que je me plante avec méthode et violence dans son foureau!!!
Sauf à cet instant horrible où mon âme croisa cette jeune nymphette.... espérant qu'elle croisera ma dague que je me plante avec méthode et violence dans son foureau!!!
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j'ai mourus ?
Ah bon il est mouru à force de chercher à comprendre?
c'est ce que j'appellais "vannes improbables (voire involontaires)" dans le résumé... Les spécialistes s'interrogent encore.
Commentaire édité par nihil.
la poésie, c'est pas seulement des rimes.
désolé, mais là, ca ne parle pas, rien à faire.
c'est du second degré ? dans ce cas, les clichés ne sont pas assez gros pour rendre l'ensemble drôle.
si c'est à prendre au premier degré, je...
...préfère me taire.
Putain la faute c'est abusé!!
Je me flagellerais bien mais ca va me plaire... alors moyen comme punition!
Des suggestions pour expier cette nouvelle lamartinerie, bande de nains puants?
ouais, conjuguer cent fois le verbe mourir à tous les temps.
Commentaire édité par nihil.
Nan, la poésie c'est aussi de la métrique et de la mesure. Ici, on passe de 8 à 14 pieds, sans logique apparente dans les variations. C'est vraiment n'importe quoi.
Et du point de vue sonore, y a que deux vers qui me paraîssent potables :
- "Juste toi qui flagelle et moi qui cri : « Encore ! ».)"
- "Virevoltant au gré d’un cœur sans discipline."
J'suis con, maintenant tout le monde sait que j'ai vraiment lu ce texte. La honte.
Je meurs à tous les temps,
Tu meurs à tous les temps,
Il meurt à tous les temps,
....
Là, maintenant, tout de suite, ça suffirait, tu sais.
"et moi qui crie", ha non, même anthrax elle n'oserait pas... sinon j'ai pas lu la fiente, j'aime pas les poètes qui ont des noms sanguinaires...
Sanguinaire, sanguinaire... Qu'est-ce qu'elle a la charbonneuse?
un usage du français original! finalement c'est trouchant ces maladresses, ça fait authentique, genre le plombier avec sa maîtresse (SM). J'aurais préféré lire ça sur un papier froissé trouvé par terre.
Celui ci n'a pas volé sa place dans le Worst Of, chapeau.